7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)

[ae80]

7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)


29 septembre 1914


MORO Auguste
Tué au combat le 29 septembre 1914 à Chaulnes (Somme)
Né le 4 août 1882 à Breil-sur-Roya (Alpes-Maritimes)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1902 - Bureau de recrutement de Nice (Alpes-Maritimes) - Matricule au Rt : 134
Mention : Mort pour la France
Jugement rendu le 12 août 1920 par le tribunal de Nice
Lieu de transcription du décès : Breil-sur-Roya (Alpes-Maritimes) le 16 septembre 1920


30 septembre 1914


BARBAT Lucien François
Décédé le 30 septembre 1914 à l'hopital Saint-Louis à Paris (ex Seine) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 26 janvier 1892 à Galan (Hautes-Pyrénées)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
N° matricule au corps : 4040
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Tarbes - Matricule au recrutement : 724
Mention : Mort pour la France
Acte de décès transcrit au lieu de son dernier domicile : Galan (Hautes-Pyrénées)

Journal officiel du 11 novembre 1920 page 18080

BARBAT (Lucien-François), matricule 4040, chasseur : très bon chasseur. Mort pour la France le 30 septembre 1914, des suites de blessures, glorieusement reçues à son poste de combat. Croix de guerre avec étoile de bronze.


FROMENTIN Ernest Odilon
Décédé len 30 septembre 1914 à l'ambulance 5 du 14e Corps à Rosières-en-Santerre (Somme) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 6 mars 1891 à Alès (Gard)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Nîmes (Gard) - Matricule au recrutement : 1413
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Alès (Gard) le 18 mars 1916

7e BCA FROMENTIN.jpg (68.43 Kio) Consulté 236 fois

Le 1er octobre 1914


DRAGHI Auguste
Décédé le 1er octobre 1914 à Hôpital annexe du Val-de-Grâce - Paris 5e arrondissement (ex Seine) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 31 juillet 1886 à Tourrette-Levens (Alpes-Maritimes)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1906 - Bureau de recrutement de Nice (Alpes-Maritimes) - Matricule au Rt : 144
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Contes (Alpes-Maritimes) - dernier domicile.


Le 2 octobre 1914


GILETTA Fortuné
Décédé le 2 octobre 1914 à l'hôpital TENON à Paris (ex-Seine) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 20 novembre 1880 à Levens (Alpes-Maritimes)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins
Classe 1900 - Bureau de recrutement de Nice (Alpes-Maritimes) - Matricule au Rt : 1641
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : à son dernier domicile à Levens (Alpes-Maritimes)

Journal officiel du 10 mai 1922 (20 mai 1922 rectifié) page 1874

GILETTA (Fortuné-François), matricule 0138, chasseur : brave chasseur, énergique et dévoué. Grièvement blessé à Chaulnes. Mort des suites de ses glorieuses blessures, le 2 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.


NOVO Casimir Charles Antoine
Tué au combat le 2 octobre 1914 à Maucourt (Somme)
Né le 6 août 1892 à La Valette (Bouches-du-Rhône)
caporal au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Marseille (Bouches-du-Rhône) - Matricule au recrutement : 3475
Mention : Mort pour la France
Jugement rendu le 4 août 1920 par le tribunal de Marseille
Lieu de transcription du décès : Marseille (Bouches-du-Rhône) le 9 septembre 1920

Journal officiel du 10 mai 1922 (20 mai 1922 rectifié) page 1875

NOVO (Casimir-Charles-Antoine), matricule 4173, caporal : caporal qui s'est toujours fait remarier par son courage et son dévouement. Est tombé glorieusement pour la France, le 2 octobre 1914, à Maucourt. Croix de guerre avec étoile de bronze.


PEYRE Antoine Clément
Décédé le 2 octobre 1914 à l'Hôpital n°103 de Rouen (Seine-Maritime) (ex Seine-Inférieure) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 25 septembre 1890 à Alzon (Gard)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1910 - Bureau de recrutement de Marseille (Bouches-du-Rhône) - Matricule au recrutement : 1983
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Alzon (Gard) - dernier domicile.


SABATON Jules Henri
Tué à l'ennemi le 2 octobre 1914 à Rosières-en-Santerre (Somme)
Né le 14 décembre 1887 à Marseille (Bouches-du-Rhône)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe : 1907 - Bureau de recrutement de Marseille (Bouches-du-Rhône) - Matricule au recrutement : 1919
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Marseille (Bouches-du-Rhône) le 30 mars 1917


Le 3 octobre 1914


ARNAUD Athanase Joseph
Décédé le 3 octobre 1914 à l'hôpital (sans précisions) à Paris (ex Seine) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 26 mars 1888 à Saint-Raphaël (Var)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe : 1908 - Bureau de recrutement de Nice (Alpes-Maritimes) - Matricule au Rt : 106
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : à son dernier domicile à Saint-Raphaël (Var)


DANNEROLLE Louis Alfred Marius
Décédé le 3 octobre 1914 à l'hôpital auxiliaire n° 103 à Rouen (Seine-Maritime) (ex Seine-Inférieure) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 23 novembre 1889 à Vanosc (Ardèche)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Privas (Ardèche) - Matricule au recrutement : 507
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital adressé à la mairie d'Annonay.
Lieu de transcription du décès : Annonay (Ardèche)

Journal officiel du 10 mai 1922 (20 mai 1922 rectifié) page 1874

DANNEROLLE (Louis-Alfred-Marîus), matricule 5248, chasseur : brave chasseur, dévoué et courageux. Mortellement Blessé, le 26 septembre 1914, a Chaulnes. Croix de guerre avec étoile de bronze.


Le 4 octobre 1914


DALMAS Antoine
Décédé le 4 octobre 1914 à Verdun (Meuse) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 2 janvier 1885 à Saint-Antonin (Alpes-Maritimes)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1905 - Bureau de recrutement de Nice (Alpes-Maritimes) - Matricule au Rt : 855
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital adressé le 5 octobre 1914 à la mairie de Grasse.
Lieu de transcription du décès : Grasse (Alpes-Maritimes)

N.B. : Ce chasseur à dû être blessé au cours des opérations militaires du 7e BCA dans les Vosges


JOURDAN Louis Gustave
Tué à l'ennemi le 4 octobre 1914 à Chaulnes (Somme)
Né le 21 janvier 1890 à Chanos-Curson (Drôme)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1910 - Bureau de recrutement de Romans-sur-Isère (Drôme) - Matricule au Rt : 610
Mention : Mort pour la France
Jugement rendu le 20 mai 1919 par le tribunal de Valence
Lieu de transcription du décès : Beaumont-Monteux (Drôme) le 2 juillet 1919


LACOSTE Louis Frédéric

Décédé le 4 octobre 1914 à l'hôpital Boucicault à Paris (15e arrondissement) (ex Seine) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 18 juin 1892 à Sète (Hérault)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Montpellier (Hérault) - Matricule au Rt : 908
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital adressé à la mairie de Cette (Sète)
Lieu de transcription du décès : Sète (Hérault)


Le 7 octobre 1914


CARRIERE Georges Auguste Emile
Décédé le 7 octobre 1914 à l'hôpital de Niort (Deux-Sèvres) des suites de ses blessures
Né le 4 septembre 1892 à Roquefort-sur-Soulzon (Aveyron)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Montpellier (Hérault) - Matricule au Rt : 1787
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital adressé au maire de Niort le 9 septembre 1915.
Lieu de transcription du décès : Niort (Deux-Sèvres)

Journal officiel du 10 mai 1922 (20 mai 1922 rectifié) page 1874

CARRIERE (Georges-Auguste-Emile), matricule 4128, chasseur : vaillant chasseur, brave et dévoué. Grièvement blessé, le 26 septembre 1914, à Chaulnes. Mort pour la France. Croix de guerre avec étoile de bronze.


Le 8 octobre 1914


AGOSTO François
Décédé le 8 octobre 1914 à l'Hôpital Complémentaire du Panthéon à Paris 5e arrondissement (ex Seine) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 30 avril 1888 à Nice (Alpes-Maritimes)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe : 1908 - Bureau de recrutement de Nice (Alpes-Maritimes) - Matricule au Rt : 1505
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital adressé à la mairie de Nice
Lieu de transcription du décès : Nice (Alpes-Maritimes)


Le 10 octobre 1914


GAUBERTI Baptistin
Décédé le 10 octobre 1914 à l'hôpital d'Épinal (Vosges) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 19 juin 1881 à Peille (Alpes-Maritimes)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1901 - Bureau de recrutement de Nice (Alpes-Maritimes) - Matricule au Rt : 994
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital adressé à la mairie de Nice
Lieu de transcription du décès : Nice (Alpes-Maritimes)


VERNHES Baptiste
Tué à l'ennemi le 10 octobre 1914 à Rosières-en-Santerre (Somme)
Né le 1er janvier 1883 à Anglars-Saint-Félix (Aveyron)
chasseur de 1ère classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1903 - Bureau de recrutement de Carcassonne (Aude) - Matricule au Rt : 1260
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Carcassonne (Aude) le 22 novembre 1916


Le 11 octobre 1914


AZAIS Alban Ferdinand
Décédé le 11 octobre 1914 à l'hôpital de Loches (Indre-et-Loire) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 15 mars 1890 à Bizanet (Aude)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1910 - Bureau de recrutement de Narbonne (Aude) - Matricule au recrutement : 789
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Bizanet (Aude) : dernier domicile


Le 15 octobre 1914


AILLAUD Joseph Marius
Décédé le 15 octobre 1914 à l'Hôpital Boucicaut à Paris 15e arrondissement (ex Seine) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 5 mai 1882 à Oraison (Alpes-de-Haute-Provence) (ex Basses-Alpes)
chasseur de 1ère classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1902 - Bureau de recrutement de Digne (Alpes-de-Haute-Provence) - Matricule au recrutement : 1018
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre de l'hôpital envoyé le 16 octobre 1914 à la mairie d'Oraison
Lieu de transcription du décès : Oraison (Alpes-de-Haute-Provence)


Le 16 octobre 1914


ISOARDI Nicodème Bruno
Décédé le 16 octobre 1914 à à l'Hôpital militaire N°23 d'Houlgate (Calvados)
Né le 15 septembre1889 à Clans (Alpes-Maritimes)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1907 - Bureau de recrutement de Marseille (13) - Matricule au recrutement : 1123
Mention : Mort pour la France
Extraiit du registre de l'hôpital adressé à la mairie de Clans
Lieu de transcription du décès : Clans (Alpes-Maritimes)

Journal officiel du 10 mai 1922 (20 mai 1922 rectifié) page 1874

ISOARDI (Nicomède-Bruno-Philippe), matricule 04088, chasseur : chasseur brave et énergique. Grièvement blessé à Chaulnes, est mort des suites de ses blessures. le 16 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.


JULIEN Jean Louis
Tué au combat le 16 octobre 1914 à Chaulnes (Somme)
Né le 13 février 1889 à Castelnau-de-Brassac (Tarn)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1909 : Bureau de recrutement de Carcassonne (Aude) - Matricule au Rt : 1240
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Castelnau-de-Brassac (Tarn) le 23 janvier 1918

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7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)


17 octobre 1914


ROUCHET Théophile Auguste
Tué au combat le 17 octobre 1914 à Chaulnes (Somme)
Né le 12 novembre 1887 à Saint-Martin-de-Queyrières (Hautes-Alpes)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1907 - Bureau de recrutement de Marseille (Bouches-du-Rhône) - Matricule au recrutement : 3164
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône) le 13 juillet 1917


21 octobre 1914


RIOU Louis Henri Alexandre
Décédé le 21 octobre 1914 à l'Hôpital international à Rouen (Seine-Maritime) (ex Seine-Inférieure) des suites de blessures de guerre.
Né le 18 janvier 1875 à Mauves (Ardèche)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1895 - Bureau de recrutement de Privas (Ardèche) - Matricule au recrutement : 1500
Mention : Mort pour la France
Extrait du registre des décès de l'hôpital transmis à son dernier domicile à Vals-les-Bains
Lieu de transcription du décès : Vals-les-Bains (Ardèche)


25 octobre 1914


VASSAL Etienne Sébastien
Tué à l'ennemi le 25 octobre 1914 à Chaulnes (Somme)
Né le 10 octobre 1889 à Chirols (Ardèche)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)

Sur ce chasseur voir sa citation à la page 1 de ce sujet


29 octobre 1914


CEYTTE Ephrin Jean Marie
Tué au combat le 29 octobre 1914 à Méharicourt (Somme)
Né le 12 novembre 1891 à Montpezat-sous-Bauzon (Ardèche)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Pont-Saint-Esprit (Gard) - Matricule au Rt : 527
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Montpezat-sous-Bauzon (Ardèche) le 15 juillet 1917


30 octobre 1914


BRETON Louis Ernest
Décédé le 30 octobre 1914 à l'ambulance 7 du 14e Corps à Harbonnières (Somme) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 25 août 1891 à Rochelle (La) (Charente-Maritime) (ex Charente-Inférieure)
caporal au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1910 - Bureau de recrutement de La Rochelle - Matricule au recrutement : 385
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Rochelle (La) (Charente-Maritime) le 11 février 1915


31 octobre 1914


FUNEL Joseph Darius
Tué au combat le 31 octobre 1914 à Lihons (Somme).
Né le 25 octobre 1874 à Valderoure (Alpes-Maritimes)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1894 - Bureau de recrutement d'Antibes (Alpes-Maritimes) - Matricule au Rt : 1447
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Peyroules (Alpes-de-Haute-Provence) (ex Basses-Alpes) le 4 septembre 1915


1er novembre 1914


FIGHIERA François Jérome
Tué au combat le 1er novembre 1914 à Lihons (Somme)
Né le 25 février 1888 à Falicon (Alpes-Maritimes)
chasseur de 1àre classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Nice (Alpes-Maritimes) - Matricule au Rt : 1761
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Nice (Alpes-Maritimes) le 21 mars 1916


LANDRA Blaise
Tué au combat le 1er novembre 1914 à Lihons (Somme)
Né le 5 décembre 1890 à Vernanto (Italie)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1910 - Bureau de recrutement de Nice (Alpes-Maritimes) - Matricule au Rt : 677
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Touët-de-l'Escarène (Alpes-Maritimes)

Journal officiel du 29 septembre 1921 page 2752

LANDRA (Blaise), matricule 05618, chasseur : bave chasseur. Tombé au champ d'honneur pour le salut de la patrie, le 1er novembre 1914, à Lihons. Croix de guerre avec étoile de bronze.


RIVIERE Léon Justin
Tué au combat le 1er novembre 1914 à Lihons (Somme)
Né le 21 janvier 1890 à Villesèquelande (Aude)
sergent au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1910 - Bureau de recrutement de Carcassonne (Aude) - Matricule au Rt : 256
Mention : Mort pour la France
Jugement rendu le 21 juillet 1919 par le tribunal de Narbonne
Lieu de transcription du décès : Montbrun-des-Corbières (Aude) le 10 août 1919


VEYRUN Emile Louis
Tué au combat le 1er novembre 1914 à Lihons (Somme) - Tué à l'ennemi.
Né le 10 mai 1889 à Saint-Victor-de-Malcap (Gard)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Nîmes (Gard) - Matricule au recrutement : 1308
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Allègre-les-Fumades (Gard) le 18 février 1916

[ae80]

7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)


SERVICE DE SANTÉ du bataillon et
&
Chasseurs décédés dans des ambulances proches de Chaulnes

Au début de la campagne en août 1914 le service de santé du bataillon est géré par
LAJIANIO, médecin-major de 2e classe
LAUGIÉ, aide-major de 2e classe


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Plusieurs chasseurs vont décéder en septembre et octobre 1914 à Rosières-en-Santerre (Somme) des suites de leurs blessures de guerre probablement dans des postes de secours.
D'autres sont évacués vers des ambulances du 14e Corps où ils vont mourir. On peut ainsi déterminer les Ambulances 5, 7 et13 de ce corps d'armée.


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27 septembre 1914

IMPERATO Louis Marius
Décédé le 27 septembre 1914 à l'ambulance 13/14 de Rosières-en-Santerre (Somme) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 12 novembre 1892 à Sète (Hérault)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Montpellier (Hérault) - Matricule au Rt : 895
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Sète (Hérault) le 19 septembre 1916


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30 septembre 1914


FROMENTIN Ernest Odilon
Décédé len 30 septembre 1914 à l'ambulance 5 du 14e Corps à Rosières-en-Santerre (Somme) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 6 mars 1891 à Alès (Gard)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Nîmes (Gard) - Matricule au recrutement : 1413
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Alès (Gard) le 18 mars 1916


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30 octobre 1914


BRETON Louis Ernest
Décédé le 30 octobre 1914 à l'ambulance 7 du 14e Corps à Harbonnières (Somme) des suites de ses blessures de guerre.
Né le 25 août 1891 à Rochelle (La) (Charente-Maritime) (ex Charente-Inférieure)
caporal au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1910 - Bureau de recrutement de La Rochelle - Matricule au recrutement : 385
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Rochelle (La) (Charente-Maritime) le 11 février 1915


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14e Corps d'armée
27e Division

=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=+=

Groupe de brancardiers de la 27e Division

Extrait du Journal des Marches et Opérations du G.B.D. durant le mois d'octobre 1914

Octobre - troisième mois de campagne

1er octobre - Rosières (Somme) - Les deux sections du G.B.D. fonctionnent séparément. La première assure l'évacuation des blessés appartenant aux différents régiments échelonnés sur la ligne Lihons - Herleville. La 2e section est à Méharicourt.
Utilisant le temps libre que leur laissent les soins aux blessés, les brancardiers creusent pour eux des tranchées selon le modèle des tranchées du Génie avec la sécurité et le confort possibles.
Pendant la journée peu de blessés.

2 octobre - Rosières - Mêmes postes. Environ 90 blessés sont évacués.

3 octobre - Rosières - Mêmes postes. C'est au prix de mille difficultés que durant la journée nous évacuons de Lihons, les blessés du poste de secours du 140.

4 octobre - Rosières - Mêmes postes. Ps de blessés.

5 octobre - Rosière - Mêmes postes. Tout le jour, grand calme.

6 octobre - Rosières - Mêmes postes. Dès l'aube, tous les matins, chacun est à son poste. Les voitures restent sous les arbres ; les hommes sont à leurs tranchées qu'ils perfectionnent chaque jour. Ils ont oredre de s'y terrer, dès qu'ils entendent le ronflement d'un moteur d'aéroplane.
Pendant la nuit, chaque section, laisse sur le champ de bataille, tout près des postes de secours qu'elle dessert, une escouade de garde, pour le cas où il y aurait des blessés à évacuer.
Aujourd'hui, leG.B.D. a reçu du renfort : un sergent fourrier, un caporal et 16 hommes.

7 octobre - Rosières - Mêmes postes. Peu de blessés.

8 octobre - Rosières - Mêmes postes. Dans la soirée, le caporal BARRAUD, de la 2e section, a été atteint à l'épaule droite (blessure moyenne) par un éclat d'obus, alors qu'il mettait un blessé dans une voiture d'ambulance. Il a été évacué sur Harbonnières.

9 octobre - Rosières - Mêmes postes. Vers 4 heures du soir, les obus et les schrapnells arrivent jusqu'à Rosières vers l'église et la sucrerie. Aussi change-t-on le parc et le cantonnement qui sont portés à la sortie de Rosières, sur la route de Caix. Vers 7 h. du soir commence un duel d'artillerie, terrible et renduplus impressionnant encore par les éclairs d'obus spéciaux qui éclairent la nuit. La 2e section évacue une 15 de blessés (une quinzaine de blessés).

10 octobre - Rosières - Mêmes postes.

11 octobre - Rosières - Mêmes postes. Vers 8 h. du soir, quelques hommes de la 1ère section partent pour évacuer 8 blessés d'Herleville. Itinéraire suivi : Auvillers (?), Rainecourt. Ils sont évacués sur Harbonnières.

12 au 21 octobre - Rosières - Mêmes postes. Période de calme relatif. Le 21, vers 4 h. du soir, Méharicourt est bombardé. Un obus tue 8 soldats et en blesse 12. Ils appartiennent au 4e Génie. - Parmi les blessés DUMONT, brancardier de la 2e section. Des éclats d'obus l'ont atteint à la cuisse droite, aux seux membres supérieurs et au thorax. Il a été frappé en allant chercher de l'eau pour un blessé. Transporté à l'ambulance d'Harbonnières, il expira bientôt après avoir reçu les derniers sacrements.
A signaler la belle conduite de bos brancardiers qui font preuve d'un grand sang-froid et, sous les obus qui continuent à pleuvoir, portent soin aux blessés.

22 octobre - Rosières - Mêmes postes. Spontanément organisent entre eux une collecte pour acheter une couronne funéraire. - Avec la couronne offerte par MM. les officiers et aumôniers, elle redira aux passants et l'union étroite qui existe au G.B.D. entre officiers et soldats et l'affection que nous avions tous pour DUMONT, notre camarade défunt.
Vers les 5 h. du soir, une nombreuse délégation des officiers et des hommes était réunie à Harbonnières pour les funérailles. Les 4 aumôniers du corps et de la division précèdent le cortège. L'absoute solennelle est donnée à l'église... Sur le bord de la Tombe, M. le Médecin-Chef, après nous avoir rappelé en substance que DUMONT fut un fils et un soldat exemplaire, lui adresse au nom de tous le suprême adieu. DUMONT nous a donné l'exemple, nous nous souviendrons de lui.

23 octobre - Rosières - Mêmes postes. A 6 h. 1/2, messe de requiem chantée par M. l'aumônier TRILLES. Tout le G.B.D. est présent et en sortant de l'église de Rosières, chacun se dit, moins triste, : "Si je meurs victime de mon devoir, je ne serai pas délaissé : on en fera autant pour moi" *


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DUMONT Benoit
Décédé le 21 octobre 1914 à l'hospice d'Harbonnières (Somme) des suites de blessures de guerre.
Né le 30 août 1889 à Saint-Genis-Laval (Rhône)
soldat de 2e classe - brancardier à la 14e section d'infirmiers militaires (14e SIM)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Lyon-Central (Rhône) - Matricule au recrutement : 138
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Irigny (Rhône) le 30 juillet 1915

14e SIM DUMONT.jpg (75.19 Kio) Consulté 20 fois

Benoit DUMONT est tapissier de profession.
Matricule au recrutement : 138
Signalement : il mesure 1 mètre 56. Il a cheveux châtains, yeux bruns, front découvert, nezmoyen, bouche grosse, menton rond et visage plein. Degré d'instruction générale : niveau : 3
Le 15 octobre 1910, il est incorporé à la 21e section d'infirmiers militaires puis passe à 20e S.I.M. le 24 septembre 1911. Il est affecté en Algérie du 13 octobre 1910 au 23 septembre 1911 puis participe aux opérations militaires dans la région de Casablanca (Maroc) en guerre du 24 septembre 1911 au 9 septembre 1912. A obtenu la Médaille commémorative du Maroc (décret en date du 15 mai 1912) - avec agrafe "Maroc". Blessé.
Il se retire alors au 25, Cours du Midi à Lyon.
Il est rappelé par ordre de mobilisation générale du 2 août 1914 et incorporé à la 14e section d'infirmiers militaires où il arrive le lendemain 3 août. Il décède le 21 octobre 1914 des suites de blessures de guerre à l'hôpital d'Harbonnières.

Sources :
Recrutement militaire - Lyon Central : n° matricules 1-500 - 549, 1RP1134 - Archives du département du Rhône et de Lyon
(page 251/894)


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24 au 29 octobre - Rosières - Mêmes postes. Calme presque complet. Les compagnies qui sont de repos vont à l'exercice et les clairons répètent tous leurs refrains.

29 octobre - Rosières - Mêmes postes. Dans la soirée, Méharicourt a été bombardée. De nombreux obus sont tombés près des tranchées où la 2e section s'est mise à l'abri. L'un des chevaux du Train fut gravement atteint, une voiture d'ambulance détériorée. Une huitaine de chasseurs à pied furent blessés ainsi que quelques civils.

30 octobre - Rosières - Mêmes postes. La canonnade commence de bonne heure. On dirait que l'on va sortir de cette inaction qui nous pèse. Le poste de Méharicourt et déplacé et reporté à l'Ouest de Méharicourt, sur le chemin de Méharicourt à Vrély. Une petite voiture et une équipe de 4 hommes restent à Méharicourt et sont confiés au Médecin-Major Chef de service du 14e bataillon de chasseurs qui les a pris à son poste de secours, lequel est bien abrité.

31 octobre - Rosières -. Toute la nuit le canon a tonné. A 8 heures 1/2 du matin, commence le bombardement de Rosières. Les obus arrivent tout près du parc des voitures... Les 2 sections sont à leurs postes respectifs. Pendant la journée et la nuit, la 1ère section évacue sur Harbonnières environ 150 blessés.


Ambulances de corps d'armée - 1914-1937 - cote(s) DE 2021 ZE 2/1 à 2/292
14e corps d'armée - 1914-1919 - cote(s) DE 2021 ZE 2/179 à 2/192

Extraits de plusieurs JMO du 14e corps d’armée, cote(s) DE 2021 ZE 2/179
pages 7 à 9/53


* N.B. : J'ai tenu à garder le ton lénifiant du document. (E.A.)


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25 septembre 1914

Le P.C. de la division se porte au croisement des chemins à l'Est de Lihons, au S.O. de la cheminée (signal). Les bureaux de l'E.M. et du Service de Santé Divisionnaire sont installés à l'Hôtel Maréchal à la gare de Rosières. Action très vive, l'Ambulance 13/14 qui fonctionne à Rosières comme Ambulance de Tri, reçoit 436 blessés. Les évacuations se font par les sections automobiles sanitaires vers la gare d'Hargicourt et sur celle de Montdidier. Pour les petits blessés sur le dépôt d'éclopés de Just-Just-en-Chaussée.

26 septembre 1914

Les troupes de la 27e (Division d'infanterie) dans des alternatives d'avance et de reculs conservent à peu près les mêmes positions. Le P.C. du Général Cdt la division de l'A.D. 27 et du Service de Santé fonctionnent à la "Tour Carrée" à 1 kilomètre à l'O. de Lihons. Les cantonnements pour toute la division restent les mêmes. Action toujours très vive. L'Ambulance 13 reçoit 738 blessés. L'Ambulance 5 qui fonctionne à cette date comme ambulance Immobilisée pour blessés graves reçoit 42 blessés.
Les évacuations se font sur les mêmes dispositions que la veille.

27 septembre 1914

Aucun changement dans les positions. La 27e Division conserve le même secteur sous un violent bombardement de la part de l'ennemi. L'Ambulance 13 reçoit encore 445 blessés, l'Ambulance 5 : 459 dont 20 officiers. Tous les locaux disponibles à Rosières sont réquisitionnés et l'église est bondée de blessés. Mêmes dispositions pour les évacuations.


28 septembre 1914

L'action contenue, même secteur et mêmes dispositions. Les ambulances reçoivent 137 blessés de la division.

29 septembre 1914

Aucun changement, bombardement intense. L'état devient stable. Les blessés sont moins nombreux. 80 blessés sont évacués.

30 septembre 1914

Mêmes dispositions. Les régiments creusent de nombreuses tranchées et le nombre de blessés s'est notablement abaissé. L'Ambulance N° 1 partant de Guillaucourt et l'Ambulance N° 3 partant d'Hangest viennent fonctionner à Rosières en remplacement de l'Ambulance 13 qui rejoint Guillaucourt.

1er octobre 1914

Action assez violente. 148 blessés sont évacués par les mêmes dispositions que les jours précédents par l'Ambulance 5.

2 octobre 1914

Le G.B.D. fonctionne en 2 sections. La 1ère à Rosières au passage à niveau sur la route de Lihons, sous les ordres du Médecin-Chef de la formation. La 2e à Méharicourt sous les ordres du Médecin Aide-Major CASTAY (?). 154 blessés sont évacués. Les blessés légers sur la gare de Moreuil, les blessés graves à Montdidier.

3 octobre 1914

Le P.C. de la division est organisé. Des abris ont été creusés et couvert assez fortement peuvent résister aux obus de petits calibres. Le commandement installe une salle de réfectoire et le poste devient un cantonnement assez confortable. L'actin reste assez vive ; 93 blessés sont évacués par l'Ambulance de tri sur l'Hôpital d'Évacuation de Villers-Bretonneux.

4 octobre 1914

Peu de blessés - Même disposition

5, 6 et 7 octobre 1914

Sans changement

8 octobre 1914

Action assez vive. 238 blessés sont évacués. Aucune modification dans le secteur.

9 octobre 1914

Le G.B.D. se transporte à la sucrerie de Vrély à la sortie O. de Rosières, route de Caix. Bombardement violent ; peu de blessés. L'Ambulance 6 affectée à la 27e Division fonctionne comme ambulance de tri à Harbonnières.

10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19 et 20 octobre 1914

Peu de blessés. Sans modification. Les évacuations se font sur la gare de Guillaucourt.


.../

Sources : 27e Division d'infanterie
Service de santé divisionnaire : J.M.O., 26 N 314/10 (pages 5 et 6/27)

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7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)


25 septembre 1914

La 27e Division continue son attaque dans la direction de Nesle.
Le 7e Bataillon de Chasseurs en première ligne de la 54e Brigade a comme direction pour sa gauche la voie ferrée de Nesle avec comme objectif Puzeaux et Punchy.
Le 7e Battaillon rompt à 5 heures 30 dans la formation suivante :
En première ligne : 6e, 4e, 1e et 5e compagnies
La 1ère Cie de direction appuyant sa gauche à la voie ferrée.
En seconde ligne : 2e et 3e Cies arrivées sur le front : boqueteau 600 mètres de la bifurcation des 2 voies ferrées et passage à niveau du chemin menant au bois à l'O. de Chaulnes. Les Cies de première ligne sont ralenties dans leur mouvement par une violente canonnade venant d'un boqueteau situé entre la station de Chaulnes et Hallu, à l'E. de la voie ferrée et peu après 6 h. 30, par une fusillade partant de station de Chaulnes et du bois en trapèze à l'O. de Chaulnes.
Pour parer à ces incidents, la 5e Cie et les mitrailleuses sont placées face au Nord dans les tranchées du chemin de fer à hauteur de l'embranchement du chemin de la demi-lune, la 3e Cie est portée en avant en renfort des unités de première ligne. Elle progresse malgré une canonnade intense (8 h.) et va se placer dans l'intervalle placé entre les 1ère et 4e Cies (terrain découvert entre le bois et la voie ferrée).
La 2e Cie reçoit l'ordre de se placer au Nord de la voie ferrée pour faire face à une attaque allemande qui paraît déboucher des bois de Chaulnes.
Deux capitaines d'artillerie partie en reconnaissance vers 6 h. dans la direction du bois en triangle n'ayant pas reparus, une section de la 5e Cie prend l'offensive vers 7 h. dans la diredtion du bois et, aidée par le feu des autres sections de la 5e Cie parvient à repousser vers la lisière du bois les éléments ennemis (3 sections) qui en avaient débouché. Cette section rejoint ensuite la gauche de la 1ère Cie au passage à niveau.
Une nouvelle offensive ennemie dans la même direction forte d'environ une compagnie est de nouveau arrêtée.
A 9 h. 30, toutes les compagnies arrêtées momentanément dans leur offensive organisent le terrain conquis.
A partir de 11 h., à la canonnade venant de l'Est, s'ajoute celle d'une batterie que les Allemands viennent d'installer à 1200 m. de la lisière S. du bois à l'O. de Chaulnes. Cette batterie fait subir de grosses pertes aux unités.
Le Lt de LAMAURELLE est blessé mortellement, le chef de bataillon GOUBEAU est blessé peu après et passe le commandement au capitaine BRÉMOND (12 h. 30).
Cependant les unités de première ligne sont sérieusement éprouvées par une canonnade venant à la fois de de l'E. et du S.E. (?) ou N.E., et concentrée sur le boqueteau et le passage à niveau.
A partir de 13 h., le mouvement de l'infanterie ennemie soutenu par une section de mitrailleuses qui tire du boqueteau 86 (?), s'accentue par le S. tendant à déborder le flanc droit de la 1ère ligne.
Sont successivement blessés :
le capitaine MARTIN, commandant la 4e Cie
le lieutenant SICARD de la 7e Cie
le lieutenant JULLIAN, commandant la 1ère Cie.

7e bataillon de chasseurs à pied : J.M.O.
J.M.O. - 27 juillet 1914-13 avril 1915 - 26 N 817/13
(page 46 et suivantes/107)

https://www.memoiredeshommes.defense.go ... mage/24527

CHAULNES Carte d'état major 19e siècle 3.jpg (1.02 Mio) Consulté 97 fois

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7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)


Début novembre 1914

Le bataillon est envoyé dans un autre secteur du front, celui d'Ypres en Belgique.
Voici quelques éléments, mais ceci est une autre histoire.


LAFOND Jean Joseph
Disparu le 7 novembre 1914 à Ypres (Belgique)
Né le 8 février 1890 à Boulieu-lès-Annonay (Ardèche)
chasseur de 1re classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1910 - Bureau de recrutement de Privas (Ardèche) - Matricule au recrutement : 544
Mention : Mort pour la France
Jugement déclaratif de décès rendu le 25 octobre 1922 par le tribunal civil de Tournon-du-Rhône (Ardèche.
Lieu de transcription du décès : Boulieu-lès-Annonay (Ardèche) le 7 novembre 1922


COMMET Henri
Décédé le 9 novembre 1914 à hôpital auxiliaire n° 24 d'Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine (ex Seine et Seine-et-Oise) des suites de blessures de guerre
Né le 6 mai 1891 à Hastingues (Landes)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA) - 3e compagnie
Matricule au corps : 3451
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) - Matricule au recrutement : 2032
Mention : Mort pour la France
Cause du décès : des suites de blessures
Lieu de transcription du décès : Came (Pyrénées-Atlantiques (ex Basses-Pyrénées) le


ASSEMAT Louis
Tué à l'ennemi le 13 novembre 1914 à Ypres (Belgique)
Né le 9 janvier 1881 à Cambounès (Tarn)
chasseur de 2e classe au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe : 1901 - Bureau de recrutement de Carcassonne (Aude) - Matricule au Rt : 1526
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Cambounès (Tarn) le 26 juin 1916


BONNIS Ernest Paul Albert
Mort pour la France le/en 13/11/1914 à Ypres (Zandwoord-lès-Ypres, Belgique)
Né le 17 juillet 1888 à Grignan (Drôme)
sergent au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Nice (Alpes-Maritimes) - Matricule au Rt : 1555
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Nice (Alpes-Maritimes) le 4 mars 1915


SERTILANGE François
Tué à l'ennemi le 13 novembre 1914 à Zandvoorde (Belgique)
Né le 16 avril 1893 à Saint-Marcel (Saône-et-Loire)
sergent au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe 1910 - Bureau de recrutement de Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) - Matricule au recrutement : 937
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saint-Marcel (Saône-et-Loire) le 27 mars 1915


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Journal officiel du 28 novembre 1921 pages 2751 et 2752

MICHEL (Lambert-Antony-Joseph), matricule 01535, sergent : sous-officier possédant au plus haut degré l'esprit du devoir et du sacrifice. Blessé une première fois en septembre a refusé de se faire évacuer. A été tué, le 16 novembre 1914, alors que, debout sur le parapet. Il entraînait ses hommes pour une contre-attaque. A été cité.








MICHEL Eugène Lambert Antony Joseph
Tué au combat le 16novembre 1914 à Ypres (Belgique)
Né le 7 juin 1883 à Nice (Alpes-Maritimes)
sergent au 7e bataillon de chasseurs alpins (7e BCA)
Classe : 1903 - Bureau de recrutement de Nice (Alpes maritimes) - Matricule au Rt : 1624
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Toulon (Var) le 4 septembre 1918