Bonjour
Comme je l'inscrit dans l'annonce sur ma plume j'aimerais savoir si qq a entendu parlé du
LIEUTENANT ou TROUBADE FERNAND SEE (SéE)
qui a surement existé en 14 18 ou avant ......
Merci !!!
FERNAND Sée Lieutenant ? Troubade ?
Re: FERNAND Sée Lieutenant ? Troubade ?
Euh... je ne suis pas sûr de comprendre votre question 
voici tout de même un capitaine Sée en 1914 :
(Source : Gallica)
Cordialement.
PS : marrant ce terme de troubade (=soldat d'infanterie), je ne connaissais pas.
voici tout de même un capitaine Sée en 1914 :(Source : Gallica)
Cordialement.
PS : marrant ce terme de troubade (=soldat d'infanterie), je ne connaissais pas.
Re: FERNAND Sée Lieutenant ? Troubade ?
Bonsoir,
Pour info: Jean750 renvoie à la question qu'il a posée ici:
pages1418/annonces-pages-collectionneur ... 4638_1.htm
Bien à vous,
Achache
Pour info: Jean750 renvoie à la question qu'il a posée ici:
pages1418/annonces-pages-collectionneur ... 4638_1.htm
Bien à vous,
Achache
Achache
Émouvante forêt, qu'avons-nous fait de toi ?
Un funèbre charnier, hanté par des fantômes.
M. BOIGEY/LAMBERT, La Forêt d'Argonne, 1915
Émouvante forêt, qu'avons-nous fait de toi ?
Un funèbre charnier, hanté par des fantômes.
M. BOIGEY/LAMBERT, La Forêt d'Argonne, 1915
Re: FERNAND Sée Lieutenant ? Troubade ?
SUPER MERCI !!!
Oui en effet j'essaye de dater la 'plume de troubade" qui porte son nom
Oui en effet j'essaye de dater la 'plume de troubade" qui porte son nom
Re: FERNAND Sée Lieutenant ? Troubade ?
Je ne pensais pas qu'il y a avait des archives photo en ligne su Gallica
ca m'a l'air assez genial !
ca m'a l'air assez genial !
Re: FERNAND Sée Lieutenant ? Troubade ?
Merci Achache, je n'avais pas réussi à trouver cette discussion !
Pour les photos militaires sur Gallica, il ne faut pas s'attendre à une caverne d'Ali Baba... Si ce capitaine Sée est bien notre homme, ce sera juste un gros coup de chance.
Concernant les définitions de mots, j'aime bien le "Trésor de la langue française" car il donne généralement l'étymologie du mot.
Voici la définition donnée pour "troubade" :
<< TROUBADE Arg. milit., vieilli. Fantassin. Synon. troubadour (v. ce mot B 3).
Étymol. et Hist. 1859 « soldat d'infanterie, homme de troupe » (ds ESN.). Abrév. de troubadour « troupier » (1833, ibid.). >>
Source : http://atilf.atilf.fr
Cordialement.
Pour les photos militaires sur Gallica, il ne faut pas s'attendre à une caverne d'Ali Baba... Si ce capitaine Sée est bien notre homme, ce sera juste un gros coup de chance.
Concernant les définitions de mots, j'aime bien le "Trésor de la langue française" car il donne généralement l'étymologie du mot.
Voici la définition donnée pour "troubade" :
<< TROUBADE Arg. milit., vieilli. Fantassin. Synon. troubadour (v. ce mot B 3).
Étymol. et Hist. 1859 « soldat d'infanterie, homme de troupe » (ds ESN.). Abrév. de troubadour « troupier » (1833, ibid.). >>
Source : http://atilf.atilf.fr
Cordialement.
Re: FERNAND Sée Lieutenant ? Troubade ?
Bonjour Jean, bonjour à tous,
Une source d'informations là : http://judaisme.sdv.fr/perso/see/see1.htm
"Gloires militaires
Léopold Sée (Bergheim 1822 - Paris 1904, fils d’Israël-Gabriel) est le premier Juif ayant obtenu, en France, le grade de général de division. Capitaine en 1849, il sert en Algérie avant de prendre part, en 1854-1855, aux opérations de la guerre de Crimée : la bataille de l’Alma, le siège de Sébastopol, la prise de Malakoff où il entre l’un des premiers et reçoit une blessure. Chef de bataillon aux grenadiers de la garde impériale en 1858, Léopold Sée fait la campagne d’Italie et combat bravement à Magenta en 1859. Comme lieutenant-colonel, il fait partie en 1867 du corps d’occupation des Etats pontificaux, puis il est nommé, l’année suivante, colonel commandant le 65e régiment de ligne à Valenciennes, avec lequel il combat à Gravelotte et à Saint-Privat en 1870. Blessé et fait prisonnier, il est nommé général de brigade la paix revenue, puis général de division en 1880. Promu grand officier de la Légion d’honneur en 1885, il prend sa retraite à Paris en 1889.
Ses fils Fernand (né en 1873) et Raymond (né en 1876) seront respectivement colonel et chef d’escadron durant la première guerre mondiale. Son gendre, M. Dreyfus-Sée, deviendra par la suite le trésorier général de la Fédération nationale des anciens prisonniers de guerre. Enfin son frère Jacques Sée (né en 1824), capitaine d’infanterie, de même que ses cousins Léon (né en 1825), chef de bataillon, Michel (né en 1830), sous-lieutenant, et Achille (né en 1842), lieutenant, prendront part à des titres divers à la guerre de 1870-1871."
Voir aussi là car je pense que c'est le même officier : http://iconeftp.campus-insep.com/catalo ... 12802.html
Et encore là : http://www.genemilassoc.fr/charge.php?f=MTQ1Ng== (historique du 327e RI)
"Les 20 août (1918) et jours suivant, la progression continue par Tartiers et le Stand de Vaugerins ; le
régiment, malgré la défense acharnée de divisions fraîches amenées en toute hâte sur le champ de bataille,
s’empare de Villers-Fosse et s’installe sur la chaussée Brunehaut.
Laissons au commandement le soin d’apprécier la conduite du 327° RI et reportons nous au texte de la
deuxième citation à l’ordre de la V° Armée obtenue par ce régiment :
« Excellent régiment, remarquable par son entrain et sa solidité. Au cours des récentes opérations
offensives, d‘abord sous les ordres du lieutenant-colonel SÉE, puis sous le commandement provisoire
du commandant CHAUMONT, s’est emparé de positions et d’un village puissamment fortifiés. A
conquis quatre canons et plus de 400 prisonniers appartenant à trois divisions ennemies différentes »"
Cordialement,
Adal
Une source d'informations là : http://judaisme.sdv.fr/perso/see/see1.htm
"Gloires militaires
Léopold Sée (Bergheim 1822 - Paris 1904, fils d’Israël-Gabriel) est le premier Juif ayant obtenu, en France, le grade de général de division. Capitaine en 1849, il sert en Algérie avant de prendre part, en 1854-1855, aux opérations de la guerre de Crimée : la bataille de l’Alma, le siège de Sébastopol, la prise de Malakoff où il entre l’un des premiers et reçoit une blessure. Chef de bataillon aux grenadiers de la garde impériale en 1858, Léopold Sée fait la campagne d’Italie et combat bravement à Magenta en 1859. Comme lieutenant-colonel, il fait partie en 1867 du corps d’occupation des Etats pontificaux, puis il est nommé, l’année suivante, colonel commandant le 65e régiment de ligne à Valenciennes, avec lequel il combat à Gravelotte et à Saint-Privat en 1870. Blessé et fait prisonnier, il est nommé général de brigade la paix revenue, puis général de division en 1880. Promu grand officier de la Légion d’honneur en 1885, il prend sa retraite à Paris en 1889.
Ses fils Fernand (né en 1873) et Raymond (né en 1876) seront respectivement colonel et chef d’escadron durant la première guerre mondiale. Son gendre, M. Dreyfus-Sée, deviendra par la suite le trésorier général de la Fédération nationale des anciens prisonniers de guerre. Enfin son frère Jacques Sée (né en 1824), capitaine d’infanterie, de même que ses cousins Léon (né en 1825), chef de bataillon, Michel (né en 1830), sous-lieutenant, et Achille (né en 1842), lieutenant, prendront part à des titres divers à la guerre de 1870-1871."
Voir aussi là car je pense que c'est le même officier : http://iconeftp.campus-insep.com/catalo ... 12802.html
Et encore là : http://www.genemilassoc.fr/charge.php?f=MTQ1Ng== (historique du 327e RI)
"Les 20 août (1918) et jours suivant, la progression continue par Tartiers et le Stand de Vaugerins ; le
régiment, malgré la défense acharnée de divisions fraîches amenées en toute hâte sur le champ de bataille,
s’empare de Villers-Fosse et s’installe sur la chaussée Brunehaut.
Laissons au commandement le soin d’apprécier la conduite du 327° RI et reportons nous au texte de la
deuxième citation à l’ordre de la V° Armée obtenue par ce régiment :
« Excellent régiment, remarquable par son entrain et sa solidité. Au cours des récentes opérations
offensives, d‘abord sous les ordres du lieutenant-colonel SÉE, puis sous le commandement provisoire
du commandant CHAUMONT, s’est emparé de positions et d’un village puissamment fortifiés. A
conquis quatre canons et plus de 400 prisonniers appartenant à trois divisions ennemies différentes »"
Cordialement,
Adal
Adal