Alfred-de-Courcy – Trois-mâts goélette de 165,06 tx jb construit en 1904 par le chantier Perrot de Paimpol (Côtes-du-Nord – aujourd’hui Côtes-d’Armor –) pour le compte l’armement Veuve BUHOT de LAUNAY – née Marie Louise LE FEUVRE –, établi dans le même port. Coût présumé ou constaté par l’administration des Douanes, 59.289,30 fr. (« Situation, au 1er novembre 1909, du tonnage admis à participer aux primes à la navigation et compensations d'armement. » : J.O. 13 nov. 1909, p. 10.963 et 10.965 – Date de rang : 19 août 1903 ).
En 1909, étant devenu la propriété de la Société Edgard Dufilhol et Fils, de Lorient (Morbihan), armé à Paimpol pour la pêche à la morue en Islande ; alors commandé par le capitaine Ethès (Déc. du Sous-secrétaire d’État à la Marine en date du 20 déc. 1909 allouant des primes de propreté à des bâtiments armés en 1909 pour la pêche de la morue dans la Manche et la mer du Nord, en Islande et à Terre-Neuve : J.O. 31 déc. 1909, p. 12.406). Lors de sa perte, armé au cabotage international à Paimpol ; alors commandé par le capitaine Kermarec ; monté par 7 hommes d’équipage.
L’Alfred-de-Courcy fut arraisonné et coulé au canon le 25 novembre 1916 par le sous-marin allemand UC-26 (Oberleutnant zur See Matthias Graf von Schmettow) à 22 milles dans le N.N.-W. de l’île d’Ouessant, par 48° 50’ N. et 5° 05’ W., alors qu’il allait de Port-Talbot (Pays de Galles, Royaume-Uni) à La Rochelle avec un chargement de charbon. Le capitaine et l’équipage furent recueillis par le vapeur portugais Ovar [Transportes Maritimos do Estado, Lisbonne], puis transbordés sur le bateau-pilote n° 5 de la station de Belle-Île qui les débarqua au Palais – très probablement le Bangor, encore dénommé « Loire n° 5 », sloop de 27,80 tx construit en 1898 au Palais.
Le même jour, à 25 milles dans le N.N.-W. de l’île d’Ouessant, fut arraisonné et coulé au canon par le même sous-marin le trois-mâts goélette Malvina, bâtiment de 112 tx jb appartenant à l’armement Julien Lorre, de Saint-Pierre-de-Plesguen (Ille-et-Vilaine), armé au cabotage à Saint-Malo.
En 1909, étant devenu la propriété de la Société Edgard Dufilhol et Fils, de Lorient (Morbihan), armé à Paimpol pour la pêche à la morue en Islande ; alors commandé par le capitaine Ethès (Déc. du Sous-secrétaire d’État à la Marine en date du 20 déc. 1909 allouant des primes de propreté à des bâtiments armés en 1909 pour la pêche de la morue dans la Manche et la mer du Nord, en Islande et à Terre-Neuve : J.O. 31 déc. 1909, p. 12.406). Lors de sa perte, armé au cabotage international à Paimpol ; alors commandé par le capitaine Kermarec ; monté par 7 hommes d’équipage.
L’Alfred-de-Courcy fut arraisonné et coulé au canon le 25 novembre 1916 par le sous-marin allemand UC-26 (Oberleutnant zur See Matthias Graf von Schmettow) à 22 milles dans le N.N.-W. de l’île d’Ouessant, par 48° 50’ N. et 5° 05’ W., alors qu’il allait de Port-Talbot (Pays de Galles, Royaume-Uni) à La Rochelle avec un chargement de charbon. Le capitaine et l’équipage furent recueillis par le vapeur portugais Ovar [Transportes Maritimos do Estado, Lisbonne], puis transbordés sur le bateau-pilote n° 5 de la station de Belle-Île qui les débarqua au Palais – très probablement le Bangor, encore dénommé « Loire n° 5 », sloop de 27,80 tx construit en 1898 au Palais.
Le même jour, à 25 milles dans le N.N.-W. de l’île d’Ouessant, fut arraisonné et coulé au canon par le même sous-marin le trois-mâts goélette Malvina, bâtiment de 112 tx jb appartenant à l’armement Julien Lorre, de Saint-Pierre-de-Plesguen (Ille-et-Vilaine), armé au cabotage à Saint-Malo.
• L’Ouest-Éclair – éd. de Caen –, n° 6.238, Mercredi 29 novembre 1916, p. 4, en rubrique « Nouvelles maritimes ».


Sister ship de l’Alfred-de-Courcy : Pâquerette, trois-mâts goélette de 165,02 tx jb et de 127,49 tjn, également construit par le chantier Perrot de Paimpol pour le compte l’armement Veuve BUHOT de LAUNAY (« Situation, au 1er novembre 1909, du tonnage admis à participer aux primes à la navigation et compensations d'armement. » : J.O. 13 nov. 1909, p. 10.963 et 10.965 – Date de rang : 19 août 1903 ). Ultérieurement propriété de l’armement Georges Verry-Carfantan, de Binic (Côtes-du-Nord – aujourd’hui Côtes-d’Armor –).
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