16e R.I.T.
PINGRET (Firmin-Charles-Oswald)
Journal officiel du 1er janvier 1915 page 8
ARMÉE TERRITORIALE
PROMOTIONS ET NOMINATIONS
Infanterie. — Par décision ministérielle en date du 21 décembre 1914, et par application du décret du 26 août 1914, les promotions à titre temporaire et pour la durée de la guerre ciaprès sont approuvées :
Au grade de sous-lieutenant
M. PINGRET, sergent au 16e régiment territorial d'infanterie. - Maintenu à dater du 21 novembre 1914.
16e régiment d'infanterie territoriale : J.M.O. 26 N 776/2
J.M.O. du 8 octobre 1914 au 15 juillet 1915
pages 37 et 38/63
Ordre de bataille du régiment - 31 janvier 1915
&
16e régiment d'infanterie territoriale : J.M.O. cote 26 N 776/3
J.M.O. du 16 juillet 1915 au 25 janvier 1916
pages 21 et 22/53
Ordre de bataille du régiment - 18 octobre 1915
2e Bataillon
Chef de bataillon BEAUCAMPS, commandant
...
8e Cie ROSSI, capitaine...
PINGRET, S/lieutenant
Journal officiel du 24 novembre 1916 page 10200
Par décret du Président de la République en date du 21 novembre 1916, rendu sur la proposition du ministre de la guerre, sont nommés à titre définitif au grade de sous-lieutenant dans l'infanterie (année territoriale), pour prendre rang du 24 octobre 1916, les officiers et les sous-ofticiers ci-après désignés :
M. PINGRET (F.-C.-O.), du 16e régiment territorial d'infanterie.
J.O. du 19 janvier 1918 page 747
1918/01/19 (A50,N18).Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181
INFANTERIE
PROMOTIONS, NOMINATIONS ET MUTATIONS Armée territoriale.
Par décret du Président de la République en date du 7 janvier 1918, rendu sur la proposition du président du conseil, ministre de la guerre, et par application de la loi du 10 août 1917 ; sont promus à titre définitif au grade de lieutenant, pour prendre rang des dates indiquées ci-après, les sous-lieutenants d'infanterie territoriale dont les noms suivent :
PINGRET (F.-C.-O.), du 16e régiment territorial d'infanterie. (21 novembre 1916)
J.O. du 2 janvier 1918 page 120
Par décision ministérielle en date du 24 décembre 1917, les mutations ci-après sont prononcées :
M. PINGRET (F.-C.), sous-lieutenant de territoriale au 16e régiment d'infanterie territoriale, passe au 26e régiment territorial d'infanterie.
J.O. du 27 juillet 1929 page 8475
Par décret du 25 juillet 1929, vu la déclaration du conseil de l'ordre de la Légion d'honneur, portant que les nominations du présent décret sont faites en conformité des lois, décrets et règlements en vigueur, sont nommés au grade de chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur, au titre des réserves sans traitement, les militaires dont les noms suivent :
PINGRET (Firmin-Charles-Oswald), lieutenant au centre de mobilisation n°. 22 ; 32 ans de services, 4 campagnes. A été blessé et cité.
PINGRET (Firmin-Charles-Oswald)
Né le 13 avril 1878 au Quesnel (Somme)
Meunier de profession
N° matricule au recrutement : 1034
Il mesure 1 mètre 70 et possède un degré d'instruction de niveau 3.
Engagé volontaire pour trois ans le 3 décembre 1896 à la mairie de Péronne pour le 127e R.I. Nommé caporal en septembre 1897 et sergent l'année suivante en septembre 1898. Muni du certificat de bonne conduite, il est libéré du service actif le 3 décembre 1899.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914. Il arrive au corps le 4 août 1914 au 16e régiment territorial d'infanterie à Péronne et y porte le n° matricule : 53.
Promu sous-lieutenant à titre temporaire le et pour la durée de la guerre le 21 novembre 1914...
Citation à l'ordre du régiment n° 124 du 6 novembre 1915
"Au front depuis le premier jour, blessé en accomplissant une mission en Belgique, n'a pas été évacué. Dans le nouveau secteur a donné l'exemple en faisant des patrouilles et en installant lui-même des défenses accessoires en avant de nos lignes. Officier énergique et très dévoué."
Croix de guerre avec étoile de bronze.
Campagne contre l'Allemagne du 4 août 1914 au 11 février 1919.
Sources : archives départementales de la Somme
[1R912] - Péronne (Somme, France) - Registres matricules | 1898 - 1898
Voir son dossier sur la base leonore
[LH/2775/59] - Paris (Paris, France) - Ordre de la Légion d'honneur
Il décède le 24 décembre 1941 à - Le Quesnel (Somme), à l'âge de 63 ans
16è RIT
Re: 16è RIT
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 16è RIT
16e régiment territorial d'infanterie
Journal officiel du 3 janvier 1924 page 786
Médaille militaire
16e régiment territorial d'infanterie.
JUBERT (Delphin-Arthur), matricule 2536, soldat : bon soldat ayant eu une belle conduite au feu. Tué glorieusement à son poste de combat, en Belgique, le 11 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.
Delphin Arthur JUBERT
Mort pour la France le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique) - Disparu au combat.
Né le 23 septembre 1876 à Smermesnil (Seine-Maritime (ex Seine-Inférieure)
Classe 1896 - Bureau de recrutement Seine 1er Bureau (75)
n° matricule au recrutement : 4144
Mention : Mort pour la France
Jugement rendu le 26 novembre 1920 par le tribunal de la Seine
Jugement transcrit le 23 décembre 1920 à Epinay (Seine)
Verrier de profession il demeure à Saint-Denis, avenue de Paris dans sa vingtième année. en juin 1913, il demeure à Epinay au 43, rue Saint-Marc.
Affecté au 16e régiment territorial d'infanterie, il y est rappelé pour répondre à l'ordre de mobilisation générale du 1er août août 1914. Il arrive au corps à Péronne (Somme), le 4 août 1914. Il est porté disparu le 11 novembre 1914 lors des combats du régiment à Lombaertzyde (Belgique).
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine
JUBERT Delphin Arthur matricule 4144 D4R1 879
Journal officiel du 3 janvier 1924 page 786
Médaille militaire
16e régiment territorial d'infanterie.
KUHN (Nicolas), matricule 3146, soldat : soldat ayant eu une bette conduite au feu. Tué à son poste de combat, à Courcelles-le-Comte, le 4 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.
Nicolas KUHN
Mort pour la France le 4 octobre 1914 à Courcelles-le-Comte (Pas-de-Calais) - Tué à l'ennemi.
Né le 6 septembre 1876 à Pantin (Seine-Saint-Denis) (ex Seine et Seine-et-Oise)
38 ans et 28 jours
soldat de 2e classe au 16e régiment d'infanterie territoriale (16e RIT)
Classe 1896 - Bureau de recrutement Seine 1er bureau (75)
Matricule au recrutement : 1562
Mention : Mort pour la France
Jugement rendu le 23 juillet 1920 par le tribunal de la Seine
Lieu de transcription du décès : Paris 19e arrondissement le 17 septembre 1920
Nicolas KUHN est teinturier de profession. Il demeure dans le 19e arrondissement de la capitale.
Entre 1910 et 1913 il est condamné plusieurs fois pour port d'arme prohibée, outrages à agents et insoumission (en juillet 1913) mais finit par se présenter volontairement.
Affecté au 16e régiment territorial d'infanterie, c'est là qu'il est rappelé lors de la mobilisation générale début août 1914. Il arrive au corps à Péronne (Somme) le 4 août 1914
Disparu au combat il est déclaré tué à l'ennemi antérieurement au 17 anvier 1915. Inhumé par les Allemands à Courcelles-le-Comte.
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine
KUHN Nicolas matricule 1562 D4R1 874
Journal officiel du 3 janvier 1924 page 786
Médaille militaire
16e régiment territorial d'infanterie.
JUBERT (Delphin-Arthur), matricule 2536, soldat : bon soldat ayant eu une belle conduite au feu. Tué glorieusement à son poste de combat, en Belgique, le 11 novembre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.
Delphin Arthur JUBERT
Mort pour la France le 11 novembre 1914 à Lombaertzyde (Belgique) - Disparu au combat.
Né le 23 septembre 1876 à Smermesnil (Seine-Maritime (ex Seine-Inférieure)
Classe 1896 - Bureau de recrutement Seine 1er Bureau (75)
n° matricule au recrutement : 4144
Mention : Mort pour la France
Jugement rendu le 26 novembre 1920 par le tribunal de la Seine
Jugement transcrit le 23 décembre 1920 à Epinay (Seine)
Verrier de profession il demeure à Saint-Denis, avenue de Paris dans sa vingtième année. en juin 1913, il demeure à Epinay au 43, rue Saint-Marc.
Affecté au 16e régiment territorial d'infanterie, il y est rappelé pour répondre à l'ordre de mobilisation générale du 1er août août 1914. Il arrive au corps à Péronne (Somme), le 4 août 1914. Il est porté disparu le 11 novembre 1914 lors des combats du régiment à Lombaertzyde (Belgique).
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine
JUBERT Delphin Arthur matricule 4144 D4R1 879
Journal officiel du 3 janvier 1924 page 786
Médaille militaire
16e régiment territorial d'infanterie.
KUHN (Nicolas), matricule 3146, soldat : soldat ayant eu une bette conduite au feu. Tué à son poste de combat, à Courcelles-le-Comte, le 4 octobre 1914. Croix de guerre avec étoile de bronze.
Nicolas KUHN
Mort pour la France le 4 octobre 1914 à Courcelles-le-Comte (Pas-de-Calais) - Tué à l'ennemi.
Né le 6 septembre 1876 à Pantin (Seine-Saint-Denis) (ex Seine et Seine-et-Oise)
38 ans et 28 jours
soldat de 2e classe au 16e régiment d'infanterie territoriale (16e RIT)
Classe 1896 - Bureau de recrutement Seine 1er bureau (75)
Matricule au recrutement : 1562
Mention : Mort pour la France
Jugement rendu le 23 juillet 1920 par le tribunal de la Seine
Lieu de transcription du décès : Paris 19e arrondissement le 17 septembre 1920
Nicolas KUHN est teinturier de profession. Il demeure dans le 19e arrondissement de la capitale.
Entre 1910 et 1913 il est condamné plusieurs fois pour port d'arme prohibée, outrages à agents et insoumission (en juillet 1913) mais finit par se présenter volontairement.
Affecté au 16e régiment territorial d'infanterie, c'est là qu'il est rappelé lors de la mobilisation générale début août 1914. Il arrive au corps à Péronne (Somme) le 4 août 1914
Disparu au combat il est déclaré tué à l'ennemi antérieurement au 17 anvier 1915. Inhumé par les Allemands à Courcelles-le-Comte.
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine
KUHN Nicolas matricule 1562 D4R1 874
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 16è RIT
16e régiment d'infanterie territoriale (16e RIT)
LOFFROY Albert Oscar Gabriel
Classe 1898 - N° matricule au recrutement de Péronne 48
Originaire de Marcé-Allouarde, village proche de Roye (Somme), où il est né le 5 avril 1878, ce couvreur exerce sa profession dans son village.
L'homme mesure 1 mètre 70, possède un degré d'instruction de niveau 3. Il a les cheveux et sourcils châtain foncé, les yeux châtains, le front ordinaire, le nez long, la bouche moyenne, le menton rond et le visage ovale.
En 1906, couvreur et patron de son entreprise, il habite encore avec ses parents et ses neveux, rue de Billancourt (recensement de pop. de Marché-Allouarde).
A 36 ans, cet ancien du 128e régiment d'infanterie, fut aussi soldat, durant un temps, au régiment de Marche du Corps expéditionnaire de Chine en août et septembre 1900. Il semble avoir un caractère bien trempé comme la suite va le démontrer.
Lorsque la Première Guerre Mondiale se déclenche, il est rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914, il arrive à Péronne le 4 août suivant où le n° matricule au corps 5322 lui est attribué. Soldat de la territoriale, il est incorporé au 16e régiment territorial. Il est nommé caporal le 16 octobre 1914 (ordre du régiment n° 11), puis sergent le 13 décembre 1914 (ordre du régiment n° 23).
Il est titulaire d'une citation à l'ordre du régiment n° 88 du 29 août 1915
"Pendant l'occupation des dunes au Nord de Lombartzyde-Bains (sic) était placé avec son camarade à la gauche de la ligne vers la mer. A fait de nombreuses patrouilles les 9, 10 et 11 novembre, sous le feu de l'ennemi dont il a, un des premiers, signalé l'offensive. A tenu bon avec son escouade jusqu'au moment où l'ordre de se replier lui a été donné. L'a fait en combattant. A brûlé toutes ses cartouches ainsi que celles des tués et des blessés tombés près de son escouade. N'a cessé depuis de faire preuve en toutes circonstances de sang-froid, d'endurance et d'énergie."
Il passe au 201e régiment d'infanterie le 30 avril 1917 aux armées. On ignore pour quelles circonstances, mais il est cassé de son grade de sergent le 9 août 1917 et remis soldat de 2e classe (% du régiment n° 489). L'année 1917 est celle de la contestation. A-t-il eu un différend avec un gradé ? Ce soldat, digne descendant des grognards de l'Empire, sera évacué malade le 17 septembre 1917 puis reviendra aux armées le 21 novembre 1917. Il sera de nouveau évacué, mais cette fois-ci blessé, le 6 février 1918, pour brûlures pied gauche face dorsale par gaz. Il rentrera au dépôt le 23 mai pour rejoindre les armées une semaine plus tard, le 31 mai. Il passera au 86e régiment d'artillerie lourde le 14 août 1918. Après l'armistice, il restera sous les drapeaux et ne sera finalement envoyé en congé illimité de démobilisation que le 27 février 1919. Il se retirera alors à Roye.
Campagne contre l'Allemagne du 4 août 1914 au 26 février 1919
Aux Armées N.N.E. du 4 août 1914 au 17 septembre 1917
Intérieur campagne simple du 18 septembre au 20 novembre 1917
Aux Armées N.N.E. du 21 novembre 1917 au 6 février 1918
Intérieur campagne double blessé du 7 février au 30 mai 1918
Aux Armées du 31 mai au 13 août 1918
Intérieur du 14 août 1918 au 26 février 1919
Loffroy, Albert Oscar Gabriel, né le 5 avril 1878 à Marché-Allouarde (Somme), classe 1898, matricule n° 48, Bureau de recrutement de Péronne 1R910 Archives de la Somme
On le retrouve sur la liste électorale de Roye en 1920 (Liste électorale de Roye en 1920 3M530 Archives de la Somme), exerçant sa profession de couvreur rue de Noyon. On perd ensuite sa trace.
https://archives.somme.fr/ark:/58483/vd ... fc71bd4b1a
LOFFROY Albert Oscar Gabriel
Classe 1898 - N° matricule au recrutement de Péronne 48
Originaire de Marcé-Allouarde, village proche de Roye (Somme), où il est né le 5 avril 1878, ce couvreur exerce sa profession dans son village.
L'homme mesure 1 mètre 70, possède un degré d'instruction de niveau 3. Il a les cheveux et sourcils châtain foncé, les yeux châtains, le front ordinaire, le nez long, la bouche moyenne, le menton rond et le visage ovale.
En 1906, couvreur et patron de son entreprise, il habite encore avec ses parents et ses neveux, rue de Billancourt (recensement de pop. de Marché-Allouarde).
A 36 ans, cet ancien du 128e régiment d'infanterie, fut aussi soldat, durant un temps, au régiment de Marche du Corps expéditionnaire de Chine en août et septembre 1900. Il semble avoir un caractère bien trempé comme la suite va le démontrer.
Lorsque la Première Guerre Mondiale se déclenche, il est rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914, il arrive à Péronne le 4 août suivant où le n° matricule au corps 5322 lui est attribué. Soldat de la territoriale, il est incorporé au 16e régiment territorial. Il est nommé caporal le 16 octobre 1914 (ordre du régiment n° 11), puis sergent le 13 décembre 1914 (ordre du régiment n° 23).
Il est titulaire d'une citation à l'ordre du régiment n° 88 du 29 août 1915
"Pendant l'occupation des dunes au Nord de Lombartzyde-Bains (sic) était placé avec son camarade à la gauche de la ligne vers la mer. A fait de nombreuses patrouilles les 9, 10 et 11 novembre, sous le feu de l'ennemi dont il a, un des premiers, signalé l'offensive. A tenu bon avec son escouade jusqu'au moment où l'ordre de se replier lui a été donné. L'a fait en combattant. A brûlé toutes ses cartouches ainsi que celles des tués et des blessés tombés près de son escouade. N'a cessé depuis de faire preuve en toutes circonstances de sang-froid, d'endurance et d'énergie."
Il passe au 201e régiment d'infanterie le 30 avril 1917 aux armées. On ignore pour quelles circonstances, mais il est cassé de son grade de sergent le 9 août 1917 et remis soldat de 2e classe (% du régiment n° 489). L'année 1917 est celle de la contestation. A-t-il eu un différend avec un gradé ? Ce soldat, digne descendant des grognards de l'Empire, sera évacué malade le 17 septembre 1917 puis reviendra aux armées le 21 novembre 1917. Il sera de nouveau évacué, mais cette fois-ci blessé, le 6 février 1918, pour brûlures pied gauche face dorsale par gaz. Il rentrera au dépôt le 23 mai pour rejoindre les armées une semaine plus tard, le 31 mai. Il passera au 86e régiment d'artillerie lourde le 14 août 1918. Après l'armistice, il restera sous les drapeaux et ne sera finalement envoyé en congé illimité de démobilisation que le 27 février 1919. Il se retirera alors à Roye.
Campagne contre l'Allemagne du 4 août 1914 au 26 février 1919
Aux Armées N.N.E. du 4 août 1914 au 17 septembre 1917
Intérieur campagne simple du 18 septembre au 20 novembre 1917
Aux Armées N.N.E. du 21 novembre 1917 au 6 février 1918
Intérieur campagne double blessé du 7 février au 30 mai 1918
Aux Armées du 31 mai au 13 août 1918
Intérieur du 14 août 1918 au 26 février 1919
Loffroy, Albert Oscar Gabriel, né le 5 avril 1878 à Marché-Allouarde (Somme), classe 1898, matricule n° 48, Bureau de recrutement de Péronne 1R910 Archives de la Somme
On le retrouve sur la liste électorale de Roye en 1920 (Liste électorale de Roye en 1920 3M530 Archives de la Somme), exerçant sa profession de couvreur rue de Noyon. On perd ensuite sa trace.
https://archives.somme.fr/ark:/58483/vd ... fc71bd4b1a
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE