102e régiment d'artillerie lourde
26 N 1110/10
10e batterie :
J.M.O. du 11 décembre 1915 au 10 septembre 1917
27 août 1917
A 14 heures, un feu violent de l'artillerie ennemie est dirigé sur la nouvelle position. Un obus éclate dans un abri, près du poste téléphonique où sont ensevelis trois téléphoniques et le canonnier BERGER. Ce dernier est mort aussîtôt dégagé. Les autres sont dégagés sans mal. La position devient intenable. Un dépôt de projectiles éclate, des caisses de douilles tombent et des fusées détonent (?).
page 29/31
30 août 1917
L'inhumation de BERGER, tué le 27 (août) a eu lieu le 29 au cimetière de Stavele
page 30/31
====================================================
Site "Base des Sépultures de guerre"
Edmond BERGER
Mort pour la France le 27 août 1917 à Boesinghe (Belgique)
soldat au 102 R.A.L.H.
Classe 1917 - Bureau de recrutement de Le Mans (Sarthe) - Matricule au recrutement : 93
Mention : Mort pour la France
Lieu de sépulture : Ablain-Saint-Nazaire - près de Lens, dans le département du Pas-de-Calais.
Nom du site de sépulture : nécropole nationale de "Notre-Dame-de-Lorette"
Type de sépulture : tombe individuelle
Carré de la sépulture : 16
Rang de la sépulture : 4
Numéro de la sépulture : 3110
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102e régiment d'artillerie lourde
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
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102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
26 N 1110/10
10e batterie :
J.M.O. du 11 décembre 1915 au 10 septembre 1917
28 juillet 1917 (page 21/31)
De 4h. 45 à 5 h. 21 tirs de concentration sur un boyau (sud de la maison cormoran) - noeud de boyaux (4879) - ferme du colonel.
Vers 13 h., la Cie est bombardée par obus de gros calibre.
Un obus tombe sur l'abri de la 1ère pièce.
Sont tués :
Maréchal des logis DIMIEZ Robert - classe 1912
2e servant PINCHART Emile - classe 1912
Sont blessés :
M.P. COUROUBLE Géry - classe 1905
l'artificier JAROT Paul - classe 1903
le Maréchal des logis CADARCET Emile - classe 1913
le 2e servant GAUTHIER Jean - classe 1909
Un autre obus tombe sur un abri à munitions de la 2e pièce
Sont tués :
le M.P. DANCETTE Henri - classe 1908
l'artificier GOBEZ Léon - classe 1902
La pièce n° 126 est démolie et doit être évacuée sur le parc de Oost-Cappel.
Robert Louis Camille DIMIEZ
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Woesten (Belgique) -Tué à l'ennemi.
Né le 25 novembre 1892 à Lille (Nord)
24 ans, 8 mois et 3 jours
maréchal des logis au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1914 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 2386
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Lille (Nord) le26 avril 1919
Robert Louis Camille DIMIEZ
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Stavèle (Belgique)
maréchal des logis au 102 R.A.L.H.
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 2386
Mention : Mort pour la France
Lieu de sépulture : Westvleteren (Belgique)
Nom du site de sépulture : Carré militaire de "WESTVLETEREN"
Type de sépulture : tombe individuelle
Numéro de la sépulture : 119
Henri DANCETTE
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Woesten, (Belgique) - Tué à l'ennemi par l'explosion d'un dépôt de munitions.
Né le 28 octobre 1888 à Roubaix (Nord)
28 ans, 9 mois
maître pointeur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 3558
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Athis-Mons (Essonne) (ex Seine-et-Oise) le 24 décembre 1917
Henri DANCETTE
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Stavèle (Belgique)
soldat au 102 R.A.L.H.
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 3558
Mention : Mort pour la France
Lieu de sépulture : Westvleteren
Nom du site de sépulture : Carré militaire de "WESTVLETEREN"
Type de sépulture : tombe individuelle
Numéro de la sépulture : 49
Journal officiel du 20 mai 1921 page 1809
appartenance inappropriée mentionnée dans le J.O.
Médaille militaire à titre posthume
DANCETTE (Henri), matricule 010806, maître pointeur : très bon soldat, énergique, dévoué et brave ; modèle du devoir. Mort au champ d'honneur, le 28 juillet 1917, à Woisten, eu accomplissant volontairement une mission périlleuse. Croix de guerre avec étoile d'argent.
Léon Armand GOBEZ
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Woesten (Belgique) - Tué par l'explosion d'un dépôt de munitions, explosion provoquée par un obus ennemi
Né le 31 décembre 1882 à Boulzicourt (Ardennes)
34 ans, 6 mois et 28 jours
1er canonnier artificier au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1902 - Bureau de recrutement de Charleville-Mézières (Ardennes) - Matricule au recrutement : 174
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Boulzicourt (Ardennes) le 26 mai 1919
Léon Armand GOBEZ
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Stavèle (Belgique)
soldat au 102 R.A.L.H.
Classe 1902 - Bureau de recrutement de Charleville-Mézières (Ardennes) - Matricule au recrutement : 174
Mention : Mort pour la France
Lieu de sépulture : Westvleteren
Nom du site de sépulture : Carré militaire de "WESTVLETEREN"
Type de sépulture : tombe individuelle
Numéro de la sépulture : 48
102e régiment d'artillerie lourde
26 N 1110/10
10e batterie :
J.M.O. du 11 décembre 1915 au 10 septembre 1917
28 juillet 1917 (page 21/31)
De 4h. 45 à 5 h. 21 tirs de concentration sur un boyau (sud de la maison cormoran) - noeud de boyaux (4879) - ferme du colonel.
Vers 13 h., la Cie est bombardée par obus de gros calibre.
Un obus tombe sur l'abri de la 1ère pièce.
Sont tués :
Maréchal des logis DIMIEZ Robert - classe 1912
2e servant PINCHART Emile - classe 1912
Sont blessés :
M.P. COUROUBLE Géry - classe 1905
l'artificier JAROT Paul - classe 1903
le Maréchal des logis CADARCET Emile - classe 1913
le 2e servant GAUTHIER Jean - classe 1909
Un autre obus tombe sur un abri à munitions de la 2e pièce
Sont tués :
le M.P. DANCETTE Henri - classe 1908
l'artificier GOBEZ Léon - classe 1902
La pièce n° 126 est démolie et doit être évacuée sur le parc de Oost-Cappel.
Robert Louis Camille DIMIEZ
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Woesten (Belgique) -Tué à l'ennemi.
Né le 25 novembre 1892 à Lille (Nord)
24 ans, 8 mois et 3 jours
maréchal des logis au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1914 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 2386
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Lille (Nord) le26 avril 1919
Robert Louis Camille DIMIEZ
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Stavèle (Belgique)
maréchal des logis au 102 R.A.L.H.
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 2386
Mention : Mort pour la France
Lieu de sépulture : Westvleteren (Belgique)
Nom du site de sépulture : Carré militaire de "WESTVLETEREN"
Type de sépulture : tombe individuelle
Numéro de la sépulture : 119
Henri DANCETTE
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Woesten, (Belgique) - Tué à l'ennemi par l'explosion d'un dépôt de munitions.
Né le 28 octobre 1888 à Roubaix (Nord)
28 ans, 9 mois
maître pointeur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 3558
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Athis-Mons (Essonne) (ex Seine-et-Oise) le 24 décembre 1917
Henri DANCETTE
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Stavèle (Belgique)
soldat au 102 R.A.L.H.
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 3558
Mention : Mort pour la France
Lieu de sépulture : Westvleteren
Nom du site de sépulture : Carré militaire de "WESTVLETEREN"
Type de sépulture : tombe individuelle
Numéro de la sépulture : 49
Journal officiel du 20 mai 1921 page 1809
appartenance inappropriée mentionnée dans le J.O.
Médaille militaire à titre posthume
DANCETTE (Henri), matricule 010806, maître pointeur : très bon soldat, énergique, dévoué et brave ; modèle du devoir. Mort au champ d'honneur, le 28 juillet 1917, à Woisten, eu accomplissant volontairement une mission périlleuse. Croix de guerre avec étoile d'argent.
Léon Armand GOBEZ
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Woesten (Belgique) - Tué par l'explosion d'un dépôt de munitions, explosion provoquée par un obus ennemi
Né le 31 décembre 1882 à Boulzicourt (Ardennes)
34 ans, 6 mois et 28 jours
1er canonnier artificier au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1902 - Bureau de recrutement de Charleville-Mézières (Ardennes) - Matricule au recrutement : 174
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Boulzicourt (Ardennes) le 26 mai 1919
Léon Armand GOBEZ
Mort pour la France le 28 juillet 1917 à Stavèle (Belgique)
soldat au 102 R.A.L.H.
Classe 1902 - Bureau de recrutement de Charleville-Mézières (Ardennes) - Matricule au recrutement : 174
Mention : Mort pour la France
Lieu de sépulture : Westvleteren
Nom du site de sépulture : Carré militaire de "WESTVLETEREN"
Type de sépulture : tombe individuelle
Numéro de la sépulture : 48
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
PAVIE Georges Marie
Né le 5 août 1893 à Caen (Calvados)
fils de Théodore Joseph Théophile PAVIE et de Marthe Eugénie SARTOR ou SARTON
Il réside chez ses parents à Colombes au 37, rue Denis-Papin, au moment où il se présente devant le conseil de révision de Colombes (Seine) qui le juge bon pour le service armé. Le n° matricule au recrutement : 5082 lui est attribué.
Profession : directeur commercial.
Signalement : cheveux châtain foncé, yeux gris, front haut, nez mince et visage étroit. Il mesure 1 mètre 73. Son degré d'instruction est évalué au niveau 3.
Le 28 novembre 1913, il est incorporé comme soldat de 2e classe au 42e régiment d'artillerie de campagne n° matricule au corps : 3720. Nommé successivement brigadier le 3 mai 1914 et maréchal des logis le 27 avril 1915. Il passe au 57e d'artillerie n° matricule au corps : 6296, poste demi fixe (54e section Anti-Aéronefs), le 20 mars 1916 - décision du Général Cdt en chef du 10 mars 1916.
Promu sous-lieutenant de réserve à titre temporaire par décision ministérielle du 19 novembre 1916 (rang du 30 novembre) et affecté au 59e régiment d'artillerie (J.O. du 29 novembre 1916). Dirigé sur le centre d'organisation d'A.L. d'Arcis-sur-Aube, le 5 juin 1917 par décision ministérielle 18247 3/3 du 22 mai 1917.
Passé au 102e régiment d'artillerie lourde, le 16 juin 1917. Sous-lieutenant à titre définitif par décret du 24 juin 1918 (J.O. du 3 juillet 1918). Par décision ministérielle du 31 août 1918 prend rang comme sous-lieutenant de réserve du 6 juin 1917 (J.O. du 2 septembre 1918. Passé au 42e régiment d'artillerie le 1er décembre 1918...
CITATIONS
cité à l'ordre du régiment du 1er février 1915 (42e R.A.)
"Est venu à plusieurs reprises amener des caissons de ravitaillement sous un feu violent de l'artillerie ennemie ; a toujours maintenu le calme dans ses attelages et les conducteurs."
cité à l'ordre de la division du 28 juillet 1918 - ordre N° 105
"Officier de batterie énergique et courageux. A su régler parfaitement le tir de son unité dans les circonstances les plus difficiles en particulier pendant les combats du 16 au 21 juillet 1918, sut maintenir l'ordre dans sa batterie et continuer à tirer sous les coups des avions ennemis de bombardement."
Décorations françaises : Croix de guerre - étoile de bronze - étoile d'argent
Décorations étrangères : ruban italien des fatigues de guerre % du 5 octobre 1917 de la IIe armée italienne
Médaille militaire
Chevalier de la Légion d'honneur - décret du 24 - 12 - 1938 (J.O. du 28 - 12 1938)
Campagne contre l'Allemagne du 2 août 1914 au 6 septembre 1919
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine
PAVIE Georges Marie matricule 5082 D4R1 1740
PAVIE Georges Marie
Né le 5 août 1893 à Caen (Calvados)
fils de Théodore Joseph Théophile PAVIE et de Marthe Eugénie SARTOR ou SARTON
Il réside chez ses parents à Colombes au 37, rue Denis-Papin, au moment où il se présente devant le conseil de révision de Colombes (Seine) qui le juge bon pour le service armé. Le n° matricule au recrutement : 5082 lui est attribué.
Profession : directeur commercial.
Signalement : cheveux châtain foncé, yeux gris, front haut, nez mince et visage étroit. Il mesure 1 mètre 73. Son degré d'instruction est évalué au niveau 3.
Le 28 novembre 1913, il est incorporé comme soldat de 2e classe au 42e régiment d'artillerie de campagne n° matricule au corps : 3720. Nommé successivement brigadier le 3 mai 1914 et maréchal des logis le 27 avril 1915. Il passe au 57e d'artillerie n° matricule au corps : 6296, poste demi fixe (54e section Anti-Aéronefs), le 20 mars 1916 - décision du Général Cdt en chef du 10 mars 1916.
Promu sous-lieutenant de réserve à titre temporaire par décision ministérielle du 19 novembre 1916 (rang du 30 novembre) et affecté au 59e régiment d'artillerie (J.O. du 29 novembre 1916). Dirigé sur le centre d'organisation d'A.L. d'Arcis-sur-Aube, le 5 juin 1917 par décision ministérielle 18247 3/3 du 22 mai 1917.
Passé au 102e régiment d'artillerie lourde, le 16 juin 1917. Sous-lieutenant à titre définitif par décret du 24 juin 1918 (J.O. du 3 juillet 1918). Par décision ministérielle du 31 août 1918 prend rang comme sous-lieutenant de réserve du 6 juin 1917 (J.O. du 2 septembre 1918. Passé au 42e régiment d'artillerie le 1er décembre 1918...
CITATIONS
cité à l'ordre du régiment du 1er février 1915 (42e R.A.)
"Est venu à plusieurs reprises amener des caissons de ravitaillement sous un feu violent de l'artillerie ennemie ; a toujours maintenu le calme dans ses attelages et les conducteurs."
cité à l'ordre de la division du 28 juillet 1918 - ordre N° 105
"Officier de batterie énergique et courageux. A su régler parfaitement le tir de son unité dans les circonstances les plus difficiles en particulier pendant les combats du 16 au 21 juillet 1918, sut maintenir l'ordre dans sa batterie et continuer à tirer sous les coups des avions ennemis de bombardement."
Décorations françaises : Croix de guerre - étoile de bronze - étoile d'argent
Décorations étrangères : ruban italien des fatigues de guerre % du 5 octobre 1917 de la IIe armée italienne
Médaille militaire
Chevalier de la Légion d'honneur - décret du 24 - 12 - 1938 (J.O. du 28 - 12 1938)
Campagne contre l'Allemagne du 2 août 1914 au 6 septembre 1919
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine
PAVIE Georges Marie matricule 5082 D4R1 1740
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Eric ABADIE
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Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 19 juin 1919 page 6340
Attribution de la Médaille militaire pour les miltaires suivants :
1917
Marceau DUBUISSON
Mort pour la France le 13 mars 1917 à Moulins (Aisne) - Tué à l'ennemi - Inhumé au cimetière civil de Moulins [plaque(?) 421]
Né le 11 février 1897 à Bernaville (Somme)
20 ans, 1 mois et 2 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Matricule au corps : 4785
Classe 1917 - Bureau de recrutement d'Abbeville (Somme) - Matricule au recrutement : 823
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Bernaville (Somme) le 14 octobre 1917
Journal officiel du 19 février 1920 page 2784
DUBUISSON (Marceau), matricule 5785, canonnier : bon canonnier, courageux et dévoué, ayant eu au feu une belle attitude. Le 13 mars 1917, est tombé glorieusement pour la France à Moulins, (Aisne), en ravitaillant de nuit une position de batterie. Croix de guerre avec étoile de bronze.
Journal officiel du 19 juin 1919 page 6340
Attribution de la Médaille militaire
BOEDEC (Jean), matricule B 09451, canonnier (réserve) à la 14e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : bon canonnier, courageux et dévoué, ayant toujours fait bravement son devoir. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort pour la France des suites de ses blessures le 24 mars 1917. A été cité.
Jean Joseph BOEDEC
Mort pour la France le 24 mars 1917 à Fismes (Marne) de blessures de guerre - plaies pénétrantes à la cuisse, flanc et épaule gauche.
Né le 23 mars 1887 à Gourin (Morbihan)
30 ans et 1 jour
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1907 - Bureau de recrutement de Lorient (Morbihan) : Matricule au Rt : 1084
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Roudouallec (Morbihan) le 12 juin 1917
Sources : Service historique de la Défense, Caen
J.O. du 20 novembre 1919 page 13078
102e rég. d'artillerie lourde
Médaille militaire
MINE (Narcisse), matricule B. 07327, canonnier : excellent conducteur, ayant toujours fait preuve de la plus grande bravoure et du plus grand dévouement. Mort des suites de ses blessures, le 24 mars 1917. A été cité.
Journal officiel du 19 juin 1919 page 6340
Attribution de la Médaille militaire
MANTION (Albert), matricule 4130, canonnier (active) à la 14e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : conducteur d'un dévouement absolu, d'une bonne volonté et d'un entrain admirables, a donné plusieurs exemples de courage, notamment le 5 novembre 1916, où ses chevaux s'étaient enlisés dans un trou d'obus : est resté auprès d'eux une partie de la nuit, sous un violent bombardement, jusqu'à ce qu'il ait réussi à les dégager. Mortellement blessé par explosion d'un dépôt de munitions. A été cité. (23 mars 1917.)
Albert Eugène MANTION
Mort pour la France le 25 mars 1917 à Fismes - Ambulance 1/38 SP 181, (Marne) de blessures de guerre.
Né le 10 juin 1896 à Septeuil (Yvelines) (ex Seine-et-Oise)
20 ans, 9 mois et 15 jours
2e canonnier au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1916 - Bureau de recrutement de Versailles (78) - Matricule au recrutement : 4316
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Septeuil (Yvelines) (ex Seine-et-Oise) le 4 juillet 1917
Marcel Alexis NICOLLE
Mort pour la France le 18 mai 1917 à Prouilly - hôpital d'évacuation (HOE), (Marne) des suites de blessures de guerre.
Né le 6 avril 1896 à Canouville (Seine-Maritime) (ex Seine-Inférieure)
21 ans, 1 mois et 12 jours
soldat de 2e classe - canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1916 - Bureau de recrutement de Le Havre (Seine-Maritime) - Matricule au recrutement : 436
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Butot-en-Caux (Seine-Maritime) le 8 octobre 1917
J.O. du 20 novembre 1919 page 13078
102e rég. d'artillerie lourde
Médaille militaire
NICOLLE (Marcel-Alexis), matricule 4526, canonnier servant : excellent canonnier servant, d'un très beau moral. A toujours fait preuve, dans les circonstances les plus pénibles, du plus grand sang-froid. Blessé mortellement à Cormicy, le 19 mai 1917. A été cité.
J.O. du 18 juin 1919 page 6312
BLETTERY (Marcel), matricule B 011985, canonnier servant (réserve) à la 28e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : téléphoniste modèle de bravoure et de sang-frod. Tombé, le 20 mai 1917, en accomplissant vaillamment son devoir malgré un violent bombardement. A été cité.
Marcel Jules BLETTERY
Mort pour la France le 20 mai 1917 à Pontavert (Aisne) - Tué à la position de batterie
Né le 9 juillet 1889 à Cusset (Allier)
27 ans, 10 mois et 11 jours
2e canonnier servant au
102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Roanne (Loire) - Matricule au recrutement : 1972
Lieu de transcription du décès : Vichy (Allier) le 17 janvier 1918
Journal officiel du 19 juin 1919 page 6340
Attribution de la Médaille militaire
BREUX (Jean), matricule 4561, maréchal des logis {active) à la 28e batterie du 102e régiment d'artilerie lourde : sous-officier très énergique, ayant fait preuve, en maintes circonstances, de courage, de sang-froid et d'une belle attitude au feu. Mort pour la France, en commandant le tir de sa pièce, le 28 mai 1917. A été cité.
Jean François Vital Joseph BREUX
Mort pour la France le 29 mai 1917 à Pontavert - Bois de Beaumarais, (Aisne) Tué par un obus.
Né le 1er novembre 1896 à Laval (Mayenne)
20 ans, 6 mois et 28 jours
maréchal des logis au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1916 - Bureau de recrutement de Laval (Mayenne) - Matricule au recrutement : 1223
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Laval (Mayenne) le 12 décembre 1917
Journal officiel du 19 juin 1919 page 6340
Attribution de la Médaille militaire pour les miltaires suivants :
1917
Marceau DUBUISSON
Mort pour la France le 13 mars 1917 à Moulins (Aisne) - Tué à l'ennemi - Inhumé au cimetière civil de Moulins [plaque(?) 421]
Né le 11 février 1897 à Bernaville (Somme)
20 ans, 1 mois et 2 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Matricule au corps : 4785
Classe 1917 - Bureau de recrutement d'Abbeville (Somme) - Matricule au recrutement : 823
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Bernaville (Somme) le 14 octobre 1917
Journal officiel du 19 février 1920 page 2784
DUBUISSON (Marceau), matricule 5785, canonnier : bon canonnier, courageux et dévoué, ayant eu au feu une belle attitude. Le 13 mars 1917, est tombé glorieusement pour la France à Moulins, (Aisne), en ravitaillant de nuit une position de batterie. Croix de guerre avec étoile de bronze.
Journal officiel du 19 juin 1919 page 6340
Attribution de la Médaille militaire
BOEDEC (Jean), matricule B 09451, canonnier (réserve) à la 14e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : bon canonnier, courageux et dévoué, ayant toujours fait bravement son devoir. Blessé grièvement à son poste de combat. Mort pour la France des suites de ses blessures le 24 mars 1917. A été cité.
Jean Joseph BOEDEC
Mort pour la France le 24 mars 1917 à Fismes (Marne) de blessures de guerre - plaies pénétrantes à la cuisse, flanc et épaule gauche.
Né le 23 mars 1887 à Gourin (Morbihan)
30 ans et 1 jour
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1907 - Bureau de recrutement de Lorient (Morbihan) : Matricule au Rt : 1084
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Roudouallec (Morbihan) le 12 juin 1917
Sources : Service historique de la Défense, Caen
J.O. du 20 novembre 1919 page 13078
102e rég. d'artillerie lourde
Médaille militaire
MINE (Narcisse), matricule B. 07327, canonnier : excellent conducteur, ayant toujours fait preuve de la plus grande bravoure et du plus grand dévouement. Mort des suites de ses blessures, le 24 mars 1917. A été cité.
Journal officiel du 19 juin 1919 page 6340
Attribution de la Médaille militaire
MANTION (Albert), matricule 4130, canonnier (active) à la 14e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : conducteur d'un dévouement absolu, d'une bonne volonté et d'un entrain admirables, a donné plusieurs exemples de courage, notamment le 5 novembre 1916, où ses chevaux s'étaient enlisés dans un trou d'obus : est resté auprès d'eux une partie de la nuit, sous un violent bombardement, jusqu'à ce qu'il ait réussi à les dégager. Mortellement blessé par explosion d'un dépôt de munitions. A été cité. (23 mars 1917.)
Albert Eugène MANTION
Mort pour la France le 25 mars 1917 à Fismes - Ambulance 1/38 SP 181, (Marne) de blessures de guerre.
Né le 10 juin 1896 à Septeuil (Yvelines) (ex Seine-et-Oise)
20 ans, 9 mois et 15 jours
2e canonnier au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1916 - Bureau de recrutement de Versailles (78) - Matricule au recrutement : 4316
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Septeuil (Yvelines) (ex Seine-et-Oise) le 4 juillet 1917
Marcel Alexis NICOLLE
Mort pour la France le 18 mai 1917 à Prouilly - hôpital d'évacuation (HOE), (Marne) des suites de blessures de guerre.
Né le 6 avril 1896 à Canouville (Seine-Maritime) (ex Seine-Inférieure)
21 ans, 1 mois et 12 jours
soldat de 2e classe - canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1916 - Bureau de recrutement de Le Havre (Seine-Maritime) - Matricule au recrutement : 436
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Butot-en-Caux (Seine-Maritime) le 8 octobre 1917
J.O. du 20 novembre 1919 page 13078
102e rég. d'artillerie lourde
Médaille militaire
NICOLLE (Marcel-Alexis), matricule 4526, canonnier servant : excellent canonnier servant, d'un très beau moral. A toujours fait preuve, dans les circonstances les plus pénibles, du plus grand sang-froid. Blessé mortellement à Cormicy, le 19 mai 1917. A été cité.
J.O. du 18 juin 1919 page 6312
BLETTERY (Marcel), matricule B 011985, canonnier servant (réserve) à la 28e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : téléphoniste modèle de bravoure et de sang-frod. Tombé, le 20 mai 1917, en accomplissant vaillamment son devoir malgré un violent bombardement. A été cité.
Marcel Jules BLETTERY
Mort pour la France le 20 mai 1917 à Pontavert (Aisne) - Tué à la position de batterie
Né le 9 juillet 1889 à Cusset (Allier)
27 ans, 10 mois et 11 jours
2e canonnier servant au
102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Roanne (Loire) - Matricule au recrutement : 1972
Lieu de transcription du décès : Vichy (Allier) le 17 janvier 1918
Journal officiel du 19 juin 1919 page 6340
Attribution de la Médaille militaire
BREUX (Jean), matricule 4561, maréchal des logis {active) à la 28e batterie du 102e régiment d'artilerie lourde : sous-officier très énergique, ayant fait preuve, en maintes circonstances, de courage, de sang-froid et d'une belle attitude au feu. Mort pour la France, en commandant le tir de sa pièce, le 28 mai 1917. A été cité.
Jean François Vital Joseph BREUX
Mort pour la France le 29 mai 1917 à Pontavert - Bois de Beaumarais, (Aisne) Tué par un obus.
Né le 1er novembre 1896 à Laval (Mayenne)
20 ans, 6 mois et 28 jours
maréchal des logis au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1916 - Bureau de recrutement de Laval (Mayenne) - Matricule au recrutement : 1223
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Laval (Mayenne) le 12 décembre 1917
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
3e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
3e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Journal des marches et opérations
cote 26 N 1110/7
J.M.O. du 23 avril 1917 au 6 avril 1919
Nom des officiers :
Lieutenant HANRIOT, commandant la Batterie
Effectif en hommes : 195
Effectif en chevaux : 177
Armement : 4 canons de 105 modèle 13
Formation à Ploërmel de la 3e Batterie du 1er Groupe de 105 du 102e R.A.L. avec des éléments venant des 1ère et 2e batteries du Groupe et des éléments du dépôt.
23 avril 1917 :
Départ de Ploërmel par chemin de fer. Débarqués à Sézanne le lendemain.
24 avril 1917 :
(La 3e Batterie) cantonnée à Queudes (Marne)
...
8 mai 1917
Départ de Queudes pour Saint-Etienne-Nozay - les servants par chemin de fer, les chevaux et matériel par voie de terre (Anglure, Arcis-sur-Aube). Arrivée à Saint-Etienne le jour même.
=============================================================
1er groupe du 102e régiment d'artillerie lourde
J.M.O. cote 26 N 1110/2
J.M.O. du 8 avril 1916au 7 avril 1918
1er août 1917
La 3e Batterie du Groupe venant de Contrison rejoint le Groupe - Commandant de batterie le lieutenant HANRIOT, officier sous-lieutenant LEMARCHAND. Les hommes sont cantonnés dans la partie SW du village - chevaux à la corde.
2 août
Le groupe fait mouvement - Étape Triaucourt - Brabant-en-Argonne. Départ à 19 heures - ordre de marche 3e, 1ère, 2e - itinéraire : Triaucourt - Foucaucourt - Waly - Froidos - Auzéville, Vraincourt - Brabant en Argonne.
Arrivée 23 h. 30. Étape très pénible - pluie torrentielle et obcurité. Les hommes sont cantonnés dans le village démoli, les chevaux à la corde. Les parcs sont dispersés un peu partout.
3 août
Le groupe est mis à disposition du 12e Corps.
Dans l'après-midi, recherche par le commandant de groupe et les commandants de batterie de positions dans la forêt de Hesse (région de Fontaine aux chênes - le Rendez-vous de Chasse)
4 août
Reconnaissance définitive des positions :
1ère Batterie s'installe à 500 mètres au S.E. du Rendez-vous de Chasse
La 2e et la 3e côte à côte à 400 mètres au Nord de la Fontaine aux Chênes.
Le P.C. est établi sur la côte 293. Toutes ces positions sont à construire entièrement.
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...
2 août 1917
Départ de Triaucourt pour Brabant-en-Argonne.
...
3 août 1917
Reconnaissance de la position de batterie dans le bois de Parois - région de la Fontaine-aux-Chênes.
(Les jours suivants la batterie procèdent à des tirs d'interdiction ou de neutralisation sur les routes du Bois de Montfauçon - tirs éxécutés surtout la nuit.)
...
Le 9 août 1917 :
Arrivée de l'aspirant BERNARD affecté à la 3e Batterie.
...
Le 13 août 1917 :
Le canonnier LÉGER Gaston est blessé par éclat d'obus et évacué.
...
Le 16 août 1917 :
Le canonnier conducteur MAGNIEZ est évacué (pour) brûlures par gaz
...
Le 20 août 1917 :
La 2e pièce éclate (renvoyée au parc)
Trois blessés légèrement : Maître pointeur LENGELLÉ, conducteurs DEVAUX et LOUSSOUARN, évacués.
...
Le 24 août 1917 :
Le canonnier DESMARCHELIER est blessé par éclat d'obus (et) évacué.
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Le 31 août 1917
CITATION : du M.P. (Maître-Pointeur) LECROUT
"Belle conduite pendant un bombardement à gaz : 13 août/15 (?)"
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...
Le 10 septembre 1917
Le Lieutenant HANRIOT Cdt est tué ainsi que les Brancardiers GINDREY Adolphe et NIEUVIART par un obus de 210.
Le sous-lieutenant LEMARCHAND, blessé très légèrement (non évacué) - Le canonnier MENIL, blessé également, est évacué.
Journal officiel du 25 décembre 1917 page 10578
MINISTÈRE DE LA GUERRE
Citation à l'ordre de l'armée.
Le militaire dont le nom suit est cité à l'ordre de l'armée :
HANRIOT (Emile-Valentin), commandant la 3e batterie, lieutenant du 102e d'artilerie lourde : officier d'artillerie de grande valeur. A fait preuve des plus belles qualités militaires et rendu des services signalés dans les différentes missions qui lui ont été confiées au cours de la campagne. Blessé mortellement d'un éclat d'obus, à son poste de combat, le 10 septembre 1917.
Emile Valentin HANRIOT
Lieutenant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e R.A.L.)
N° matricule au corps : 151
Mort pour la France le 10 septembre 1917 à la Forêt de Hesse (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 9 mars 1886 à Paris 6e arrondissement (ex Seine)
Classe 1906 - Bureau de recrutement de Versailles - Matricule au recrutement : 4425
Mention : Mort pour la France
Acte transcrit le 16 janvier 1918 à Lisses (Seine-et-Oise) - commune du département de l'Essonne en région Île-de-France.
Promu lieutenant le 1er octobre 1914, il passe au 17e régiment d'artillerie le 18 mars 1915.
Il rejoint, le 12 mars 1917, le 102e régiment d'artillerie lourde.
Mort pour la France le 10 septembre 1917, dans la forêt de Hesse, à 500 mètres du lieu-dit N-N-E "Fontaine-aux-Chênes" et à environ 3 kms N-N-E du village d'Aubréville (Meuse) - Avis officiel de décès du ministère de la guerre en date du 1er octobre 1917.
CITATIONS :
cité à % de la division du 27 septembre 1915
"Officier de tir ; lieutenant observateur aux tranchées de 1er ordre. La batterie ayant été soumise à un bombardement violent de l'artillerie ennemie, a continué à la commander avec calme et sang-froid, donnant ainsi le plus bel exemple au personnel."
cité à l'% du régiment n° 61
"Officier d'artillerie de grande valeur, a fait preuve des plus belles qualités militaires et rendu des services signalés dans les différentes missions qui lui ont été confiées au cours de la campagne.
Blessé mortellement d'un éclat d'obus à son poste de combat le 10 septembre 1917."
Décoration : Croix de guerre avec étoile d'argent.
Sources : archives départementales des Yvelines : cote : 1R/RM 381
HANRIOT Emile Valentin
Classe 1906
Matricule au Rt : 4425
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3e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 30 août 1919 page 9321
Attribution de la Médaille militaire à titre posthume aux militaires suivants :
NIEUVIART (Maurice). 2e C. S. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 10 septembre 1917
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
NIEUVIAERT (Maurice-Gaston), matricule 3844, canonnier à la 3e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : canonnier courageux et dévoué. Blessé mortellement d'un éclat d'obus a son poste, le 10 septembre 1917. A été cité.
Maurice Gaston NIEUVIAERT
Mort pour la France le 10 septembre 1917 à Avocourt - forêt de Hesse, (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 26 novembre 1897 à Lille (Nord)
19 ans, 9 mois et 14 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1917 - Bureau de recrutement de Le Havre (Seine-Maritime) - Matricule au recrutement : 2824
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Havre (Le) (Seine-Maritime) (ex Seine-Inférieure) le 14 mars 1918
GINDREY (Marie), 2e C. S. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 10 septembre 1917
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
GINDREY (Marie), matricule B 011961, canonnier à la 3e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : canonnier courageux et dévoué. Blessé mortellement, le 20 septembre (sic) 1917, d'un éclat d'obus à son poste. A été cité.
Marie Adolphe Célestin GINDREY
Mort pour la France le 10 septembre 1917 à Spincourt - forêt de Hesse, (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 12 janvier 1889 à Montrouge (Hauts-de-Seine) (ex Seine et Seine-et-Oise)
28 ans, 7 mois et 29 jours
1er canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Mamers (Sarthe) - Matricule au recrutement : 4
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Paris 14e arrondissement le 15 mars 1918
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...
12 septembre 1917
CITATION ordre du régiment du Sous-lieutenant LEMARCHAND et des canonniers NIEUVIAERT et GINDREY
...
16 septembre 1917
Le Lieutenant LANG vient prendre le commandement de la Batterie en remplacement du lieutenant HANRIOT Mort au champ d'honneur.
...
17 septembre 1917
CITATIONS : M.P. ANDRIEUX, POITEAUX, LEGENDRE
"Belle conduite pendant un bombardement par 210"
...
28 septembre 1917
CITATIONS : (2 blessures) : DELAIR, DULOQUIN, RUZO
...
29 septembre 1917
Changement de position - La batterie occupe un emplacement à proximité de la ferme de Verrières. *
...
1er octobre 1917
Accrochage de la batterie
2 octobre 1917
CITATION du canonnier LASSURE (2 blessures)
...
12 octobre 1917
La batterie est inondée à la nuit (par suite) des pluies persistantes. Abris à personnel inhabitables ; la batterie peut continuer à accomplir sa mission temporairement.
...
16 octobre 1917
Changement de position. Réoccupation de l'ancienne position de la Fontaine-aux-Chênes (Bois de Parois).
...
17 octobre 1917
Bombardement de la batterie par obus de 150.
...
26 octobre 1917
CITATION à l'ordre de l'armée du Lieutenant HANRIOT mort au champ d'honneur.
...
5 novembre 1917
L'aspirant BERNARD occupe d'une façon permanente l'observatoire Védy (Le Hermont)(???)
...
6 novembre 1917
CITATION : canonnier DESMARCHELIER (2 blessures).
...
Rien à signaler pendant la période de fin octobre à fin novembre en ce qui concerne les tirs. La batterie ne subit aucun bombardement.
Consommation depuis août (1917) : 10.500 coups environ.
Arrêté le 31 décembre 1917
Le présent Journal des Marches et Opérations
signé : Le Lt LANG Cdt
==========================================================
* Forêt d'Hesse, Meuse, ferme de la Verrières-en-Hesse.
https://imagesdefense.gouv.fr/fr/foret- ... igine.html
==========================================================
1918
Ordre de bataille du 102e (A. L. longue) est le suivant :
ler groupe, commandé par le capitaine CHASSIN DE KERGOMMEAUX :
1ère batterie, lieutenant LANGLUMÉ ;
2e batterie, capitaine PARAGE ;
3e batterie, lieutenant LANG ;
1ère colonne légère ; 1ère section de munitions automobile, rattachée au Parc.
Sources : Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
(pages 17 et 18)
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Année 1918
1er janvier 1918
L'aspirant BERNARD est nommé sous-lieutenant et classé à la batterie. Il reste à l'observatoire Vedy.
.../
14 janvier
Changement de position
La batterie occupe un emplacement à 500 mètres au nord de la ferme de Verrières ; à proximité et au sud de la Transversale de Béthelainville.
Le P.C. du Groupe en lisière du bois à 200 mètres à l'est de la ferme de Verrières.
.../
17 janvier
Accrochage de la batterie.
.../
21 janvier
Les effectifs de la batterie sont modifiés ; création d'une colonne légère de Groupe.
Il reste 3 officiers
Lieutenant LANG
sous-lieutenant LEMARCHAND
sous-lieutenant BERNARD
132 hommes - 81 chevaux - 4 canons - 2 chariots et les voitures de service.
.../
3 février
Le sous-lieutenant BERNARD quitte l'observatoire de Védy et rejoint la batterie.
.../
21 mars
Tir à la position de repli - 50 coups - accrochage et transport de tir sur 1955. Observatoire : arbre Carlho (?) avec sous-lieutenant BERNARD dessus. - Védy avec m.d.l. (maréchal des logis) DE LA GUÉRONNIÈRE - la pièce ramenée à la position Z 161, le 22 mars à 7 h.
.../
24 mars
Ordre de départ
.../
26 mars
Charmontois
.../
28 mars
Coutault
.../
29 mars
Départ de Coutault pour La Chaussée par Bussy
.../
30 mars
Départ de La Chaussée pour Connantray (près de La Fère-Champenoise)
.../
31 mars
Départ de Connantray pour Villevenard par La Fère-Champenoise et Marais de Saint-Gond
.../
1er avril
départ de Villevenard pour Verdelot par la vallée du Petit-Morin
.../
2 avril
Départ de Verdelot pour Jouarre
.../
3 avril
Jouarre - les Corbiers (hameau)
.../
4 avril
Départ des Corbiers pour Marigny-en-Orxois par La Ferté-sous-Jouarre.
.../
5 avril
Départ de Marigny-en-Orxois - corcy - Villers Cotterêts.
.../
6 avril
La batterie va à Vézaponin * par Vic-sur-Aisne où le groupe est mis à disposition de la 161e Division. Les canons son immédiatement montés en position dans des carrières (1 section à 200 m. à l'Est de la ferme d'Orgival, l'autre section à 500 m. plus à l'Est. Directive : Buttes de Rouy (?).
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1er groupe du 102e régiment d'artillerie lourde
: J.M.O. cote 26 N 1110/2
J.M.O. du 8 avril 1916 au 7 avril 1918
(page 51)
6 avril 1918
Étape : Vivières - Vézaponin
Départ 13 heures - itinéraire : Vivières - Ferme de Pouy - La Croix Rouge - La Vache noire - Vic-sur-Aisne - St Christophe à Beny - Haute Braye - Chevillecourt - Morsain - Ouilly - Berlinval - Vézaponin.
Pendant une halte après Chevillecourt, des avions ennemis survolent la colonne à faible altitude, mais sans voir probablement le groupe dont les voitures avaient bien serré à droite sur le bors de la route. Au même moment, les brigadiers de la 2e Batterie viennent apporter l'ordre au capitaine PARAGE de partir en reconnaissance avec les commandants de batterie. En arrivant à Vézaponin, le capitaine PARAGE reçoit des ordres du commandant DE KERGOMMEAUX, rentré le matin de permission "Faire immédiatement les reconnaissances et mettre en position coûte que coûte, même en crevant les chevaux".
La reconnaissance arrive à 18 h. 15 en automobile à la creute de Selens où elle retrouve le commandant DE KERGOMMEAUX. Le groupe est mis à la disposition de la 161e Division (général LEBOUC) *, sous les ordres du colonel SCHNEIDER, commandant l'A.D. 161 et du colonel THIVAL, commandant l'A.L.
Les reconnaissances sont immédiatement faites avant la nuit. P.C. (à la) creute de Selens.
Les canons et les camions, après une courte halte à Vézaponin, arrivent aux positions à 22 heures 30. La mise en batterie est terminée le 7 à 1 heure 30. 1ère et 2e Batteries dans le ravin N.E. de Selens, 3e Batterie ferme d'Orgival.
Le groupe a donc mis en batterie après une étape de 39 kilomètres venant après 12 étapes consécutives soit environ 360 kilomètres. les voitures et les avant-trains n'ont regagné l'échelon qu'à 3 heures du matin
7 avril 1918
Les batteries mises en direction dans la matinée commencent à tirer sans accrochage à 14 heures. Principaux tirs sur Villette, ..., sud de la forêt de Coucy, fond d'Envaux, Moulin Gillotin, ..., route de Frennes, Folembray, ...
* Général de Division Georges Pierre Louis LEBOUC, Commandant de la 161 division d’infanterie ; voir : https://museedesetoiles.fr/piece/genera ... -lebouc-2/
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.../
7 avril
La section la plus à l'Est tire 80 coups sur Follembray en raison de la situation tactique.
.../
Dans la nuit du 7 au 8 la batterie change de position pour occuper un emplacement de batterie à 95 mètres (?) est en lisière du bois de la Ferme d'Orgival - Mission : zone comprise
entre Follembray - Fresnes. Dans la journée, en raison des attaques ennemies, la batterie tire 800 coups sans accrochage (visibilité nulle). - Pluie et brume.
Grande fatigue des hommes en raison des dernières étapes, deux nuits sans repos - difficulté considérable de ravitaillement.
.../
12 avril
Dans la matinée tir d'efficacité de 100 coups sur 8539 où une batterie ennemie s'installe. Dans l'après-midi de 14 h. 30 à 16 h. 45 la position subit un tir par obus de 210. Nombre de coups 150 à 200. Pas d'accident de personne. La 3e pièce est démolie - proue cassée, flèche coupée à hauieur des secteurs dentés. La batterie mettra une section en position à l'emplacement de la batterie (500 m. au sud pour exécuter les tirs d'interdiction - la 4e pièce reste sur place pour missions éventuelles inconnues.
.../
13 avril
La section est installée et commence des tirs d'interdiction à 2 h. 30. 200 coups tirés dans la journée.
La journér a été calme. Le soir la batterie déménage, la 3e pièce démolie ne peut être emmenée et est confiée à l'A.L. du secteur. Départ à 22 heures. Pluie, vent, froid, obscurité complète. Itinénaire : Monain, Vic-sur-Aisne, Attichy, Ferme la Faloise, arrivée à 5 h.30
.../
14 avril
Reconnaissance de position région sud de Cuts.
.../
15 avril
La batterie va mettre en position. Départ 1 h. 30. Dans la soirée, les deux premières pièces s'accrochent sur le clocher à Béhéricourt. Cantonnement dans une carrière.
.../
16 avril
Aménagement et camouflage des plates formes.
.../
17 avril
Continuation des travaux - aménagement de la carrière pour le couchage.
.../
18 avril
Dans la nuit du 17 au 18 : 100 coups d'interdiction sur les routes de Béhéricourt et Salency.
.../
19 avril
Quelques neutralisations. Accrochage 4e pièce.
.../
23 avril
On touche un canon neuf à Mercin **. Il est monté en position le soir même à la position avancée 4528. Mission : barrage sur l'Oise du pnt de Pontoise à Sempigny.
.../
24 avril
On met la 1ère pièce à la position avancée
.../
25 avril
Aménagement des plates formes, coupe des arbres à la position avancée.
.../
27 avril
Quelques obus de 105 à 21 H 00 aux abords de la batterie.
Le brigadier LANGELLÉ et le canonnier RENESSON sont cités à l'ordre du régiment pour les affaires des 7 et 8 avril.
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Ordre n° 21, du 24 avril 1918, du 102e R. A. L.
MOIRET (Edmond), mar. des log.
MEIGNEN (Eugène), mar. des log.
LENGELLÉ (Armogène) , brigadier.
BERGES (Joseph), 2e canonnier-servant.
GODART (Henri), 2e canonnier-servant.
RENESSON (Albert), 2e canonnier-servant.
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.../
29 avril
Dans la nuit du 29 au 30 violent bombardement à Ypérite sur les 2 premières batteries du Groupe (500 mètres à 1 km à l'Ouest de la position
.../
30 avril
Dans la nuit et journée du 30/04 - 500 coups tirés (contre-batterie)
Consommation dans le mois : 3716 coups.
Bilan :
4 évacuations pour maladies ou accidents
1 bombardement par 210
1 pièce démolie - remplacée
2 citations (O.R.)
* Aisne
** Mercin-et-Vaux
Mois de mai (1918)
.../
7 mai
Le maréchal des logis LACROIX se blesse mortellement d'une balle de mitrailleuse à la tête à la suite d'une imprudence inconcevable (il regarde dans le canon de la mitrailleuse sachant qu'elle est enrayée avec une balle engagée dans l'élévateur et malgré les recommandations du mitrailleur. Le coup part à ce moment lui fracassant le crâne. Tranporté à l'ambulance de Blérancourt il meut en route.
Extrait du J.M.O. de la 3e batterie 102e régiment d'artillerie lourde cote 26 N 1110/7
23 avril 1917-6 avril 1919 (page 10 sur 25)
LACROIX (Joseph). (M. d. log.) maréchal des logis à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 7 mai 1918
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Joseph Louis Augustin François LACROIX
Mort pour la France le 7 mai 1918 à Cuts - au bois de Cuts, (Oise) - Tué à l'ennemi.
Né le 12 septembre 1890 à Château-Chalon (Jura)
27 ans, 7 mois et 25 jours
maréchal des logis au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1910 : Bureau de recrutement de Lons-le-Saunier (Jura) : Matricule au Rt : 84
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Château-Chalon (Jura) le 23 novembre 1919
.../
23 mai
L'aspirant CHARNELLÉ est désigné pour faire un stage d'un mois à la batterie.
.../
28 mai
Reconnaissante d'une position d'échelons intermédiaires aux environs de Puisaleine.
.../
29 mai
On amène à Puisalaine 8 attelages, 1 chariot de parc, le caisson téléphonique.
Reconnaissance de position de repli au Bois-Saint-Mard.
.../
30 mai
Violents tirs d'interdiction sur les routes avoisinant la batterie à partir 10 h. du matin (les) tirs se poursuivent violents jusqu'à 14 h. à obus à gaz et explosifs de tous calibres(en particulier 15 long (?).
MAUBARÈS (Jean), 2e C. C. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 5 octobre 1918
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Jean MAUBARET
Mort pour la France le 5 octobre 1918 à Auve - Ambulance 9/5, (Marne) de blessures de guerre.
Né le 27 décembre 1883 à Coimères (Gironde)
34 ans, 9 mois et 9 jours
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1903 - Bureau de recrutement de Bordeaux (Gironde) - Matricule au Rt : 3938
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Bazas (Gironde) le 30 septembre 1919
TABARY (Henri), 2e C. S. à la 3e Batterie du 102e RAL, + 6 décembre 1918
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
COLLET (Théophile), 2e C. C. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 22 janvier 1919
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
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Canonniers Morts pour la France répertoriés comme appartenant à la 3e Batterie du 102e Régiment d'artillerie lourde d'après l'Historique du régiment.
1914
WARIN (Emile), Adjudant à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 14 septembre 1914
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Emile Honeste Ovide WARIN
Mort pour la France le 14 septembre 1914 à Cormicy (Marne)
Né le 16 août 1880 à Haut-Maînil (Pas-de-Calais)
34 ans et 29 jours
adjudant au 1er régiment d'artillerie lourde (1er RAL)
Classe 1900 - Bureau de recrutement de Béthune (Pas-de-Calais) - Matricule au Rt : 2256
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Cuincy (Nord)
FRAMEZELLE (Emile), (M. point.) Maître pointeur à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 15 septembre 1914
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
VANDENBUSCHE (Gaston), 2e C. C. à la 3e Batterie du 102e RAL, + 15 septembre 1914
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
SALOMEZ (Rémy), 2e C. C. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 16 septembre 1914
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
RICOURT (Firmin), 2e C. C. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 4 octobre 1914
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
1915
QUENEZ (Albert), 2e C. S. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 26 juillet 1915
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
MÉRIE (Adolphe), 2e C. S. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 1er août 1915
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
3e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
3e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Journal des marches et opérations
cote 26 N 1110/7
J.M.O. du 23 avril 1917 au 6 avril 1919
Nom des officiers :
Lieutenant HANRIOT, commandant la Batterie
Effectif en hommes : 195
Effectif en chevaux : 177
Armement : 4 canons de 105 modèle 13
Formation à Ploërmel de la 3e Batterie du 1er Groupe de 105 du 102e R.A.L. avec des éléments venant des 1ère et 2e batteries du Groupe et des éléments du dépôt.
23 avril 1917 :
Départ de Ploërmel par chemin de fer. Débarqués à Sézanne le lendemain.
24 avril 1917 :
(La 3e Batterie) cantonnée à Queudes (Marne)
...
8 mai 1917
Départ de Queudes pour Saint-Etienne-Nozay - les servants par chemin de fer, les chevaux et matériel par voie de terre (Anglure, Arcis-sur-Aube). Arrivée à Saint-Etienne le jour même.
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1er groupe du 102e régiment d'artillerie lourde
J.M.O. cote 26 N 1110/2
J.M.O. du 8 avril 1916au 7 avril 1918
1er août 1917
La 3e Batterie du Groupe venant de Contrison rejoint le Groupe - Commandant de batterie le lieutenant HANRIOT, officier sous-lieutenant LEMARCHAND. Les hommes sont cantonnés dans la partie SW du village - chevaux à la corde.
2 août
Le groupe fait mouvement - Étape Triaucourt - Brabant-en-Argonne. Départ à 19 heures - ordre de marche 3e, 1ère, 2e - itinéraire : Triaucourt - Foucaucourt - Waly - Froidos - Auzéville, Vraincourt - Brabant en Argonne.
Arrivée 23 h. 30. Étape très pénible - pluie torrentielle et obcurité. Les hommes sont cantonnés dans le village démoli, les chevaux à la corde. Les parcs sont dispersés un peu partout.
3 août
Le groupe est mis à disposition du 12e Corps.
Dans l'après-midi, recherche par le commandant de groupe et les commandants de batterie de positions dans la forêt de Hesse (région de Fontaine aux chênes - le Rendez-vous de Chasse)
4 août
Reconnaissance définitive des positions :
1ère Batterie s'installe à 500 mètres au S.E. du Rendez-vous de Chasse
La 2e et la 3e côte à côte à 400 mètres au Nord de la Fontaine aux Chênes.
Le P.C. est établi sur la côte 293. Toutes ces positions sont à construire entièrement.
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...
2 août 1917
Départ de Triaucourt pour Brabant-en-Argonne.
...
3 août 1917
Reconnaissance de la position de batterie dans le bois de Parois - région de la Fontaine-aux-Chênes.
(Les jours suivants la batterie procèdent à des tirs d'interdiction ou de neutralisation sur les routes du Bois de Montfauçon - tirs éxécutés surtout la nuit.)
...
Le 9 août 1917 :
Arrivée de l'aspirant BERNARD affecté à la 3e Batterie.
...
Le 13 août 1917 :
Le canonnier LÉGER Gaston est blessé par éclat d'obus et évacué.
...
Le 16 août 1917 :
Le canonnier conducteur MAGNIEZ est évacué (pour) brûlures par gaz
...
Le 20 août 1917 :
La 2e pièce éclate (renvoyée au parc)
Trois blessés légèrement : Maître pointeur LENGELLÉ, conducteurs DEVAUX et LOUSSOUARN, évacués.
...
Le 24 août 1917 :
Le canonnier DESMARCHELIER est blessé par éclat d'obus (et) évacué.
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Le 31 août 1917
CITATION : du M.P. (Maître-Pointeur) LECROUT
"Belle conduite pendant un bombardement à gaz : 13 août/15 (?)"
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...
Le 10 septembre 1917
Le Lieutenant HANRIOT Cdt est tué ainsi que les Brancardiers GINDREY Adolphe et NIEUVIART par un obus de 210.
Le sous-lieutenant LEMARCHAND, blessé très légèrement (non évacué) - Le canonnier MENIL, blessé également, est évacué.
Journal officiel du 25 décembre 1917 page 10578
MINISTÈRE DE LA GUERRE
Citation à l'ordre de l'armée.
Le militaire dont le nom suit est cité à l'ordre de l'armée :
HANRIOT (Emile-Valentin), commandant la 3e batterie, lieutenant du 102e d'artilerie lourde : officier d'artillerie de grande valeur. A fait preuve des plus belles qualités militaires et rendu des services signalés dans les différentes missions qui lui ont été confiées au cours de la campagne. Blessé mortellement d'un éclat d'obus, à son poste de combat, le 10 septembre 1917.
- 102 RAL HANRIOT.jpg (70.75 Kio) Consulté 118 fois
Emile Valentin HANRIOT
Lieutenant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e R.A.L.)
N° matricule au corps : 151
Mort pour la France le 10 septembre 1917 à la Forêt de Hesse (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 9 mars 1886 à Paris 6e arrondissement (ex Seine)
Classe 1906 - Bureau de recrutement de Versailles - Matricule au recrutement : 4425
Mention : Mort pour la France
Acte transcrit le 16 janvier 1918 à Lisses (Seine-et-Oise) - commune du département de l'Essonne en région Île-de-France.
Promu lieutenant le 1er octobre 1914, il passe au 17e régiment d'artillerie le 18 mars 1915.
Il rejoint, le 12 mars 1917, le 102e régiment d'artillerie lourde.
Mort pour la France le 10 septembre 1917, dans la forêt de Hesse, à 500 mètres du lieu-dit N-N-E "Fontaine-aux-Chênes" et à environ 3 kms N-N-E du village d'Aubréville (Meuse) - Avis officiel de décès du ministère de la guerre en date du 1er octobre 1917.
CITATIONS :
cité à % de la division du 27 septembre 1915
"Officier de tir ; lieutenant observateur aux tranchées de 1er ordre. La batterie ayant été soumise à un bombardement violent de l'artillerie ennemie, a continué à la commander avec calme et sang-froid, donnant ainsi le plus bel exemple au personnel."
cité à l'% du régiment n° 61
"Officier d'artillerie de grande valeur, a fait preuve des plus belles qualités militaires et rendu des services signalés dans les différentes missions qui lui ont été confiées au cours de la campagne.
Blessé mortellement d'un éclat d'obus à son poste de combat le 10 septembre 1917."
Décoration : Croix de guerre avec étoile d'argent.
Sources : archives départementales des Yvelines : cote : 1R/RM 381
HANRIOT Emile Valentin
Classe 1906
Matricule au Rt : 4425
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3e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 30 août 1919 page 9321
Attribution de la Médaille militaire à titre posthume aux militaires suivants :
NIEUVIART (Maurice). 2e C. S. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 10 septembre 1917
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
NIEUVIAERT (Maurice-Gaston), matricule 3844, canonnier à la 3e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : canonnier courageux et dévoué. Blessé mortellement d'un éclat d'obus a son poste, le 10 septembre 1917. A été cité.
Maurice Gaston NIEUVIAERT
Mort pour la France le 10 septembre 1917 à Avocourt - forêt de Hesse, (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 26 novembre 1897 à Lille (Nord)
19 ans, 9 mois et 14 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1917 - Bureau de recrutement de Le Havre (Seine-Maritime) - Matricule au recrutement : 2824
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Havre (Le) (Seine-Maritime) (ex Seine-Inférieure) le 14 mars 1918
GINDREY (Marie), 2e C. S. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 10 septembre 1917
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
GINDREY (Marie), matricule B 011961, canonnier à la 3e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : canonnier courageux et dévoué. Blessé mortellement, le 20 septembre (sic) 1917, d'un éclat d'obus à son poste. A été cité.
Marie Adolphe Célestin GINDREY
Mort pour la France le 10 septembre 1917 à Spincourt - forêt de Hesse, (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 12 janvier 1889 à Montrouge (Hauts-de-Seine) (ex Seine et Seine-et-Oise)
28 ans, 7 mois et 29 jours
1er canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Mamers (Sarthe) - Matricule au recrutement : 4
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Paris 14e arrondissement le 15 mars 1918
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...
12 septembre 1917
CITATION ordre du régiment du Sous-lieutenant LEMARCHAND et des canonniers NIEUVIAERT et GINDREY
...
16 septembre 1917
Le Lieutenant LANG vient prendre le commandement de la Batterie en remplacement du lieutenant HANRIOT Mort au champ d'honneur.
...
17 septembre 1917
CITATIONS : M.P. ANDRIEUX, POITEAUX, LEGENDRE
"Belle conduite pendant un bombardement par 210"
...
28 septembre 1917
CITATIONS : (2 blessures) : DELAIR, DULOQUIN, RUZO
...
29 septembre 1917
Changement de position - La batterie occupe un emplacement à proximité de la ferme de Verrières. *
...
1er octobre 1917
Accrochage de la batterie
2 octobre 1917
CITATION du canonnier LASSURE (2 blessures)
...
12 octobre 1917
La batterie est inondée à la nuit (par suite) des pluies persistantes. Abris à personnel inhabitables ; la batterie peut continuer à accomplir sa mission temporairement.
...
16 octobre 1917
Changement de position. Réoccupation de l'ancienne position de la Fontaine-aux-Chênes (Bois de Parois).
...
17 octobre 1917
Bombardement de la batterie par obus de 150.
...
26 octobre 1917
CITATION à l'ordre de l'armée du Lieutenant HANRIOT mort au champ d'honneur.
...
5 novembre 1917
L'aspirant BERNARD occupe d'une façon permanente l'observatoire Védy (Le Hermont)(???)
...
6 novembre 1917
CITATION : canonnier DESMARCHELIER (2 blessures).
...
Rien à signaler pendant la période de fin octobre à fin novembre en ce qui concerne les tirs. La batterie ne subit aucun bombardement.
Consommation depuis août (1917) : 10.500 coups environ.
Arrêté le 31 décembre 1917
Le présent Journal des Marches et Opérations
signé : Le Lt LANG Cdt
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* Forêt d'Hesse, Meuse, ferme de la Verrières-en-Hesse.
https://imagesdefense.gouv.fr/fr/foret- ... igine.html
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1918
Ordre de bataille du 102e (A. L. longue) est le suivant :
ler groupe, commandé par le capitaine CHASSIN DE KERGOMMEAUX :
1ère batterie, lieutenant LANGLUMÉ ;
2e batterie, capitaine PARAGE ;
3e batterie, lieutenant LANG ;
1ère colonne légère ; 1ère section de munitions automobile, rattachée au Parc.
Sources : Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
(pages 17 et 18)
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Année 1918
1er janvier 1918
L'aspirant BERNARD est nommé sous-lieutenant et classé à la batterie. Il reste à l'observatoire Vedy.
.../
14 janvier
Changement de position
La batterie occupe un emplacement à 500 mètres au nord de la ferme de Verrières ; à proximité et au sud de la Transversale de Béthelainville.
Le P.C. du Groupe en lisière du bois à 200 mètres à l'est de la ferme de Verrières.
.../
17 janvier
Accrochage de la batterie.
.../
21 janvier
Les effectifs de la batterie sont modifiés ; création d'une colonne légère de Groupe.
Il reste 3 officiers
Lieutenant LANG
sous-lieutenant LEMARCHAND
sous-lieutenant BERNARD
132 hommes - 81 chevaux - 4 canons - 2 chariots et les voitures de service.
.../
3 février
Le sous-lieutenant BERNARD quitte l'observatoire de Védy et rejoint la batterie.
.../
21 mars
Tir à la position de repli - 50 coups - accrochage et transport de tir sur 1955. Observatoire : arbre Carlho (?) avec sous-lieutenant BERNARD dessus. - Védy avec m.d.l. (maréchal des logis) DE LA GUÉRONNIÈRE - la pièce ramenée à la position Z 161, le 22 mars à 7 h.
.../
24 mars
Ordre de départ
.../
26 mars
Charmontois
.../
28 mars
Coutault
.../
29 mars
Départ de Coutault pour La Chaussée par Bussy
.../
30 mars
Départ de La Chaussée pour Connantray (près de La Fère-Champenoise)
.../
31 mars
Départ de Connantray pour Villevenard par La Fère-Champenoise et Marais de Saint-Gond
.../
1er avril
départ de Villevenard pour Verdelot par la vallée du Petit-Morin
.../
2 avril
Départ de Verdelot pour Jouarre
.../
3 avril
Jouarre - les Corbiers (hameau)
.../
4 avril
Départ des Corbiers pour Marigny-en-Orxois par La Ferté-sous-Jouarre.
.../
5 avril
Départ de Marigny-en-Orxois - corcy - Villers Cotterêts.
.../
6 avril
La batterie va à Vézaponin * par Vic-sur-Aisne où le groupe est mis à disposition de la 161e Division. Les canons son immédiatement montés en position dans des carrières (1 section à 200 m. à l'Est de la ferme d'Orgival, l'autre section à 500 m. plus à l'Est. Directive : Buttes de Rouy (?).
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1er groupe du 102e régiment d'artillerie lourde
: J.M.O. cote 26 N 1110/2
J.M.O. du 8 avril 1916 au 7 avril 1918
(page 51)
6 avril 1918
Étape : Vivières - Vézaponin
Départ 13 heures - itinéraire : Vivières - Ferme de Pouy - La Croix Rouge - La Vache noire - Vic-sur-Aisne - St Christophe à Beny - Haute Braye - Chevillecourt - Morsain - Ouilly - Berlinval - Vézaponin.
Pendant une halte après Chevillecourt, des avions ennemis survolent la colonne à faible altitude, mais sans voir probablement le groupe dont les voitures avaient bien serré à droite sur le bors de la route. Au même moment, les brigadiers de la 2e Batterie viennent apporter l'ordre au capitaine PARAGE de partir en reconnaissance avec les commandants de batterie. En arrivant à Vézaponin, le capitaine PARAGE reçoit des ordres du commandant DE KERGOMMEAUX, rentré le matin de permission "Faire immédiatement les reconnaissances et mettre en position coûte que coûte, même en crevant les chevaux".
La reconnaissance arrive à 18 h. 15 en automobile à la creute de Selens où elle retrouve le commandant DE KERGOMMEAUX. Le groupe est mis à la disposition de la 161e Division (général LEBOUC) *, sous les ordres du colonel SCHNEIDER, commandant l'A.D. 161 et du colonel THIVAL, commandant l'A.L.
Les reconnaissances sont immédiatement faites avant la nuit. P.C. (à la) creute de Selens.
Les canons et les camions, après une courte halte à Vézaponin, arrivent aux positions à 22 heures 30. La mise en batterie est terminée le 7 à 1 heure 30. 1ère et 2e Batteries dans le ravin N.E. de Selens, 3e Batterie ferme d'Orgival.
Le groupe a donc mis en batterie après une étape de 39 kilomètres venant après 12 étapes consécutives soit environ 360 kilomètres. les voitures et les avant-trains n'ont regagné l'échelon qu'à 3 heures du matin
7 avril 1918
Les batteries mises en direction dans la matinée commencent à tirer sans accrochage à 14 heures. Principaux tirs sur Villette, ..., sud de la forêt de Coucy, fond d'Envaux, Moulin Gillotin, ..., route de Frennes, Folembray, ...
* Général de Division Georges Pierre Louis LEBOUC, Commandant de la 161 division d’infanterie ; voir : https://museedesetoiles.fr/piece/genera ... -lebouc-2/
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.../
7 avril
La section la plus à l'Est tire 80 coups sur Follembray en raison de la situation tactique.
.../
Dans la nuit du 7 au 8 la batterie change de position pour occuper un emplacement de batterie à 95 mètres (?) est en lisière du bois de la Ferme d'Orgival - Mission : zone comprise
entre Follembray - Fresnes. Dans la journée, en raison des attaques ennemies, la batterie tire 800 coups sans accrochage (visibilité nulle). - Pluie et brume.
Grande fatigue des hommes en raison des dernières étapes, deux nuits sans repos - difficulté considérable de ravitaillement.
.../
12 avril
Dans la matinée tir d'efficacité de 100 coups sur 8539 où une batterie ennemie s'installe. Dans l'après-midi de 14 h. 30 à 16 h. 45 la position subit un tir par obus de 210. Nombre de coups 150 à 200. Pas d'accident de personne. La 3e pièce est démolie - proue cassée, flèche coupée à hauieur des secteurs dentés. La batterie mettra une section en position à l'emplacement de la batterie (500 m. au sud pour exécuter les tirs d'interdiction - la 4e pièce reste sur place pour missions éventuelles inconnues.
.../
13 avril
La section est installée et commence des tirs d'interdiction à 2 h. 30. 200 coups tirés dans la journée.
La journér a été calme. Le soir la batterie déménage, la 3e pièce démolie ne peut être emmenée et est confiée à l'A.L. du secteur. Départ à 22 heures. Pluie, vent, froid, obscurité complète. Itinénaire : Monain, Vic-sur-Aisne, Attichy, Ferme la Faloise, arrivée à 5 h.30
.../
14 avril
Reconnaissance de position région sud de Cuts.
.../
15 avril
La batterie va mettre en position. Départ 1 h. 30. Dans la soirée, les deux premières pièces s'accrochent sur le clocher à Béhéricourt. Cantonnement dans une carrière.
.../
16 avril
Aménagement et camouflage des plates formes.
.../
17 avril
Continuation des travaux - aménagement de la carrière pour le couchage.
.../
18 avril
Dans la nuit du 17 au 18 : 100 coups d'interdiction sur les routes de Béhéricourt et Salency.
.../
19 avril
Quelques neutralisations. Accrochage 4e pièce.
.../
23 avril
On touche un canon neuf à Mercin **. Il est monté en position le soir même à la position avancée 4528. Mission : barrage sur l'Oise du pnt de Pontoise à Sempigny.
.../
24 avril
On met la 1ère pièce à la position avancée
.../
25 avril
Aménagement des plates formes, coupe des arbres à la position avancée.
.../
27 avril
Quelques obus de 105 à 21 H 00 aux abords de la batterie.
Le brigadier LANGELLÉ et le canonnier RENESSON sont cités à l'ordre du régiment pour les affaires des 7 et 8 avril.
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Ordre n° 21, du 24 avril 1918, du 102e R. A. L.
MOIRET (Edmond), mar. des log.
MEIGNEN (Eugène), mar. des log.
LENGELLÉ (Armogène) , brigadier.
BERGES (Joseph), 2e canonnier-servant.
GODART (Henri), 2e canonnier-servant.
RENESSON (Albert), 2e canonnier-servant.
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.../
29 avril
Dans la nuit du 29 au 30 violent bombardement à Ypérite sur les 2 premières batteries du Groupe (500 mètres à 1 km à l'Ouest de la position
.../
30 avril
Dans la nuit et journée du 30/04 - 500 coups tirés (contre-batterie)
Consommation dans le mois : 3716 coups.
Bilan :
4 évacuations pour maladies ou accidents
1 bombardement par 210
1 pièce démolie - remplacée
2 citations (O.R.)
* Aisne
** Mercin-et-Vaux
Mois de mai (1918)
.../
7 mai
Le maréchal des logis LACROIX se blesse mortellement d'une balle de mitrailleuse à la tête à la suite d'une imprudence inconcevable (il regarde dans le canon de la mitrailleuse sachant qu'elle est enrayée avec une balle engagée dans l'élévateur et malgré les recommandations du mitrailleur. Le coup part à ce moment lui fracassant le crâne. Tranporté à l'ambulance de Blérancourt il meut en route.
Extrait du J.M.O. de la 3e batterie 102e régiment d'artillerie lourde cote 26 N 1110/7
23 avril 1917-6 avril 1919 (page 10 sur 25)
LACROIX (Joseph). (M. d. log.) maréchal des logis à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 7 mai 1918
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Joseph Louis Augustin François LACROIX
Mort pour la France le 7 mai 1918 à Cuts - au bois de Cuts, (Oise) - Tué à l'ennemi.
Né le 12 septembre 1890 à Château-Chalon (Jura)
27 ans, 7 mois et 25 jours
maréchal des logis au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1910 : Bureau de recrutement de Lons-le-Saunier (Jura) : Matricule au Rt : 84
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Château-Chalon (Jura) le 23 novembre 1919
.../
23 mai
L'aspirant CHARNELLÉ est désigné pour faire un stage d'un mois à la batterie.
.../
28 mai
Reconnaissante d'une position d'échelons intermédiaires aux environs de Puisaleine.
.../
29 mai
On amène à Puisalaine 8 attelages, 1 chariot de parc, le caisson téléphonique.
Reconnaissance de position de repli au Bois-Saint-Mard.
.../
30 mai
Violents tirs d'interdiction sur les routes avoisinant la batterie à partir 10 h. du matin (les) tirs se poursuivent violents jusqu'à 14 h. à obus à gaz et explosifs de tous calibres(en particulier 15 long (?).
MAUBARÈS (Jean), 2e C. C. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 5 octobre 1918
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Jean MAUBARET
Mort pour la France le 5 octobre 1918 à Auve - Ambulance 9/5, (Marne) de blessures de guerre.
Né le 27 décembre 1883 à Coimères (Gironde)
34 ans, 9 mois et 9 jours
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1903 - Bureau de recrutement de Bordeaux (Gironde) - Matricule au Rt : 3938
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Bazas (Gironde) le 30 septembre 1919
TABARY (Henri), 2e C. S. à la 3e Batterie du 102e RAL, + 6 décembre 1918
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
COLLET (Théophile), 2e C. C. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 22 janvier 1919
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Canonniers Morts pour la France répertoriés comme appartenant à la 3e Batterie du 102e Régiment d'artillerie lourde d'après l'Historique du régiment.
1914
WARIN (Emile), Adjudant à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 14 septembre 1914
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
Emile Honeste Ovide WARIN
Mort pour la France le 14 septembre 1914 à Cormicy (Marne)
Né le 16 août 1880 à Haut-Maînil (Pas-de-Calais)
34 ans et 29 jours
adjudant au 1er régiment d'artillerie lourde (1er RAL)
Classe 1900 - Bureau de recrutement de Béthune (Pas-de-Calais) - Matricule au Rt : 2256
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Cuincy (Nord)
FRAMEZELLE (Emile), (M. point.) Maître pointeur à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 15 septembre 1914
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
VANDENBUSCHE (Gaston), 2e C. C. à la 3e Batterie du 102e RAL, + 15 septembre 1914
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
SALOMEZ (Rémy), 2e C. C. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 16 septembre 1914
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
RICOURT (Firmin), 2e C. C. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 4 octobre 1914
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
1915
QUENEZ (Albert), 2e C. S. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 26 juillet 1915
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
MÉRIE (Adolphe), 2e C. S. à la 3e Batterie du 102e RAL, + le 1er août 1915
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
11e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
J.O. du 1er octobre 1919 page 10770
Décorations.
27 juillet 1919 : page 7764, 2e colonne, canonnier Sciaux, au lieu de : « 305e rég. d'artillerie lourde », lire : « 102e rég. d'artillerie lourde »; 3e colonne, brigadier Ruflin et canonnier Houet, au lieu de : « 305e rég. d'artillerie lourde », lire : « 102e rég. d'artillerie lourde ».
18 août 1919 : page 8874, 3e colonne, brigadier Valet, canonniers Haussin, Pêcheur, Guedon, Colot, Caron, Lazare, au lieu de : « 305e rég. d'artillerie lourde », lire : « 102e rég. d'artillerie lourde ».
Page 8875, 1e colonne, maréchal des logis Denesvre, canonniers Andrieux, Herold, Gras, Domise, Lebeau », au lieu de : « 305e rég. d'artillerie lourde », lire : « 102e rég. d'artillerie lourde ».
Journal officiel du 27 juillet 1919 page 7764
Médaille militaire pour les militaires suivants :
SCIAUX (Paul), matricule B 011940, canonnier servant (réserve) à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : canonnier très zélé, plein de courage. A été tué, le 18 juillet 1917, à son poste de combat par un obus ennemi. A été cité.
Paul SCIAUX
Mort pour la France le 18 juillet 1917 à Woesten (Belgique) - Tué à l'ennemi.
Né le 28 juillet 1889 à Fère-en-Tardenois (Aisne)
27 ans, 11 mois et 21 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Soissons (Aisne) - Matricule au recrutement : 954
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Fère-en-Tardenois (Aisne) le 18 novembre 1897
HOUET (Joseph). matricule 04963, trompette (réserve) à la 10e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : trompette, auxiliaire précieux de son commandant de batterie. A toujours assuré son service avec le plus grand courage sous des bombardements très violents, notamment les 21, 22 et 25 février 1916. Tué le 28 février 1916, à son poste de combat. A été cité.
Joseph Théophile HOUET
Mort pour la France le 28 février 1916 à Verdun - Au bois de l'hospice, (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 6 janvier 1889 à Crèvecoeur-le-Grand (Oise)
27 ans, 1 mois et 22 jours
trompette au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 1163
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Crèvecoeur-le-Grand (Oise) le 16 juin 1916
RUFFIN (Romain), matricule 04749, brigadier (réserve) à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : chef de pièce d'une grande bravoure. A été tué, le 24 février, en faisant mettre sa pièce en position de batterie, sous un feu d'artillerie extrêmement violent. A été cité.
Romain Lucien RUFFIN
Mort pour la France le 24 février 1916, région de Douaumont (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 6 juin 1890 à Quarouble (Nord)
brigadier à la 11e baterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1910 - Bureau de recrutement de Valenciennes (Nord) - Matricule au Rt : 1199
Mention : Mort pour la France
Jugement rendu le 15 février 1922 par le tribunal de Valenciennes
Lieu de transcription de décès : Quarouble (Nord) le 6 mars 1922
Journal officiel du 18 août 1919 page 8874
Médaille militaire pour les militaires suivants :
VALET (Albert), matriculee 2286, brigadier à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : brigadier plein de zèle et de courage. Tué le 3 décembre 1916, par un obus ennemi, au moment ment où il commandait une équipe de travailleurs pour l'aménagement de la batterie. A été cité.
Albert VALET
Mort pour la France le 3 décembre 1916 à Cappy (Somme) à la position de batterie - Tué à l'ennemi.
Né le 16 mai 1896 à Paris 20e arrondissement
20 ans, 6 mois et 18 jours
brigadier au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1916 - Bureau de recrutement Seine 1er bureau (75) - Matricule au Rt : 3429
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Paris 20e arrondissement le 10 février 1917
RAUSSIN (Gaston) matricule 03661, canonnier servant à la 11 e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : servant admirable par son énergie et son sang-froid, même dans les circonstances les plus critiques. S'était déjà distingué comme servant d'un canon de tranchée. A été tué le 4 avril 1916, à son poste. A été cité
Gaston Eugène RAUSSIN
Mort pour la France le 4 avril 1916 au Bois du Tillat (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 17 novembre 1889 à Fléville (Ardennes)
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Reims (Marne) - Matricule au recrutement : 1597
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription de décès : Fléville (Ardennes) le 20 décembre 1919
PÊCHEUR (Joseph), matricule B 8542, canonnier servant à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : canonnier du plus grand courage, plein d'allant. A été tué à son poste de combat, le 18 mai 1916, en servant sa pièce sous un violent bombardement. A été cité.
Joseph Justin PÊCHEUR
Mort pour la France le 18 mai 1916 au Bois du Tillat (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 19 mars 1880 à Burey-en-Vaux (Meuse)
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1900 - Bureau de recrutement de Verdun (Meuse) - Matricule au recrutement : 915
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription de décès : Burey-en-Vaux (Meuse) le 30 juin 1916
GUÉDON (Paul-Fernand ) matricule 4971, canonnier conducteur à la 12e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : très bon soldat, courageux et plein de sang-froid. A toujours été un exemple pour ses camarades et a donné pleine satisfaction à ses chefs. Tué à la Ferme de Cuissy (Marne), le 5 juin 1917. A été cité.
Paul Fernand GUEDON
Mort pour la France le 8 juin 1917 à 300m de la Ferme de Cuissy, (Aisne) - Tué à l'ennemi.
Né le 6 mai 1894 à Blesme (Marne)
23 ans, 1 mois et 2 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1914 : Bureau de recrutement de Châlons-en-Champagne (Marne) - Matricule au recrutement : 265
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Blesme (Marne) le 27 septembre 1917
COLOT (Georges-Albert), matricule 0321, canonnier servant à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : canonnier intrépide, tué le 24 février 1916 à son poste de combat, aIors que sous un feu extrêmement violent d'artillerie, il servait sa pièce. A été cité.
Georges Albert COLOT
Mort pour la France le 24 février 1916 à Verdun (Meuse) - Tué à l'ennemi
Né le 4 novembre 1884 à Gussignies (Nord)
31 ans, 3 mois et 20 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1904 - Bureau de recrutement d'Avesnes (Nord) - Matricule au recrutement : 809
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Gussignies (Nord) le 11 octobre 1919
CARON (Clément), matricule 3214, canonnier servant à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : canonnier intrépide , tué le 24 février 1916 à son poste de combat, aIors que sous un feu extrêmement violent d'artillerie, il servait sa pièce. A été cité.
Clément Ruffin CARON
Mort pour la France le 24 février 1916 à Verdun - Fort de Douaumont, (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 31 octobre 1893 à Crillon (Oise)
22 ans, 3 mois et 24 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe : 1913 -Bureau de recrutement de Châlons-sur-Marne (Marne) Matricule au recrutement : 524
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Crillon (Oise) le 12 juillet 1916
LAZARE (René-Ernest), matricule 3243, canonnier servant à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : téléphoniste plein de courage et d'adresse, tué, le 11 décembre 1916, alors qu'il réparait une ligne d'observatoire malgré le violent bombardement. A été cité
René Ernest LAZARE
Mort pour la France le 11e décembre 1916 au village de Becquincourt (Somme) - Tué à l'ennemi.
Né le 2 septembre 1891 Gallargues, canton de Vauvert (Gard)
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Nîmes (Gard) - Matricule au recrutement : 427
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription de décès : Uchaud (Gard) le 22 mars 1917
ANDRIEUX (Alphonse), matricule 03990, canonnier à la 11 batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : canonnier du plus beau courage. A été tué, le 27 novembre 1917, à la tête de ses chevaux effrayés par un violent tir de barrage ennemi, alors qu'il essayait de les maîtriser. A été cité.
Alphonse Vulphy ANDRIEUX
Mort pour la France le 27 novembre 1917 à Langemark-Poelkapelle - Bixschoote, (Belgique) - Combat des Flandres ; tué par éclats d'obus.
Né le 18 mai 1883 à Friaucourt (Somme)
34 ans, 6 mois et 9 jours
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1903 - Bureau de recrutement d'Abbeville (Somme) - Matricule au recrutement : 525
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Friaucourt (Somme) le 14 mars 1918
ANDRIEUX Alphonse Vulphy
Cultivateur à Friaucourt
Signalement : cheveux et sourcils bruns, yeux marron, front ordinaire, nez et bouche moyens, menton rond, visage ovale. Il mesure 1 mètre 66 et possède un degré d'instruction de niveau 3.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914, il est dirigé vers le 2e escadron du train des équipages à Amiens où il arrive le 3 août suivant. Aux armées du 3 août 1914 au 23 octobre 1915.
Il passe au 102e régiment d'artillerie lourde stationné à Ploërmel, n° matricule au corps : 03990, en exécution des prescriptions de la dépêche ministérielle n° 13878 3/3 du 12 août 1915. Il arrive au corps le 24 octobre 1915. Intérieur du 24 octobre 1915 au 9 janvier 1916.
Il rejoint les armées le 10 janvier 1916 jusqu'au 27 novembre 1917.
Tué le 27 novembre 1917 par des éclats d'obus à Bischotte, combat des Flandres - avis ministériel E.P. 7826 du 11 décembre 1917. "Mort pour la France"
Andrieux, Alphonse Vulphy, né le 18 mai 1883 à Friaucourt (Somme), classe 1903, matricule n° 525, Bureau de recrutement d'Abbeville1R953Archives de la Somme
* LIRE : 102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 5 juin 1916 page 4952
CITATIONS A L'ORDRE DE L'ARMÉE
Les militaires suivants sont cités à l'ordre de l'armée :
CAMUS (Georges), brigadier, à la 11e Batterie du 102e régiment d'artillerie lourde, 7e Groupe,
"A continué les 21 et 22 février 1916 à dirigé avec le plus grand calme le service de sa pièce sous un bombardement extrêmement violent. A été blessé légèrement le 22, lors de la mise sur roues de sa pièce, et n'a pas voulu quitter le combat ; a été de nouveau grièvement blessé le 24 février."
RUFIN (Romain), brigadier à la 11e Batterie du 102e régiment d'artillerie lourde, 7e Groupe,
"Chef de pièce d'une grande bravoure ; a été tué le 24 février 1916, en faisant mettre sa pièce en position de batterie, sous un feu d'artillerie extrêmement violent."
11e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
J.O. du 1er octobre 1919 page 10770
Décorations.
27 juillet 1919 : page 7764, 2e colonne, canonnier Sciaux, au lieu de : « 305e rég. d'artillerie lourde », lire : « 102e rég. d'artillerie lourde »; 3e colonne, brigadier Ruflin et canonnier Houet, au lieu de : « 305e rég. d'artillerie lourde », lire : « 102e rég. d'artillerie lourde ».
18 août 1919 : page 8874, 3e colonne, brigadier Valet, canonniers Haussin, Pêcheur, Guedon, Colot, Caron, Lazare, au lieu de : « 305e rég. d'artillerie lourde », lire : « 102e rég. d'artillerie lourde ».
Page 8875, 1e colonne, maréchal des logis Denesvre, canonniers Andrieux, Herold, Gras, Domise, Lebeau », au lieu de : « 305e rég. d'artillerie lourde », lire : « 102e rég. d'artillerie lourde ».
Journal officiel du 27 juillet 1919 page 7764
Médaille militaire pour les militaires suivants :
SCIAUX (Paul), matricule B 011940, canonnier servant (réserve) à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : canonnier très zélé, plein de courage. A été tué, le 18 juillet 1917, à son poste de combat par un obus ennemi. A été cité.
Paul SCIAUX
Mort pour la France le 18 juillet 1917 à Woesten (Belgique) - Tué à l'ennemi.
Né le 28 juillet 1889 à Fère-en-Tardenois (Aisne)
27 ans, 11 mois et 21 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Soissons (Aisne) - Matricule au recrutement : 954
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Fère-en-Tardenois (Aisne) le 18 novembre 1897
HOUET (Joseph). matricule 04963, trompette (réserve) à la 10e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : trompette, auxiliaire précieux de son commandant de batterie. A toujours assuré son service avec le plus grand courage sous des bombardements très violents, notamment les 21, 22 et 25 février 1916. Tué le 28 février 1916, à son poste de combat. A été cité.
Joseph Théophile HOUET
Mort pour la France le 28 février 1916 à Verdun - Au bois de l'hospice, (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 6 janvier 1889 à Crèvecoeur-le-Grand (Oise)
27 ans, 1 mois et 22 jours
trompette au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 1163
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Crèvecoeur-le-Grand (Oise) le 16 juin 1916
RUFFIN (Romain), matricule 04749, brigadier (réserve) à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : chef de pièce d'une grande bravoure. A été tué, le 24 février, en faisant mettre sa pièce en position de batterie, sous un feu d'artillerie extrêmement violent. A été cité.
Romain Lucien RUFFIN
Mort pour la France le 24 février 1916, région de Douaumont (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 6 juin 1890 à Quarouble (Nord)
brigadier à la 11e baterie du 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1910 - Bureau de recrutement de Valenciennes (Nord) - Matricule au Rt : 1199
Mention : Mort pour la France
Jugement rendu le 15 février 1922 par le tribunal de Valenciennes
Lieu de transcription de décès : Quarouble (Nord) le 6 mars 1922
Journal officiel du 18 août 1919 page 8874
Médaille militaire pour les militaires suivants :
VALET (Albert), matriculee 2286, brigadier à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : brigadier plein de zèle et de courage. Tué le 3 décembre 1916, par un obus ennemi, au moment ment où il commandait une équipe de travailleurs pour l'aménagement de la batterie. A été cité.
Albert VALET
Mort pour la France le 3 décembre 1916 à Cappy (Somme) à la position de batterie - Tué à l'ennemi.
Né le 16 mai 1896 à Paris 20e arrondissement
20 ans, 6 mois et 18 jours
brigadier au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1916 - Bureau de recrutement Seine 1er bureau (75) - Matricule au Rt : 3429
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Paris 20e arrondissement le 10 février 1917
RAUSSIN (Gaston) matricule 03661, canonnier servant à la 11 e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : servant admirable par son énergie et son sang-froid, même dans les circonstances les plus critiques. S'était déjà distingué comme servant d'un canon de tranchée. A été tué le 4 avril 1916, à son poste. A été cité
Gaston Eugène RAUSSIN
Mort pour la France le 4 avril 1916 au Bois du Tillat (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 17 novembre 1889 à Fléville (Ardennes)
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Reims (Marne) - Matricule au recrutement : 1597
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription de décès : Fléville (Ardennes) le 20 décembre 1919
PÊCHEUR (Joseph), matricule B 8542, canonnier servant à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : canonnier du plus grand courage, plein d'allant. A été tué à son poste de combat, le 18 mai 1916, en servant sa pièce sous un violent bombardement. A été cité.
Joseph Justin PÊCHEUR
Mort pour la France le 18 mai 1916 au Bois du Tillat (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 19 mars 1880 à Burey-en-Vaux (Meuse)
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1900 - Bureau de recrutement de Verdun (Meuse) - Matricule au recrutement : 915
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription de décès : Burey-en-Vaux (Meuse) le 30 juin 1916
GUÉDON (Paul-Fernand ) matricule 4971, canonnier conducteur à la 12e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : très bon soldat, courageux et plein de sang-froid. A toujours été un exemple pour ses camarades et a donné pleine satisfaction à ses chefs. Tué à la Ferme de Cuissy (Marne), le 5 juin 1917. A été cité.
Paul Fernand GUEDON
Mort pour la France le 8 juin 1917 à 300m de la Ferme de Cuissy, (Aisne) - Tué à l'ennemi.
Né le 6 mai 1894 à Blesme (Marne)
23 ans, 1 mois et 2 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1914 : Bureau de recrutement de Châlons-en-Champagne (Marne) - Matricule au recrutement : 265
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Blesme (Marne) le 27 septembre 1917
COLOT (Georges-Albert), matricule 0321, canonnier servant à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : canonnier intrépide, tué le 24 février 1916 à son poste de combat, aIors que sous un feu extrêmement violent d'artillerie, il servait sa pièce. A été cité.
Georges Albert COLOT
Mort pour la France le 24 février 1916 à Verdun (Meuse) - Tué à l'ennemi
Né le 4 novembre 1884 à Gussignies (Nord)
31 ans, 3 mois et 20 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1904 - Bureau de recrutement d'Avesnes (Nord) - Matricule au recrutement : 809
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Gussignies (Nord) le 11 octobre 1919
CARON (Clément), matricule 3214, canonnier servant à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : canonnier intrépide , tué le 24 février 1916 à son poste de combat, aIors que sous un feu extrêmement violent d'artillerie, il servait sa pièce. A été cité.
Clément Ruffin CARON
Mort pour la France le 24 février 1916 à Verdun - Fort de Douaumont, (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 31 octobre 1893 à Crillon (Oise)
22 ans, 3 mois et 24 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe : 1913 -Bureau de recrutement de Châlons-sur-Marne (Marne) Matricule au recrutement : 524
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Crillon (Oise) le 12 juillet 1916
LAZARE (René-Ernest), matricule 3243, canonnier servant à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : téléphoniste plein de courage et d'adresse, tué, le 11 décembre 1916, alors qu'il réparait une ligne d'observatoire malgré le violent bombardement. A été cité
René Ernest LAZARE
Mort pour la France le 11e décembre 1916 au village de Becquincourt (Somme) - Tué à l'ennemi.
Né le 2 septembre 1891 Gallargues, canton de Vauvert (Gard)
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Nîmes (Gard) - Matricule au recrutement : 427
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription de décès : Uchaud (Gard) le 22 mars 1917
ANDRIEUX (Alphonse), matricule 03990, canonnier à la 11 batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : canonnier du plus beau courage. A été tué, le 27 novembre 1917, à la tête de ses chevaux effrayés par un violent tir de barrage ennemi, alors qu'il essayait de les maîtriser. A été cité.
Alphonse Vulphy ANDRIEUX
Mort pour la France le 27 novembre 1917 à Langemark-Poelkapelle - Bixschoote, (Belgique) - Combat des Flandres ; tué par éclats d'obus.
Né le 18 mai 1883 à Friaucourt (Somme)
34 ans, 6 mois et 9 jours
2e canonnier conducteur au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1903 - Bureau de recrutement d'Abbeville (Somme) - Matricule au recrutement : 525
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Friaucourt (Somme) le 14 mars 1918
ANDRIEUX Alphonse Vulphy
Cultivateur à Friaucourt
Signalement : cheveux et sourcils bruns, yeux marron, front ordinaire, nez et bouche moyens, menton rond, visage ovale. Il mesure 1 mètre 66 et possède un degré d'instruction de niveau 3.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914, il est dirigé vers le 2e escadron du train des équipages à Amiens où il arrive le 3 août suivant. Aux armées du 3 août 1914 au 23 octobre 1915.
Il passe au 102e régiment d'artillerie lourde stationné à Ploërmel, n° matricule au corps : 03990, en exécution des prescriptions de la dépêche ministérielle n° 13878 3/3 du 12 août 1915. Il arrive au corps le 24 octobre 1915. Intérieur du 24 octobre 1915 au 9 janvier 1916.
Il rejoint les armées le 10 janvier 1916 jusqu'au 27 novembre 1917.
Tué le 27 novembre 1917 par des éclats d'obus à Bischotte, combat des Flandres - avis ministériel E.P. 7826 du 11 décembre 1917. "Mort pour la France"
Andrieux, Alphonse Vulphy, né le 18 mai 1883 à Friaucourt (Somme), classe 1903, matricule n° 525, Bureau de recrutement d'Abbeville1R953Archives de la Somme
* LIRE : 102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 5 juin 1916 page 4952
CITATIONS A L'ORDRE DE L'ARMÉE
Les militaires suivants sont cités à l'ordre de l'armée :
CAMUS (Georges), brigadier, à la 11e Batterie du 102e régiment d'artillerie lourde, 7e Groupe,
"A continué les 21 et 22 février 1916 à dirigé avec le plus grand calme le service de sa pièce sous un bombardement extrêmement violent. A été blessé légèrement le 22, lors de la mise sur roues de sa pièce, et n'a pas voulu quitter le combat ; a été de nouveau grièvement blessé le 24 février."
RUFIN (Romain), brigadier à la 11e Batterie du 102e régiment d'artillerie lourde, 7e Groupe,
"Chef de pièce d'une grande bravoure ; a été tué le 24 février 1916, en faisant mettre sa pièce en position de batterie, sous un feu d'artillerie extrêmement violent."
Dernière modification par ae80 le mer. avr. 23, 2025 6:42 pm, modifié 8 fois.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
11e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL) (suite)
Journal officiel du 18 août 1919 page 8875
Attribution de la Médaille militaire à titre posthume pour les militaires suivants :
HÉROLD (André), matricule 3291, canonnier à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : canonnier intrépide. Tué à son poste de combat, alors que sous un feu extrêmement violent d'artillerie il servait sa pièce, le 24 février 1916. A été cité.
André Marie Emile HEROLD
Mort pour la France le 24 février 1916 à Verdun (Meuse) - Tué à l'ennemi à l'Est du Fort de Douaumont.
Né le 23 juillet 1891 à Reims (Marne)
24 ans, 7 mois et 1 jour
1er canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Reims (Marne) - Matricule au recrutement : 1472
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Reims (Marne) le 18 juillet 1916
GRAS (Alfred), matricule B 09359, canonnier à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * . Tué à son poste de combat, le 18 mai 1916, en continuant à servir sa pièce sous un violent bombardement. A été cité.
Alfred GRAS
Mort pour la France le 18 mai 1916 à Thillot - bois du Thillot, (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 19 septembre 1887 à Fresnoy-le-Grand (Aisne)
28 ans, 7 mois et 29 jours
2e canonnier servant à la 11e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1907 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) : Matricule au recrutement : 4643
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Lille (Nord) le 31 décembre 1919
DENESVRE (Maurice-Victor), matricule 09106, maréchal des logis à la 11e batterie du
305e rég. d'artillerie lourde *, très bon sous-officier, plein de bravoure, d'entrain et d'énergie. Belle attitude au feu dans les combats de Beaumont comme chef de pièce, notamment le 20 février 1916. A été tué par un éclat d'obus, le 23 février 1916. A été cité.
Maurice Victor DENESVRE
Mort pour la France le 22 février 1916 à Vacherauville, (Meuse) des suites de blessures de guerre.
Né le 22 février 1882 à Paris 4e arrondissement
34 ans
maréchal des logis à la 11e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1902 - Bureau de recrutement de Versailles (78) - Matricule au recrutement : 3590
Mention : Mort pour la France
Jugement rendu le 9 janvier 1920 par le tribunal de Montdidier (Somme)
Lieu de transcription du décès : Harbonnières (Somme) le 5 février 1920
DENESVRE Maurice-Victor
Né le 22 février 1882 à Paris 4e arrondissement
Quincaillier de profession (vers 1902 passage devant le conseil de révision.
fin décembre 1907, il réside à Harbonnières (Somme).
Ce grand gaillard mesure 1 mètre 85 (exceptionnel pour l'époque) et son degré d'instruction est évalué au niveau 3. Cheveux et sourcils châtain foncé, yeux noirs, front rond, nez moyen, menton et visage rond. Le conseil de révision du canton de Rambouillet le déclare bon pour le service en 1902. Par changement de domicile, il passe au recrutement de la subdivision de Péronne en 1912. Affecté au 5e régiment d'artillerie à pied de Verdun, il est rappelé à l'activité à la suite du décret présidentiel ordonnant la mobilisation générale. Il arrive au corps le 4 août 1914. Il passe au 102e régiment d'artillerie lourde le 11 décembre 1915 avec le grade de maréchal des logis. Décédé le 23 février 1916 aux combats de Verdun - avis minitériel E.P. n° 7462 en date du 19 mars 1916.
Secours de 200 francs accordé à sa veuve (avis du 27 avril 1916).
https://archives.yvelines.fr/rechercher ... ge/1049483
DENESVRE Maurice Victor
Classe 1902
Marticule au Rt : 3590
Sources archives départementales des Yvelines - cote 1R/RM 335
DOMISE (Marcel), matricule 4317, canonnier à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde *, canonnier servant ayant toujours fait preuve du plus grand courage au service de sa pièce. Tué le 26 mai 1916, à son poste de combat. A été cité.
Marcel Henri DOMISE
Mort pour la France le 26 mai 1916 à Gincrey - Au bois du Tillat, (Meuse) - Tué à l'ennemi
Né le 12 juillet 1892 à Hellemmes-Lille (Nord)
23 ans, 10 mois et 14 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 2109
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Lille (Nord) le 12 mars 1919
LEBEAU (Gustave), matricule 3493, canonnier à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde *, canonnier intrépide. Tué à son poste de combat, alors que sous un feu extrêment violent d'artillerie, il servait sa pièce, le 24 février 1916. A été cité.
Gustave Baptiste LEBEAU
Mort pour la France le 24 février 1916 à Douaumont - fort de Douaumont, (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 28 octobre 1891 à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) (ex Seine et Seine-et-Oise)
24 ans, 3 mois et 27 jours
ouvrier en bois au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1911 - Bureau de recrutement Seine 1er bureau (75) - Matricule au Rt : 5078
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) le 26 mai 1916
Incorporé au 5e régiment d'artillerie à pied à compter du 8 octobre 1912, il arrive au corps le lendemain et canonnier de 2e classe. Il passe au 102e régiment d'artillerie lourde à une date inconnue - n° matricule au corps : 03493. Nommé 1er servant ouvrier en bois, le 11 octobre 1915.
Tué à l'ennemi le 24 février 1916 à Verdun (Fort de Douaumont)
Campagne contre l'Allemagne du 2 août 1914 au 24 février 1916.
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine
LEBEAU Gustave Baptiste - matricule 5078 - D4R1 1613
* LIRE : 102e régiment d'artillerie lourde
11e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL) (suite)
ae80 a écrit : ↑sam. févr. 22, 2025 4:16 pm 102e régiment d'artillerie lourde
J.O. du 1er octobre 1919 page 10770
Décorations.
27 juillet 1919 : page 7764, 2e colonne, canonnier Sciaux, au lieu de : « 305e rég. d'artillerie lourde », lire : « 102e rég. d'artillerie lourde »; 3e colonne, brigadier Ruflin et canonnier Houet, au lieu de : « 305e rég. d'artillerie lourde », lire : « 102e rég. d'artillerie lourde ».
18 août 1919 : page 8874, 3e colonne, brigadier Valet, canonniers Haussin, Pêcheur, Guedon, Colot, Caron, Lazare, au lieu de : « 305e rég. d'artillerie lourde », lire : « 102e rég. d'artillerie lourde ».
Page 8875, 1e colonne, maréchal des logis Denesvre, canonniers Andrieux, Herold, Gras, Domise, Lebeau », au lieu de : « 305e rég. d'artillerie lourde », lire : « 102e rég. d'artillerie lourde ».
Journal officiel du 18 août 1919 page 8875
Attribution de la Médaille militaire à titre posthume pour les militaires suivants :
HÉROLD (André), matricule 3291, canonnier à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * : canonnier intrépide. Tué à son poste de combat, alors que sous un feu extrêmement violent d'artillerie il servait sa pièce, le 24 février 1916. A été cité.
André Marie Emile HEROLD
Mort pour la France le 24 février 1916 à Verdun (Meuse) - Tué à l'ennemi à l'Est du Fort de Douaumont.
Né le 23 juillet 1891 à Reims (Marne)
24 ans, 7 mois et 1 jour
1er canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Reims (Marne) - Matricule au recrutement : 1472
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Reims (Marne) le 18 juillet 1916
GRAS (Alfred), matricule B 09359, canonnier à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde * . Tué à son poste de combat, le 18 mai 1916, en continuant à servir sa pièce sous un violent bombardement. A été cité.
Alfred GRAS
Mort pour la France le 18 mai 1916 à Thillot - bois du Thillot, (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 19 septembre 1887 à Fresnoy-le-Grand (Aisne)
28 ans, 7 mois et 29 jours
2e canonnier servant à la 11e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1907 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) : Matricule au recrutement : 4643
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Lille (Nord) le 31 décembre 1919
DENESVRE (Maurice-Victor), matricule 09106, maréchal des logis à la 11e batterie du
305e rég. d'artillerie lourde *, très bon sous-officier, plein de bravoure, d'entrain et d'énergie. Belle attitude au feu dans les combats de Beaumont comme chef de pièce, notamment le 20 février 1916. A été tué par un éclat d'obus, le 23 février 1916. A été cité.
Maurice Victor DENESVRE
Mort pour la France le 22 février 1916 à Vacherauville, (Meuse) des suites de blessures de guerre.
Né le 22 février 1882 à Paris 4e arrondissement
34 ans
maréchal des logis à la 11e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1902 - Bureau de recrutement de Versailles (78) - Matricule au recrutement : 3590
Mention : Mort pour la France
Jugement rendu le 9 janvier 1920 par le tribunal de Montdidier (Somme)
Lieu de transcription du décès : Harbonnières (Somme) le 5 février 1920
DENESVRE Maurice-Victor
Né le 22 février 1882 à Paris 4e arrondissement
Quincaillier de profession (vers 1902 passage devant le conseil de révision.
fin décembre 1907, il réside à Harbonnières (Somme).
Ce grand gaillard mesure 1 mètre 85 (exceptionnel pour l'époque) et son degré d'instruction est évalué au niveau 3. Cheveux et sourcils châtain foncé, yeux noirs, front rond, nez moyen, menton et visage rond. Le conseil de révision du canton de Rambouillet le déclare bon pour le service en 1902. Par changement de domicile, il passe au recrutement de la subdivision de Péronne en 1912. Affecté au 5e régiment d'artillerie à pied de Verdun, il est rappelé à l'activité à la suite du décret présidentiel ordonnant la mobilisation générale. Il arrive au corps le 4 août 1914. Il passe au 102e régiment d'artillerie lourde le 11 décembre 1915 avec le grade de maréchal des logis. Décédé le 23 février 1916 aux combats de Verdun - avis minitériel E.P. n° 7462 en date du 19 mars 1916.
Secours de 200 francs accordé à sa veuve (avis du 27 avril 1916).
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https://archives.yvelines.fr/rechercher ... ge/1049483
DENESVRE Maurice Victor
Classe 1902
Marticule au Rt : 3590
Sources archives départementales des Yvelines - cote 1R/RM 335
DOMISE (Marcel), matricule 4317, canonnier à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde *, canonnier servant ayant toujours fait preuve du plus grand courage au service de sa pièce. Tué le 26 mai 1916, à son poste de combat. A été cité.
Marcel Henri DOMISE
Mort pour la France le 26 mai 1916 à Gincrey - Au bois du Tillat, (Meuse) - Tué à l'ennemi
Né le 12 juillet 1892 à Hellemmes-Lille (Nord)
23 ans, 10 mois et 14 jours
2e canonnier servant au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1912 - Bureau de recrutement de Lille (Nord) - Matricule au recrutement : 2109
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Lille (Nord) le 12 mars 1919
LEBEAU (Gustave), matricule 3493, canonnier à la 11e batterie du 305e rég. d'artillerie lourde *, canonnier intrépide. Tué à son poste de combat, alors que sous un feu extrêment violent d'artillerie, il servait sa pièce, le 24 février 1916. A été cité.
Gustave Baptiste LEBEAU
Mort pour la France le 24 février 1916 à Douaumont - fort de Douaumont, (Meuse) - Tué à l'ennemi.
Né le 28 octobre 1891 à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) (ex Seine et Seine-et-Oise)
24 ans, 3 mois et 27 jours
ouvrier en bois au 102e régiment d'artillerie lourde (102e RAL)
Classe 1911 - Bureau de recrutement Seine 1er bureau (75) - Matricule au Rt : 5078
Mention : Mort pour la France
Lieu de transcription du décès : Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) le 26 mai 1916
Incorporé au 5e régiment d'artillerie à pied à compter du 8 octobre 1912, il arrive au corps le lendemain et canonnier de 2e classe. Il passe au 102e régiment d'artillerie lourde à une date inconnue - n° matricule au corps : 03493. Nommé 1er servant ouvrier en bois, le 11 octobre 1915.
Tué à l'ennemi le 24 février 1916 à Verdun (Fort de Douaumont)
Campagne contre l'Allemagne du 2 août 1914 au 24 février 1916.
Sources : archives de la ville de Paris - recrutement militaire de la Seine
LEBEAU Gustave Baptiste - matricule 5078 - D4R1 1613
* LIRE : 102e régiment d'artillerie lourde
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918 page 36 - Gallica site de la B.N.F.
Ordre n° 26, du 102e R. A. L.
PRACHES (Fénelon), maréchal des logis.
MAZUE (Henri), maréchal des logis
VALIN (Alfred), 2e canonnier-conducteur.
BIGORNE (Édouard), 2e canonnier-conducteur.
TANGIN (Arsène), 26 canonnier-conducteur.
GENIN (Marie-Joseph), brigadier.
NOEL (Léon), 2e canonnier-conducteur.
BOUCHEZ (Ernest), 2e canonnier-conducteur.
MATHIAS (Eugène), 2e canonnier-conducteur.
============================================================
PRACHE Fénelon Victor Auguste
Né le 25 avril 1878 à Dompierre-Becquincourt (Somme)
Cultivateur dans son village natal
N° 809 au recrutement (Bureau de Péronne) - Classe 1898
Degré d'instruction : 3
L'homme mesure 1 mètre 70
Cheveux et sourcils châtains, yeux bleus, front bombé, nez et bouche moyens, menton à fossette et visage ovale.
Entre mi-novembre 1899 et septembre 1902 il effectue son service armé au 17e R.A. - régiment de la Fère (Aisne).
2e canonnier-conducteur à son arrivée au régiment il est nommé successivement brigadier le 22 septembre 1900 puis maréchal des logis le 21 décembre 1901.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914, il reçoit mission de conduite d'animaux de réquisition du 3 au 6 août 1914. Dirigé sur son corps mission terminée, il part aux armées le 27 septembre 1914. Il passe au 5e régiment d'artillerie à pied le 11 septembre 1915 avant de rejoindre le 102e régiment d'artillerie lourde le 11 décembre 1915 - N° matricule au corps : B 6011. Nommé adjudant le 28 septembre 1916 puis adjudant-chef le 5 août 1917.
Envoyé en congé illimité de démobilisation le 1er février 1919.
S'il se retire dans un premier temps à Vicq, canton de St-Germain la Belle subdivision de Brive (septembre 1920, il finit par rentrer à Dompierre en mars 1921.
Cité à l'ordre du 102e R.A.L. N° 26 du 16 avril 1916
"Dans la nuit du 22 au 23 février, chargé de désarmer une batterie lourde dans un bois au nord de Verdun, a su, grâce à sa fermeté et son sang-froid, malgré un bombardement violent, maintenir l'ordre parmi ses hommes et ses attelages dont un certain nombre furent blessés."
Campagne contre l'Allemagne
Intérieur du 3 août au 26 septembre 1914
Aux armées (N N-E) du 27 septembre 1914 au 31 janvier 1919
PRACHE, Fénelon Victor Auguste, né le 25 avril 1878 à Dompierre-Becquincourt (Somme), classe 1898, matricule n° 809, Bureau de recrutement de Péronne 1R911 Archives de la Somme
Historique du 102e régiment d'artillerie lourde pendant la guerre 1914-1918 page 36 - Gallica site de la B.N.F.
Ordre n° 26, du 102e R. A. L.
PRACHES (Fénelon), maréchal des logis.
MAZUE (Henri), maréchal des logis
VALIN (Alfred), 2e canonnier-conducteur.
BIGORNE (Édouard), 2e canonnier-conducteur.
TANGIN (Arsène), 26 canonnier-conducteur.
GENIN (Marie-Joseph), brigadier.
NOEL (Léon), 2e canonnier-conducteur.
BOUCHEZ (Ernest), 2e canonnier-conducteur.
MATHIAS (Eugène), 2e canonnier-conducteur.
============================================================
PRACHE Fénelon Victor Auguste
Né le 25 avril 1878 à Dompierre-Becquincourt (Somme)
Cultivateur dans son village natal
N° 809 au recrutement (Bureau de Péronne) - Classe 1898
Degré d'instruction : 3
L'homme mesure 1 mètre 70
Cheveux et sourcils châtains, yeux bleus, front bombé, nez et bouche moyens, menton à fossette et visage ovale.
Entre mi-novembre 1899 et septembre 1902 il effectue son service armé au 17e R.A. - régiment de la Fère (Aisne).
2e canonnier-conducteur à son arrivée au régiment il est nommé successivement brigadier le 22 septembre 1900 puis maréchal des logis le 21 décembre 1901.
Rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914, il reçoit mission de conduite d'animaux de réquisition du 3 au 6 août 1914. Dirigé sur son corps mission terminée, il part aux armées le 27 septembre 1914. Il passe au 5e régiment d'artillerie à pied le 11 septembre 1915 avant de rejoindre le 102e régiment d'artillerie lourde le 11 décembre 1915 - N° matricule au corps : B 6011. Nommé adjudant le 28 septembre 1916 puis adjudant-chef le 5 août 1917.
Envoyé en congé illimité de démobilisation le 1er février 1919.
S'il se retire dans un premier temps à Vicq, canton de St-Germain la Belle subdivision de Brive (septembre 1920, il finit par rentrer à Dompierre en mars 1921.
Cité à l'ordre du 102e R.A.L. N° 26 du 16 avril 1916
"Dans la nuit du 22 au 23 février, chargé de désarmer une batterie lourde dans un bois au nord de Verdun, a su, grâce à sa fermeté et son sang-froid, malgré un bombardement violent, maintenir l'ordre parmi ses hommes et ses attelages dont un certain nombre furent blessés."
Campagne contre l'Allemagne
Intérieur du 3 août au 26 septembre 1914
Aux armées (N N-E) du 27 septembre 1914 au 31 janvier 1919
PRACHE, Fénelon Victor Auguste, né le 25 avril 1878 à Dompierre-Becquincourt (Somme), classe 1898, matricule n° 809, Bureau de recrutement de Péronne 1R911 Archives de la Somme
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 17 janvier 1919 page 659
MÉDAILLE MILITAIRE
(Pour prendre rang du 8 septembre 1918.)
MARTIN (Auguste), matricule 4617, canonnier-servant (active) à la 19e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : téléphoniste très courageux qui a fait preuve, dans des circonstances difficiles, d'une énergie et d'une endurance remarquables. Toujours volontaire pour les missions périlleuses, s'en est acquitté à l'entière satisfaction de ses chefs. A été grièvement blessé par accident le 5 septembre 1918. Une blessure antérieure. Deux citations.
Journal officiel du 17 janvier 1919 page 659
MÉDAILLE MILITAIRE
(Pour prendre rang du 8 septembre 1918.)
MARTIN (Auguste), matricule 4617, canonnier-servant (active) à la 19e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde : téléphoniste très courageux qui a fait preuve, dans des circonstances difficiles, d'une énergie et d'une endurance remarquables. Toujours volontaire pour les missions périlleuses, s'en est acquitté à l'entière satisfaction de ses chefs. A été grièvement blessé par accident le 5 septembre 1918. Une blessure antérieure. Deux citations.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: 102e régiment d'artillerie lourde
102e régiment d'artillerie lourde
Journal officiel du 10 juillet 1919 page 7103
Attribution de la Médaille militaire
COIGNART (Octave), matricule 012577, canonnier servant (réserve) à la 25e batterie du 5e rég. d'artillerie à pied : venu en renfort à la 7e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde. S'y est montré plein d'entrain et de courage. Belle attitude au feu sous les rafales de l'artillerie ennemie. Blessé d'un éclat d'obus pendant un bombardement de la position, le 24 mars 1916. Décédé des suites de ses blessures. A été cité.
Octave Jean Baptiste Henri COIGNART
Mort pour la France le 25 mars 1916 à l'ambulance 9/3 de Baleicourt (sic) * (Meuse) des suites de blessures de guerre.
Né le 25 janvier 1884 à Vrizy (Ardennes)
2e canonnier servant au 5e régiment d'artillerie à pied
Matricule au corps : 012577
Classe 1905 - Bureau de Rt de Reims - Matricule au Rt 2120
Mention : Mort pour la France
acte de décès transcrit à Vrizy le 21 avril 1920
* LIRE : Lieu-dit de Baleycourt (Meuse), hameau situé à 4 kilomètres à l'Ouest de Verdun
Voir : Baleycourt (Meuse). Ambulance. Bâtiment où sont les salles d'opération VAL 507/175 L'Argonnaute - Bibliothèque numérique de La contemporaine (9 avril 1916)
https://francearchives.gouv.fr/facompon ... 37a1811c2d
Voir le sujet sur HOE de Balescourt ou Baleycourt
viewtopic.php?t=40510
Journal officiel du 10 juillet 1919 page 7103
Attribution de la Médaille militaire
COIGNART (Octave), matricule 012577, canonnier servant (réserve) à la 25e batterie du 5e rég. d'artillerie à pied : venu en renfort à la 7e batterie du 102e régiment d'artillerie lourde. S'y est montré plein d'entrain et de courage. Belle attitude au feu sous les rafales de l'artillerie ennemie. Blessé d'un éclat d'obus pendant un bombardement de la position, le 24 mars 1916. Décédé des suites de ses blessures. A été cité.
Octave Jean Baptiste Henri COIGNART
Mort pour la France le 25 mars 1916 à l'ambulance 9/3 de Baleicourt (sic) * (Meuse) des suites de blessures de guerre.
Né le 25 janvier 1884 à Vrizy (Ardennes)
2e canonnier servant au 5e régiment d'artillerie à pied
Matricule au corps : 012577
Classe 1905 - Bureau de Rt de Reims - Matricule au Rt 2120
Mention : Mort pour la France
acte de décès transcrit à Vrizy le 21 avril 1920
* LIRE : Lieu-dit de Baleycourt (Meuse), hameau situé à 4 kilomètres à l'Ouest de Verdun
Voir : Baleycourt (Meuse). Ambulance. Bâtiment où sont les salles d'opération VAL 507/175 L'Argonnaute - Bibliothèque numérique de La contemporaine (9 avril 1916)
https://francearchives.gouv.fr/facompon ... 37a1811c2d
Voir le sujet sur HOE de Balescourt ou Baleycourt
viewtopic.php?t=40510
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE