FAULX - Contre-torpilleur

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glavius
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Re: FAULX - Contre-torpilleur

Message par glavius »

pour en revenir au nom du navire Yves D nous dit qu il ne voit pas le rapport entre le navire et la commune, regarde la premiere page du forum marine et tu verra des noms comme le LONGWY, alors le fait que la noms soit en rapport avec la ville ne m'etonnerais pas
La raison freine la Passion, mais la Passion as t elle toujours Raison ?
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GENEAMAR
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Re: FAULX - Contre-torpilleur

Message par GENEAMAR »

Bonjour Glavius,

Je crois que vous faites fausse route et je vous engage à bien lire les interventions autour du nom du bâtiment, s'agissant de l'ancienne orthographe du mot FAUX, l'outil agricole...
Le contre-torpilleur "FAULX" de la classe du "BOUCLIER" où l'on retrouve, le "BOUTEFEU", "CASQUE", "CIMETERRE", "DAGUE", "FOURCHE"... noms de baptême sans rapport avec une quelconque commune.

Cordialement, Malou
Cordialement. Malou
Rutilius
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FAULX ― Torpilleur d’escadre de 800 t. de type Casque (1912~1918).

Message par Rutilius »

Bonjour à tous,


L’engagement du torpilleur d’escadre Faulx avec un sous-marin
allemand, survenu le 8 février 1916 devant Durazzo


I. ― Rapport de mer du lieutenant de vaisseau Henri Louis Pie de PARSEVAL, commandant le torpilleur d’escadre Faulx .

Registre historique de la correspondance intéressant le personnel et le matériel du bâtiment ― 13 déc. 1913 ~ Fin 1916 ―, Note n° 12, sans lieu ni date (Service historique de la Défense, Cote SS Y 216, p. num. 1.150 à 1.152).

[Nota : Écriture d’une lecture particulièrement difficile]

« № 12. ― Engagement avec un sous-marin ennemi devant Durazzo le 8 février 1916.

La Faulx était au service des convois devant Durazzo le 8 au lever du jour.
Cinq cargos venant de Valona s’étaient engagés dans les passes de Durazzo avant que la Faulx ait pu les rejoindre, lorsqu'à 7 h. 10, des coups de canon furent tirés à environ 10 milles dans le S.-S.-O. du cap Laghi par deux torpilleurs italiens et deux chalutiers français.
(1)
J’étais alors à quatre milles à l’Ouest du cap Laghi. Je fis rappeler aux postes de combat et ralliai au canon à 22 nœuds, croisant à ce moment le Benghasi, navire auxiliaire italien rentrant à Durazzo. Je prévins aussitôt par T.S.F. la Fourche qui se trouvait en escorte de convoi près de Sasseno.
Jusqu’à 9 h.00, je battis l’estrade avec les deux torpilleurs et chalutiers. Parmi eux se trouvait un cargo français, le Miquelon.
(2)
A 9 h. 45, n’ayant rien aperçu et le Miquelon faisant route à très petite allure ― 7 nœuds environ ― sur l’entrée de la rade, je le ralliai pour le piloter.
Je lui signalai de gouverner dans mes eaux. Il prit la ligne de file à 1.000 mètres ; les deux chalutiers le suivaient à environ 400 mètres ; les torpilleurs italiens battaient toujours l’estrade à quelques mil-les en arrière. J’avais le cap sur Durazzo au N. 14 E., marchant 7 nœuds pour diminuer ma distance au Miquelon. A 10 h. 12, celui-ci se trouvait à 700 mètres environ derrière moi.
Je fis rompre du poste de combat, gardant une bordée aux postes de veille, et donnai l’ordre de veiller les mines qui pourraient être en dérive, ajoutant que nous entrions dans les fonds de 10 mètres et que les sous-marins n’étaient plus à craindre.
Nous laissâmes par tribord, à 200 mètres environ, une torpille automobile émergeant verticale, la queue en l’air.
J’allais mettre le cap sur les falaises blanches au N. 48 E. quand, à 10 h. 14, l’alerte fut donnée. Par le travers tribord du Miquelon, à quelques degrés seulement de notre sillage, émergeait un sous-marin avec une forte pointe haut ; son kiosque et son avant hors de l’eau ; son périscope entièrement pointé.
En même temps, les hommes de la Faulx et l’enseigne de la Marine italienne embarqué à bord pour le service du chiffre, venaient de voir un sillage de torpille passer sous l’arrière du Miquelon.
Je commandai
: " A droite toute, 330 tours (18 nœuds), hausse bloquée, commencez le feu ! "
L’armement de veille des 65 arrière était à bâbord, mais les hommes de la bordée non de veille bon-dirent à la pièce de tribord presque immédiatement. Le coup fut légèrement long, bonne direction. Le 65 tribord avant tira aussitôt après, coup un peu court, bonne direction. Déjà le sous-marin plongeait sur place, sans vitesse sensible, lorsque le 10 avant fit feu et presque aussitôt le 10 arrière. Les obus ― projectiles spéciaux contre sous-marins ― tombèrent exactement à l’endroit où le périscope disparais-sait.
Les explosions sous-marines des obus A. furent très correctes.
Un troisième coup de 10, puis deux coups de 65 furent tirés par tribord avec excellente précision ; le périscope disparaissait ; puis la Faulx, obéissant à la barre, mit le cap sur le but et un coup de 65 bâbord avant partit.
A ce moment, le chalutier se trouvait exactement dans le plan de tir, et le périscope ayant entiè-rement disparu, je fis cesser le feu et commandai
: " Paré aux grenades ! " Les machines avaient pris instantanément leur allure et la Faulx passa sur le lieu où le sous-marin avait plongé sans erre visible environ 30 secondes après sa disparition.
Deux grenades avec immersion 10 m et 17 m furent mouillées à 3 ou 4 secondes d’intervalle, au moment où l’arrière passait à côté de la grande tache noire laissée par les explosions des obus de 10 cm.
Les explosions furent excellentes. Je revins sur les lieux avec la barre toute, m’attendant à chaque instant à voir émerger une extrémité du sous-marin que j’estimais atteint par une des explosions des 10 cm ou des grenades.
De longues traînées huileuses s’étendaient près des taches noires produites par les explosions et cou-vraient une étendue d’une centaine de mètres de diamètre.
Mais le Miquelon s’obstinait à me suivre, même en évolution ; je lui signalai de se rendre au mouil-lage.
Puis je signalai à l’un des chalutiers
(3) de prendre en remorque la torpille flottant verticalement, aperçue avant l’alerte et toujours visible. Les torpilles ennemies passant pour être très dangereuses au moindre choc une fois lancées, je prescrivis au chalutier de la manier avec précaution et de la conduire à l’un des navires italiens sur rade. Ainsi débarrassé de cet engin et du Miquelon, je continuai à battre l’estrade avec le deuxième chalutier. Les torpilleurs italiens arrivèrent et je communiquai avec eux à la voix.
Sur les lieux des explosions, les taches noires se dissolvèrent assez rapidement sous l’effet d’un léger clapotis. Mais une nappe claire, d’apparence huileuse, s’étendit sur un espace considérable. Je stoppai au milieu et recueillis un seau d’eau. J’estime, sans pouvoir l’affirmer, que cette couche claire peut être produite par la benzine d’un sous-marin.
La Fourche ralliait à toute allure. Si le sous-marin n’était pas hors de combat, il ne pouvait pas avoir pris le large. Je plaçai la Fourche à 1.000 m à ma droite et la section ainsi formée explora les parages vers le large sans rien apercevoir.
A midi, la section Garibaldino ~ Bisson nous ralliait pour nous relever. Je communiquai à la voix et fit route pour Brindisi.
En résumé, j’estime que le sous-marin après avoir lancé la torpille sur le Miquelon a émergé par une fausse manœuvre, causée probablement par un contact avec le fond ― 17 m d’eau ―, que le manque de profondeur l’a empêché de prendre de l’erre et qu’il a dû se laisser couler sur le fond au moment où il a été canonné.
Que dans ces conditions, les explosions des obus A. et des grenades se sont produites si près de lui qu’il est bien peu probable qu’il n’ait pas reçu des avaries entraînant sa destruction.
Les détails que je viens d’exposer sont ceux sur lesquels l’accord est unanime entre les trois officiers du bord et l’enseigne italien embarqué sur la Faulx et les matelots et hommes de l’équipage.
Le matériel a parfaitement fonctionné. Tout le monde a fait son devoir avec entrain et présence d’es-prit. Je joins au présent rapport les propositions que je crois devoir formuler pour le personnel qui a parfaitement contribué au résultat.
»

[Propositions biffées et rédaction interrompue.]

________________________________________________________________________________________

(1) Chassiron-I, patrouilleur auxiliaire, ex-chalutier rochelais (1915~1918). Jean-Doré, patrouilleur au-xiliaire, ex-chalutier boulonnais (1915~1919).

(2) Miquelon, transport auxiliaire (1915~1917), ex-caboteur de la société dite « La Morue française et Sécheries de Fécamp ».

(3) Chassiron-I.
_________________________________________________________________________________________


II. ― Journal de navigation du torpilleur d'escadre Faulx.

• Torpilleur d’escadre Faulx ― alors commandé par lieutenant de vaisseau Henri Louis Pie de PAR-SEVALJournal de navigation n° 1 / 1916 ― 7 févr. ~ 14 avr. 1916 ―, Service historique de la Dé-fense, Cote SS Y 217, p. num. 1.106 et 1.107 (extraits).

« Le Mardi 8 février 1916

[Quart de] 0 h. 00 à 4 h. 00

En croisière entre Durazzo et pointe Samana.

1 h. 00 ― Aperçu un bâtiment-hôpital.

1 h. 15 ― Aperçu trois vapeurs sans feux.


Quart de 4 h. 00 à 7 h. 10.

4 h. 00 ― En croisière entre Durazzo et Samana.

4 h. 40 ― Passé près d’un navire-hôpital, feux clairs.

6 h. 15 ― Aperçu successivement six cargos ou chalutiers, route au Nord, et deux petits torpilleurs italiens sortant de Durazzo.

6 h. 45 ― Manœuvré pour nous placer devant les cargos.

7 h. 10 ― Entendu des coups de canon dans le Sud. Venu en grand au Sud et rappelé au branlebas de combat.
Quart de 7 h. 00 à 9 h. 00

7 h. 10 ― Fait route dans la direction des coups de canon.

7 h. 40 ― Un torpilleur italien lance deux grenades. Exploré avec les torpilleurs italiens et les chalutiers les environs Ouest du cap Laghi.

8 h. 55 ― Fait rompre des postes de combat. Pris poste devant un cargo pour le conduire au mouillage.

Quart de 9 h. 00 à 11 h. 00

9 h. 07 ― Aperçu à 200 m une deuxième torpille, queue en l’air.

9 h. 12 ― Aperçu un sous-marin émergeant à 300 m à 49 ... sur l’arrière du travers tribord. Canonné.

9 h. 20 ― Lancé deux grenades.

9 h. 30 ― Signalé à bras au chalutier d’escorter le Miquelon jusqu’à Durazzo.

9 h. 55 ― Signalé à bras à un chalutier de prendre la torpille à la remorque jusqu’à Durazzo.


Quart de 11 h. 00 à midi.

11 h. 00 ― Croisé sur le parallèle de Laghi. Aperçu trois aéroplanes évoluant et lançant des bombes sur Durazzo. Rappelé les hommes armés du fusil.

11 h. 45 ― Mis le cap sur le R.V. Aperçu dans le S.-W. deux torpilleurs de relève.

Quart de 12 h. 00 à 14 h. 00

12 h. 10 ― Communiqué avec le Garibaldino et le Bisson. Route sur Brindisi.
[...] »
Dernière modification par Rutilius le ven. janv. 24, 2025 9:06 am, modifié 4 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Rutilius
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FAULX ― Torpilleur d’escadre de 800 t. de type Casque (1912~1918).

Message par Rutilius »

Bonsoir à tous,

□ A propos de l’enseigne de vaisseau de 2e classe Maurice Marie Daniel POIROU, né le 11 septembre 1897 à Lorient (Morbihan), disparu le 18 avril 1918 avec le torpilleur d'escadre Faulx et déclaré tel par jugement du Tribunal civil de 1re instance de Lorient prononcé 18 juillet 1918.

Le Mutilé de l’Algérie ou Le Mutilé algérien,
n° 465, Dimanche 8 août 1926, p. 5.


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Dernière modification par Rutilius le jeu. janv. 23, 2025 11:36 pm, modifié 1 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
marpie
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Re: FAULX - Contre-torpilleur

Message par marpie »

Bonjour à tous ,

Extrait du JO du 30 mai 1915 (p 3461) :



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Bien amicalement
Marpie
iroise47
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Re: FAULX - Contre-torpilleur

Message par iroise47 »

Bonjour à tous ,

Extrait du JO du 30 mai 1915 (p 3461) :



mesimages/6916/faulx.jpg

Bien amicalement
Marpie
Il me semble que l'abordage a eu lieu le 10 avril 1918, et non le 18. Le journal s'arrête au 9 avril
Bonne journée
Denis
iroise47
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Re: FAULX - Contre-torpilleur

Message par iroise47 »

Je cherche et recherche, mais ne trouve pas de précisions sur le lieu exact de l'abordage, probablement au sud de Brindisi.
D'après le rôle d'équipage, le contre-torpilleur "Faulx" a quitté Brindisi le 8 janvier 1918 en direction de Tarente, trajet qu'il a accompli plusieurs fois jusqu'au moment de l'abordage.
Je suppose (on n'échappe décidément pas à son destin) qu'avec les autres contre-torpilleurs, il remplissait la mission sollicitée par l'amiral Sénès avant le torpillage du "Léon-Gambetta", protection sauvetage.
Où était-il exactement au moment de l'abordage, avait-il une mission précise, ou patrouillait-il ? Je suppose que ces missions étaient menées en commun avec les Italiens ?
Par ailleurs, je m'occupe actuellement du jeune Louis Furet, qui a eu la malchance d'être sur la mauvaise moitié du navire. Parisien, il est engagé volontaire à Cherbourg en décembre 1916. Dans le civil, il était ajusteur. Au moment de sa disparition, il était matelot de 2de classe breveté torpilleur. Il figure au rôle d'équipage de la "Faulx" au 1er janvier 1918. Qu'a-t-il pu faire entre décembre 1916 et janvier 1918 ?
Merci beaucoup et bonne journée
Denise
NIALA
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Re: FAULX - Contre-torpilleur

Message par NIALA »

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Une belle photo des torpilleurs d'escadre Faulx (FX), Cimeterre (CM) et Boutefeu (BF) en 1913 au Grand rang à Toulon.

Cordialement

Alain
Cordialement

Alain
Rutilius
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FAULX ― Torpilleur d’escadre de 800 t. de type Casque (1912~1918).

Message par Rutilius »

Bonsoir à tous,

Le départ en exil du roi Constantin Ier de Grèce


Le roi Constantin Ier, après avoir abdiqué le 11 juin 1917 en faveur de son deuxième fils, Alexandre Ier, partit en exil à bord du yacht royal Sphacteria, placé sous le commandement de l’amiral Ioannis DAMIANOS. Ce bâtiment était accompagné du vapeur Spetzaï, de la Compagnie Pallios, qui transportait la suite du souverain.

Le 14 juin 1917, peu après midi, les deux bâtiments quittèrent le port du Pirée à destination de Villa San Giovanni, port situé en face de Messine (Italie). Ils étaient escortés par les torpilleurs d’escadre Faulx (Lieutenant de vaisseau Joseph Marie Alphonse BLANCHET) et Protet (Lieutenant de vaisseau Charles Jules Marcel BLÉRY), sur l’un desquels avait pris passage le capitaine de frégate de réserve Emmanuel Auguste CLERGEAU, attaché naval près la Légation de France d’Athènes. Ce dernier avait été chargé par le haut-commissaire Charles Célestin Auguste JONNART, mandataire supérieur des puis-sances alliées auprès du roi, d’accompagner celui-ci et d’être à sa disposition durant le voyage.

Le 15 juin, à 13 h. 30, le convoi fit une escale sous l’île d’Oxia, en raison d’une brise fraîche qui souf-flait alors de l’Est. Il parvint à sa destination le 17 juin, à 9. h. 30.

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• Lieutenant de vaisseau Amédée Louis Marie Pierre GUIOT : « L’affaire grecque (Guerre 1914~1919) », Travaux du Service historique de la Marine de l’État-major général de la Marine [ca 1927]. Fas-cicule n° 5, p. 841 à 1.028 — Spécialement, p. 1.003 à 1.005.


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Départ du Pirée du yacht royal Sphacteria


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SPHACTERIA – Yacht royal grec – I – .jpg (200.66 Kio) Consulté 191 fois

Section photographique et cinématographique de l’armée
Photographie de Charles Martel
Images Défense ~ Réf. S.P.A. 99 K 6622
Bien amicalement à vous,
Daniel.
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markab
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Re: FAULX - Contre-torpilleur

Message par markab »

Yves D a écrit : ven. févr. 29, 2008 9:40 am Image

Mais voici que pris d'un doute sur l'orthographe j'ai consulté le Larousse et n'y ai point trouvé de faulx mais bien une faux. Se pourrait-il que l'orthographe Faulx soit le résultat d'une coquille sur les CP du début du 20e siècle qui aura été copiée-collée jusqu'à nos jours ? A moins que la faux, outil bien connu de nos aieux faucheurs n'ait rien à voir avec FAULX ?
Quelqu'un dans cette docte assemblée doit bien avoir une réponse indiscutable. :???:
Cdlt
Yves
Bonjour,

La photo disparue du contre-torpilleur FAULX :

Faulx.jpg
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A bientôt.
Cordialement / Best regards
Marc.

A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
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