Bonjour,
Parmi les documents et photos retrouvés qui concernent le marsouin Jean-Marie RIOUX ( matr 308 de la classe 1904 centre Montbrison), figure une carte postale qu'il adresse à sa mère avec la mention:
" RIOUX Armée d'Orient 16ème section télégrap."
Jean-Marie est parti à l'Armée d'Orient le 2 février 1916 avec le 1er RIC.
16ème section télégraphiste???
Merci d'avance de votre aide
Cordialement
Daniel
16ème section télégraphiste au 1er RIC
16ème section télégraphiste au 1er RIC
- Pièces jointes
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Re: 16ème section télégraphiste au 1er RIC
Bonjour Daniel,
Je ne vois pas le départ à l'armée d'Orient le 2 février 1916.
Je cite sa FM : « Aux armées du Nord et du Nord Est du 9 février 1916 au 12 octobre 1916. »
https://archives.loire.fr/ark:/51302/vt ... ogrp/0/411
Cordialement,
Yves
Je ne vois pas le départ à l'armée d'Orient le 2 février 1916.
Je cite sa FM : « Aux armées du Nord et du Nord Est du 9 février 1916 au 12 octobre 1916. »
https://archives.loire.fr/ark:/51302/vt ... ogrp/0/411
Cordialement,
Yves
Re: 16ème section télégraphiste au 1er RIC
Bonjour,
Merci d'avoir réagi à ma demande.
Ce n'est pas la 1ère fois que je constate des erreurs dans la fiche matricule d'un soldat.
Blessé le 18 avril 1915 lors de l'attaque du signal de XON avec le 4ème bataillon du 36ème RIC , il est soigné notamment à l'hôpital de Crest (Drôme) avant d'être affecté au 1er RIC le 2 février 1916, jour où le 1er RIC est désigné pour l'Armée d'Orient.
La famille de Jean-Marie RIOUX est formelle sur sa présence dans les Balkans avec le 1er RIC: Je dois recevoir la copie de sa lettre où il dit arriver à Salonique sur le Santa-Anna. À vérifier.
La carte que j'ai jointe à ma question est sans ambiguité: il est à l'Armée d'Orient. Au verso de la carte, il écrit "Livourne, le 5 janvier 1918". Retour d'une permission en France? ou départ vers la France?
Mon problème est de savoir ce que faisait une section télégraphique dans un régiment, car d'ordinaire les sections télégraphiques dépendaient du Génie. À voir.
Cordialement Daniel
Merci d'avoir réagi à ma demande.
Ce n'est pas la 1ère fois que je constate des erreurs dans la fiche matricule d'un soldat.
Blessé le 18 avril 1915 lors de l'attaque du signal de XON avec le 4ème bataillon du 36ème RIC , il est soigné notamment à l'hôpital de Crest (Drôme) avant d'être affecté au 1er RIC le 2 février 1916, jour où le 1er RIC est désigné pour l'Armée d'Orient.
La famille de Jean-Marie RIOUX est formelle sur sa présence dans les Balkans avec le 1er RIC: Je dois recevoir la copie de sa lettre où il dit arriver à Salonique sur le Santa-Anna. À vérifier.
La carte que j'ai jointe à ma question est sans ambiguité: il est à l'Armée d'Orient. Au verso de la carte, il écrit "Livourne, le 5 janvier 1918". Retour d'une permission en France? ou départ vers la France?
Mon problème est de savoir ce que faisait une section télégraphique dans un régiment, car d'ordinaire les sections télégraphiques dépendaient du Génie. À voir.
Cordialement Daniel
Re: 16ème section télégraphiste au 1er RIC
Bonjour
Votre carte ne mentionne que RIOUX.
Êtes-vous certain que c'est Jean-Marie RIOUX. Un frère peut-être!
Votre carte ne mentionne que RIOUX.
Êtes-vous certain que c'est Jean-Marie RIOUX. Un frère peut-être!
Salutations
Michel
Michel
16e Section télégraphiste au 1er RIC.
Bonjour,
■ Traversées.
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Sant’Anna ― Paquebot ― Compagnie française de navigation à vapeur (Cyprien Fabre & Cie) (1910~ 1918) ∞ Croiseur auxiliaire (1915~1918).
■ Traversées.
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— 12 ~ 16 février 1916 : Transporte de Toulon à Salonique le 2e Bataillon du 1er Régiment d’infanterie coloniale.
Comme le 3e Régiment d’infanterie coloniale — avec lequel il avait été appelé à constituer en Orient la 2e Brigade coloniale de la 17e Division d’infanterie coloniale —, le 1er Régiment d’infanterie coloniale avait été reformé, avant son départ, « sur le pied alpin », c’est-à-dire à trois bataillons, deux compa-gnies de mitrailleuses et une compagnie hors rang.
Le reste du régiment, soit ses 1er et 3e Bataillons, embarquèrent à destination de Salonique :
— Le 18 février 1916 sur un deuxième transport de troupes non identifié ;
— Le 21 février 1916 sur un troisième transport de troupes également non identifié.
L’État-major du régiment, sa compagnie hors rang, ses deux compagnies de mitrailleuses, ses animaux et ses voitures furent répartis entre l’un ou l’autre de ces trois bâtiments.
Comme le 3e Régiment d’infanterie coloniale — avec lequel il avait été appelé à constituer en Orient la 2e Brigade coloniale de la 17e Division d’infanterie coloniale —, le 1er Régiment d’infanterie coloniale avait été reformé, avant son départ, « sur le pied alpin », c’est-à-dire à trois bataillons, deux compa-gnies de mitrailleuses et une compagnie hors rang.
Le reste du régiment, soit ses 1er et 3e Bataillons, embarquèrent à destination de Salonique :
— Le 18 février 1916 sur un deuxième transport de troupes non identifié ;
— Le 21 février 1916 sur un troisième transport de troupes également non identifié.
L’État-major du régiment, sa compagnie hors rang, ses deux compagnies de mitrailleuses, ses animaux et ses voitures furent répartis entre l’un ou l’autre de ces trois bâtiments.
[• Lieutenant-colonel Albert Alexandre BARBASSAT : « 1er Régiment d’infanterie coloniale. Historique du régiment. 1914~1919. », 26 juillet 1919, Imprimerie centrale, Cherbourg, sans date, in-8, 24 p. — Spécialement p. 15.]
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Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.