MARECHAL DAVOUT Trois-mâts barque

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Yves D
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Re: MARECHAL DAVOUT Trois-mâts barque

Message par Yves D »

Bonjour à tous
Trouvé dans une revue allemande cette photo de 6 des canonniers du Maréchal Davout. Photo à l'évidence prise à bord.
Cdlt
Yves

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www.histomar.net
La guerre sous-marine 14-18, Arnauld de la Perière
et autres thèmes d'histoire maritime.
Rutilius
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MARÉCHAL-DAVOUT — Trois-mâts barque — Société générale d’armement (1908~1917).

Message par Rutilius »

Bonsoir à tous,

Le novice du trois-mâts Maréchal-Davout lors de la perte de ce bâtiment

― GAULT Paul Abel Louis Ernest, né le 6 décembre 1900 à Amboise (Indre-et-Loire), décédé le 28 jan-vier 1987 à Sapignicourt (Marne) (Registre des actes de naissance de la commune d’Amboise, Année 1900, f° 38, acte n° 73).

Novice, inscrit provisoire le 11 janvier 1916 au quartier de Nantes, n° 1.990 ; inscrit définitif audit quartier le 20 février 1919, n° 17.295 ; radié le 19 mai 1928. Classe 1920, n° 1.609 au recrutement de Châteauroux.

[Voir ci-après une amplification de sa notice biographique]
Dernière modification par Rutilius le ven. juin 23, 2023 10:00 am, modifié 2 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Gault
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Re: MARECHAL DAVOUT Trois-mâts barque

Message par Gault »

Bonjour Rutilius ! j'ai découvert avec plaisir l'historique du Maréchal Davout et celui de Paul Gault , mon Grand père ! c'est en prêtant un livre - le navire noir - à un ami que nous avons fait des recherches sur le forum ! Quelle surprise de retrouver le " parcours" de Mon grand père ! je le voyais souvent à Brognoles où il résidait avant de partir à Sapignicourt , en convalescence ; le Livre retrace les 444 jours de mer du Wolf ! d'autres récits sur le Seeadler de Von Lückner ( le denier corsaire , le diable de la mer ) au plaisir de se relire ! Robert fils de Pierre Gault
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markab
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Re: MARECHAL DAVOUT Trois-mâts barque

Message par markab »

Bonjour,

Voici la couverture du livre dans sa version française :

WITSCHETZKY F. - 1929 - Payot
WITSCHETZKY F. - 1929 - Payot
LE NAVIRE NOIR - WOLF.jpg (44.71 Kio) Consulté 476 fois

A bientôt.
Cordialement / Best regards
Marc.

A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Rutilius
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MARÉCHAL-DAVOUT — Trois-mâts barque — Société générale d’armement (1908~1917).

Message par Rutilius »

Bonsoir à tous,


Le novice du trois-mâts Maréchal-Davout lors de la perte de ce bâtiment


― GAULT Paul Abel Louis Ernest, né le 6 décembre 1900 à Amboise (Indre-et-Loire), décédé le 28 jan-vier 1987 à Sapignicourt (Marne) (Registre des actes de naissance de la commune d’Amboise, Année 1900, f° 38, acte n° 73). En 1916, domicilié à Châteauroux (Indre), au 47, rue Grande.

Novice, inscrit provisoire le 11 janvier 1916 au quartier de Nantes, n° 1.990 ; inscrit définitif audit quartier le 20 février 1919, n° 17.295 ; radié le 19 mai 1928. Classe 1920, n° 1.609 au recrutement de Châteauroux.

• Fils de Sosthène Louis Ernest GAULT, né le 28 novembre 1873 à La Ville-aux-Clercs (Loir-et-Cher), boulanger, et de Louise Léontine Henriette LE LOUER, née le 9 septembre 1878 à Saint-Ouen (– d° –), sans profession [Couturière en 1899] ; époux ayant contracté mariage à Pezou (– d° –), le 2 décembre 1899 ; union dissoute par un jugement prononcé le 8 novembre 1907 par le Tribunal civil de 1re instance de Vendôme (Registre des actes de mariage de la commune de Pezou, Année 1899, acte n° 8).

• Époux en premières noces de Rachel Jeanne LAFAYE-THOMASSON, née le 22 janvier 1897 à Bordeaux (Gironde), avec laquelle il avait contracté mariage à Nantes (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire-At-lantique), le 16 mai 1924 (Registre des actes de naissance de la ville de Bordeaux, Année 1897, 2e Section, f° 19, acte n° 120). Époux en deuxièmes noces de Claire Joséphine BOUNAGOL, avec laquelle il avait contracté mariage à Toulon (Var), le 4 janvier 1930, union dissoute par un jugement prononcé le 10 juin 1943 par le Tribunal civil de première instance de Toulon. Époux en troisièmes noces de Jeanne Joséphine BUSSEZ, née le 31 décembre 1904 à Verdun (Meuse), décédée le 19 mars 1983 à Brignoles (Var), avec laquelle il avait contracté mariage à Toulon, le 16 septembre 1943.

**********

Inscrit provisoire le 11 janvier 1916 au quartier de Nantes, Paul GAULT embarqua en qualité de mousse dès le même jour sur le trois-mâts Coquimbo [III], ex-Burmah, de l’armement dunkerquois Ant.-Dom. Bordes & Fils, et en débarqua le 19 septembre 1916. Commandait alors ce grand voilier le capitaine au long-cours Hyacinthe Joseph Marie LE SAUX, né le 16 août 1879 à Trédrez-Locquémeau (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’Armor), inscrit au quartier de Saint-Malo, n° 675 ; il disparaîtra le 11 juillet 1917 avec ce bâtiment, coulé par une mine mouillée le 23 mai 1917 par le sous-marin allemand UC-21 (Ober-leutnant Zur See Werner von ZERBONI di SPOSETTI, commandant), à 33 milles dans l’O. S.-O. de l’île de Ré, alors qu’il allait d’Antofagasta (Chili) à La Pallice avec un chargement de salpêtre destiné aux poudreries.

Puis, du 23 octobre au 30 novembre 1916, toujours en qualité de mousse [№ 40 sur le rôle d’équipage. Gages mensuels : 50 fr.], il embarqua à Nantes sur le cargo charbonnier Léon, de la Compagnie des vapeurs nantais [Siège social : Nantes, 1, quai Jean Bart], commandé par Lucien Joachim BOJU, né le 6 décembre 1873 à Trentemoult, quartier de la commune de Rezé (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire-Atlantique) (Registre des actes de naissance de la commune de Rezé, Année 1873, acte n° 159), capi-taine au long-cours, inscrit au quartier de Nantes, n° 418. Ce dernier disparaîtra en mer le 15 mars 1920 avec le cargo Lux, de la Compagnie des vapeurs français (Jean Stern), bâtiment dont il exerçait alors le commandement (Jug. Trib. civ. 1re inst. Le Havre, 10 juin 1921, transcrit le 8 août 1921 au Havre : Registre des actes de décès de la ville du Havre, Année 1921, Vol. II., f° 84,acte n° 2.221, n° d’ordre n° 34). Périra avec lui son fils, André Joseph Marie, né le 6 août 1903 à Rezé, embarqué en qualité d’aide-mécanicien, étant inscrit au quartier de Marseille, n° 29.782 (Ibid., n° d'ordre 36).

Enfin, il embarqua en qualité de novice le 19 mars 1917, à Nantes, sur le trois-mâts Maréchal-Davout, de la Société générale d’armement, qui fut arraisonné et coulé le 15 décembre 1917 par le croiseur auxiliaire allemand S.M.S Wolf (Fregattenkapitän Karl August NERGER, commandant), par 19° 20’ S. et 15° 40’ W. Exerçait alors le commandement du grand voilier Louis Joseph Narcisse BRET, né le 21 novembre 1874 à Oyonnax (Ain) (Registre des actes de naissance de la ville d’Oyonnax, Année 1874, f° 24, acte n° 89), capitaine au long-cours, inscrit au quartier de Dunkerque, n° 133.

Fait prisonnier avec le reste de l’équipage, Paul GAULT fut interné au Kriegsgefangenenlager de Güs-trow, ville sise dans le land de Mecklenbourg (Allemagne), au Nord-Est de Schwerin, à proximité de la mer Baltique. Il ne fut rapatrié à Cherbourg que fin Janvier ou début Février 1919.

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Kriegsgefangenenlager Güstrow - I - .jpg
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Kriegsgefangenenlager Güstrow - II - .jpg
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Dernière modification par Rutilius le ven. juin 23, 2023 12:08 am, modifié 3 fois.
Bien amicalement à vous,
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markab
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Re: MARECHAL DAVOUT Trois-mâts barque

Message par markab »

Gault a écrit : jeu. juin 22, 2023 6:22 am Bonjour Monsieur Daniel ; j'avais lu avec intérêt le " parcours " de mon grand père Paul Gault Mousse à bord du MaréchalDavout ; c'était mon grand père ! sans indiscrétion ,êtes vous vous même membre de la famille ? Merci !
Cordialement / Best regards
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markab
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Re: MARECHAL DAVOUT Trois-mâts barque

Message par markab »

Bonjour,

Un lien vers le site Wrecksite : https://www.wrecksite.eu/wreck.aspx?177595

A bientôt.
Cordialement / Best regards
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Re: MARECHAL DAVOUT Trois-mâts barque

Message par markab »

Bonjour,

Un autre lien vers le site Australian War Memorial : https://www.awm.gov.au/collection/C1007505?image=1


A bientôt.
Cordialement / Best regards
Marc.

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Message par Rutilius »

Bonsoir Robert,
Gault a écrit : jeu. juin 22, 2023 6:22 am
« J'avais lu avec intérêt le " parcours " de mon grand-père Paul Gault, mousse à bord du Maréchal-Davout ; c'était mon grand père ! Sans indiscrétion, êtes-vous vous-même membre de la famille ? «
Je n'ai bien évidemment aucun lien quelconque de parenté ou d'alliance avec Paul GAULT. Mes racines sont, en effet, flamandes et non percheronnes...
Bien amicalement à vous,
Daniel.
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MARÉCHAL-DAVOUT — Trois-mâts barque — Société générale d’armement (1908~1917).

Message par Rutilius »

Bonjour à tous,


Rapport de mer du capitaine Louis Joseph Narcisse BRET

[Nantes, 18 janvier 1919]

« L’an mil neuf cent dix-neuf, le neuf août, devant nous, Président du Tribunal de commerce de Nantes, assisté de M. Ouvrard, commis greffier, a comparu le sieur Bret, capitaine au long-cours, enseigne de vaisseau auxiliaire, commandant le trois-mâts Maréchal-Davout, du port de Nantes, appartenant à la Société générale d’armement, lequel nous a déclaré :

Après avoir chargé à Geelong une complète cargaison de blé en sacs, soit environ 2.000 tonnes, j’ai quitté ce port le 16 septembre 1917 à destination de Dakar, mon navire étant en parfait état de navi-gabilité, bien armé et approvisionné. Après avoir fait route pour doubler la Nouvelle-Zélande dans le Sud, j’ai doublé le cap Horn le 26 octobre, la traversée s’étant effectuée d’une façon normale sans aucun incident à signaler. Le 14 décembre au soir, je me trouvais dans l’Atlantique Sud à la limite mé-ridionale des alizés de S.-E. que je commençais à ressentir, qui soufflaient en faible brise, lorsque la fumée d’un vapeur fut aperçue à deux quarts environ par tribord arrière, ce vapeur semblant faire route vers le Nord. A 9 heures du soir, ce vapeur passait derrière nous tous feux éteints. Après s’être écarté à environ deux ou trois milles sous le vent, il parut régler sa vitesse et sa route sur celle de mon navire qui courait alors tribord amures avec petite brise d’Est à Est Sud-Est, faisant environ 3 nœuds ½ à 4 nœuds. Bien qu’à mon départ d’Australie l’officier de l’Amirauté britannique dont j’avais pris les ordres ne m’avait signalé aucun danger de corsaires, me mettant simplement en garde contre les at-taques possibles de sous-marins aux approches de ma destination. Je fus surpris de la manœuvre de ce vapeur que je continuais à observer attentivement. Je donnais l’ordre au timonier de tenir le plus près serré, de façon à gagner dans le vent et m’écarter de ce navire dont la manœuvre me semblait étrange. Vers 11 heures du soir, l’ayant perdu de vue, je prenais mes dispositions pour virer de bord lorsque j’aperçu qu’il s’était de nouveau rapproché, se maintenant à distance de visibilité, ce qui rendait inutile la manœuvre de prudence que je voulais tenter. Réfléchissant que si j’avais affaire à un ennemi, ce dernier avait intérêt à profiter de l’obscurité pour m’attaquer ; j’en arrivai à la conclusion que je devais être en présence soit d’un croiseur allié chargé de la police des mers, soit d’un navire ayant une communication à me faire. Vers 5 heures du matin, le 15 décembre, au moment où le jour commençait à poindre, ce navire mit le cap vers nous, hissant le pavillon de guerre anglais et signalant de mettre en panne. Ce signal fut accompagné d’un coup de canon et j’entendis le bruit que faisaient ses pavois en se rabattant et démasquant une puissante artillerie. Mes canonniers étaient à leurs pièces, dont j’avais cependant laissé les étuis en place pour en masquer la vue. Voyant le pavillon anglais et croyant avoir affaire à un croiseur auxiliaire de cette nationalité, je fis exécuter immé-diatement la manœuvre signalée. Le vapeur vint passer à 500 mètres environ sur l’arrière et se plaça à 300 ou 400 mètres au vent à nous ; quelques minutes après, une embarcation chargée d’environ 40 à 50 hommes armés accostait mon bord, et, aussitôt qu’ils furent montés, sans qu’aucune parole ait été échangée, le vapeur amena le pavillon anglais qui fut remplacé par le pavillon de guerre allemand. Toute l’artillerie bâbord du corsaire, ainsi que ses mitrailleuses, étant braquées sur mon navire, toute résistance était inutile. Mon équipage fut, du reste, immédiatement entouré, mes canonniers et ceux de mes hommes qui se trouvaient sur la dunette furent refoulés sur l’avant du navire sans avoir le temps d’exécuter l’ordre que j’avais donné d’enlever les culasses des canons et de les jeter à la mer. Je fus moi-même gardé à vue par deux hommes armés. L’officier allemand commandant le détache-ment qui avait pris possession de mon bord fit immédiatement évacuer mon équipage et, après s’être emparé de tous mes papiers, me fit également conduire à bord du corsaire sans qu’aucun de nous ait été autorisé à emporter ses effets personnels. Le pillage de mon navire fut organisé sans que je puisse me rendre un compte exact de ce qui s’y passait ; je pus simplement constater que plusieurs embar-cations remorquées par une vedette furent employées par le corsaire pour transporter à son bord toutes les provisions de mon navire. Vers 2 heures de l’après-midi, le pillage étant terminé, le corsaire hissa ses embarcations et je pus voir couler mon navire sur lequel des bombes avaient été placées. Je pus, du pont du corsaire, constater l’éclatement de quatre bombes et voir mon navire disparaître en moins de 7 minutes. La position de mon navire au moment de la capture était : Lat. 19° 20’ S. ~ Long. 15° 40’ O. Greenwich. J’appris ultérieurement que le corsaire allemand sur lequel j’étais prisonnier était le S.S. Wolf qui, parti de Posen, venait d’effectuer une campagne d’environ 13 mois dans l’At-lantique Sud, posant des mines aux environ du cap de Bonne-Espérance, dans le Sud de l’Australie, en particulier dans le détroit de Bass, dans le détroit de Cook, puis dans le détroit de Singapoor et dans les environs de Bombay. Plusieurs navires de commerce — environ 13 vapeurs et voiliers — avaient déjà été capturés par lui. Je restais à bord du corsaire jusqu’au 1er mars 1918, date à laquelle je fus dé-barqué à Kiel et envoyé prisonnier au camp de Carlsruhe. Je fus évacué d’Allemagne sur le Danemark le 11 décembre 1918 et rapatrié à Cherbourg. Pendant toute la durée de mon séjour en Allemagne, il me fut impossible de furnir à mon armateur aucun rapport sur les circonstances de la capture de mon navire. Tel est mon rapport dont je certifie l’exactitude et que je dépose sous toutes réserves de droit et d’usage, me tenant prêt à l’amplifier si besoin est.

Ont aussi comparu les sieurs Pétillot et Leport faisant partie de l’équipage, lesquels ont juré et affirmé que le présent est sincère et véritable, et le capitaine a signé avec les comparants. [Suivent les signa-tures]

En conséquence, nous avons reçu le présent sous notre seing et celui du commis greffier après lecture.
Signé : E. Ouvrard et X. [Président].

[Enregistré à Nantes A.J., le 29 janvier 1919, f° 2, C. 16]

[• Archives départementales de Loire-Atlantique, Rapports de navigation des capitaines au long-cours et au cabotage enregistrés par le Tribunal de commerce de Nantes, 16 janv. 1916 ~ 16 déc. 1919 : Cote 21 U 77, p. num. 237.]

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Crew of the German Raider Wolf watching as the French barque Marechal Davout
sinks off the coast of Trinidad



MARÉCHAL-DAVOUT – Trois-mâts barque – A – .jpg
MARÉCHAL-DAVOUT – Trois-mâts barque – A – .jpg (113.05 Kio) Consulté 356 fois
Australian War Memorial ~ Accession № A03602
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Bien amicalement à vous,
Daniel.
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