Glaïeul — Patrouilleur, ex-chalutier japonais Sachi-Maru (1917~1919).
Le patrouilleur Glaïeul fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre du 16 août 1917 au 24 octobre 1919.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 744.]
Le patrouilleur Glaïeul, jaugeant brut 199 tx et net 107 tx, fut mis en vente le 19 février 1920 par le Service de la liquidation des stocks dans les locaux de la Préfecture maritime de Toulon selon la procé-dure d’adjudication publique sur soumissions cachetées (La Dépêche de Brest, n° 13.400, Mardi 3 fé-vrier 1920, p. 4). Il fut alors adjugé pour le prix de 212.000 fr. à un sieur Doux (J.O. 18 mars 1920, p. 4.497 – Partie « Avis et communications »), agissant en réalité au nom et pour le compte de la Société nationale du Cameroun [Siège social : Paris, 47, rue de la Victoire (IXe Arr.)] (L’Ouest-Éclair — éd. de Caen —, n° 7.835, Mercredi 7 avril 1920, p. 4). Il fut alors attaché au port de Douala (Cameroun), ayant pour signal distinctif les lettres O.I.F.Z.
Furent également proposés à l’achat lors de la même vacation le patrouilleur Frelon, ex-Bohemia, ac-quis par l’État en Espagne durant la guerre, ainsi que deux autres patrouilleurs acquis par l’État au Ja-pon à la même époque : Glycine, ex-Yebisu-Maru-III (215 tx jb), et Lotus, ex-Shimonoseki-Maru (212 tx jb).
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 744.]
Le patrouilleur Glaïeul, jaugeant brut 199 tx et net 107 tx, fut mis en vente le 19 février 1920 par le Service de la liquidation des stocks dans les locaux de la Préfecture maritime de Toulon selon la procé-dure d’adjudication publique sur soumissions cachetées (La Dépêche de Brest, n° 13.400, Mardi 3 fé-vrier 1920, p. 4). Il fut alors adjugé pour le prix de 212.000 fr. à un sieur Doux (J.O. 18 mars 1920, p. 4.497 – Partie « Avis et communications »), agissant en réalité au nom et pour le compte de la Société nationale du Cameroun [Siège social : Paris, 47, rue de la Victoire (IXe Arr.)] (L’Ouest-Éclair — éd. de Caen —, n° 7.835, Mercredi 7 avril 1920, p. 4). Il fut alors attaché au port de Douala (Cameroun), ayant pour signal distinctif les lettres O.I.F.Z.
Furent également proposés à l’achat lors de la même vacation le patrouilleur Frelon, ex-Bohemia, ac-quis par l’État en Espagne durant la guerre, ainsi que deux autres patrouilleurs acquis par l’État au Ja-pon à la même époque : Glycine, ex-Yebisu-Maru-III (215 tx jb), et Lotus, ex-Shimonoseki-Maru (212 tx jb).