Bonjour à toutes et à tous,
un marin de la Direction du port de Lorient embarqué sur le BONSONGE, décédé en portant secours à un camarade :
VAUSELLE Marcel Etienne né le 17/03/1892 à La Rochelle (Charente-Maritime (Charente-Inférieure en 1914)), Matelot de 3ème Classe Sans Spécialité - Décédé le 21/06/1915 (23 Ans) à Indret (Loire-Atlantique (Loire-Inférieure en 1914)) de Noyade Accidentelle - Noyé dans la loire en portant secours au matelot GORSE tombé à l'eau
Cordialement
Dominique
BONSONGE - Remorqueur
Re: BONSONGE - Remorqueur
Avec les Allemands, nous nous sommes tellement battus que nos sangs ne font plus qu'un [ Ferdinand Gilson, France, Figaro Magazine n°19053 du 05 nov. 2005 ]
- Terraillon Marc
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Re: BONSONGE - Remorqueur
Bonsoir Dominique
Le BONSONGE est un remorqueur en service de 1882 à 1917
Il a coulé devant Quiberon le 17 mars 1917 (aprés avoir servi au Sénégal et à Lorient)
A bientot
Le BONSONGE est un remorqueur en service de 1882 à 1917
Il a coulé devant Quiberon le 17 mars 1917 (aprés avoir servi au Sénégal et à Lorient)
A bientot
Cordialement
Marc TERRAILLON
A la recherche du 17e RIT, des 166/366e RI et du 12e Hussards.
Marc TERRAILLON
A la recherche du 17e RIT, des 166/366e RI et du 12e Hussards.
BONSONGE — Remorqueur de l’État (1882~1917).
Bonjour à tous,
Remorqueur ou transport ?
Remorqueur ou transport ?
• Le Morbihannais, n° 69, Vendredi 16 mars 1917,
p. 2, en rubrique « Chronique locale ».
p. 2, en rubrique « Chronique locale ».
« LE NAUFRAGE DU BONSONGE
Le transport de l’État Bonsonge avait quitté le port de Lorient chargé de marchandises. Arrivé en face d’Étel, il heurta une épave sous-marine. La T.S.F. du bord demanda aussitôt du secours, qui ne tarda pas à arriver et l’équipage tout entier put être sauvé. »
Dernière modification par Rutilius le lun. janv. 09, 2023 7:52 am, modifié 4 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: BONSONGE - Remorqueur
Bonjour Daniel,
Bonjour à tous,
Remorqueur ou transport ?
Dans le Vichot, j'ai :
BON SONGE Remorqueur (1882-1914)
BON SONGE Transport (1914-1917)
Réquisitionné
S'agit-il du même bateau ? Je ne sais.
En revanche, chez Le Calvé, pas de trace de BON SONGE ou BONSONGE réquisitionné
Va falloir creuser.
Bien amicalement et bonne semaine,
Franck
Bonjour à tous,
Remorqueur ou transport ?
Dans le Vichot, j'ai :
BON SONGE Remorqueur (1882-1914)
BON SONGE Transport (1914-1917)
Réquisitionné
S'agit-il du même bateau ? Je ne sais.
En revanche, chez Le Calvé, pas de trace de BON SONGE ou BONSONGE réquisitionné

Va falloir creuser.
Bien amicalement et bonne semaine,
Franck
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Re: BONSONGE - Remorqueur
Bonjour,
Un article du journal "La Petite Presse" du 16 mars 1904 (GALLICA) :
A bientôt.
Un article du journal "La Petite Presse" du 16 mars 1904 (GALLICA) :
A bientôt.
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
BONSONGE — Remorqueur de l’État (1882~1917).
Bonjour à tous,
Bonsonge — Remorqueur de l’État — Direction des mouvements du port de Lorient (1882~1917).
□ A la requête d’un député du Morbihan, le remorqueur-transport de l’État Bonsonge fut inscrit en 1932 par le Ministre de la Marine sur la liste des bâtiments ouvrant droit au bénéfice de la campagne de guerre. En conséquence, à partir de cette date, il fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre :
— du 2 août 29 novembre 1914 ;
— du 5 janvier au 12 février 1915 ;
— du 15 mars 1915 au 12 mars 1917, jour de sa perte.
— du 2 août 29 novembre 1914 ;
— du 5 janvier au 12 février 1915 ;
— du 15 mars 1915 au 12 mars 1917, jour de sa perte.
• La Dépêche de Brest, n° 17.553, Samedi 16 janvier 1932, p. 6.
Dernière modification par Rutilius le lun. janv. 09, 2023 7:53 am, modifié 3 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
BONSONGE — Remorqueur de l’État (1882~1917).
Bonsoir à tous,
_________________________________________________________________________________________
Marins du remorqueur Bonsonge
— GORSE Michel François, né le 3 octobre 1894 à Exideuil-sur-Vienne (Charente) (Registre des actes de naissance de la commune -sur-Vienne, Année 1894, f° 28, acte n° 39), au lieu-dit « Perdrix », et y do-micilié, décédé le 21 juin 1915 à Indre (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire-Atlantique) (Registre des actes de décès de la commune d’Indre, Année 1915, f° 7, acte n° 39) s’étant noyé dans la Loire alors qu'il s'y lavait. Matelot de 3e classe mécanicien, matricule n° 14.615 – 4 ; classe 1914, n° 514 au re-crutement de Magnac-Laval. [Non déclaré « Mort pour la France »]
• Fils de Michel GORSE, né le 16 novembre 1870 à Pressignac (Charente), cultivateur, et de Marie AUTHIER, née le 15 septembre 1877 à Chirac (– d° –), cultivatrice ; époux ayant contracté mariage à Exideuil-sur-Vienne, le 23 janvier 1894 épouse (Registre des actes de mariage de la commune Exideuil-sur-Vienne, Année 1894, f° 4, acte n° 5).
— VAUSELLE Marcel Étienne, né le 17 mars 1892 à La Rochelle (Charente-Inférieure — aujourd’hui Cha-rente-Maritime), au lieu-dit « La Briqueterie » (Registre des actes de naissance de la ville de La Ro-chelle, Année 1892, f° 28, acte n° 40), et domicilié à Lagord (– d° –), décédé le 21 juin 1915 à Indre (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire-Atlantique) (Registre des actes de décès de la commune d’Indre, Année 1915, f° 7, acte n° 108), mort par noyade en se portant au secours du matelot Michel François GORSE, pris d’un malaise alors qu’il se lavait dans la Loire. Matelot de 3e classe sans spécialité, matri-cule n° 44.956 – 4 ; classe 1912, n° 141 au recrutement de La Rochelle.
• Fils d’Étienne Alfred VAUSELLE, né le 27 décembre 1856 à Bordeaux (Gironde), mécanicien, et de Louise Eulalie LACROIX, née le 12 février 1868 à Saintes (Charente-Inférieure — aujourd’hui Charente-Maritime), sans profession [Tailleuse en 1886] ; époux ayant contracté mariage dans cette ville, le 18 mai 1886, son épouse (Registre des actes de mariage de la ville de Saintes, Année 1886, f° 15, acte n° 27).
• Fils de Michel GORSE, né le 16 novembre 1870 à Pressignac (Charente), cultivateur, et de Marie AUTHIER, née le 15 septembre 1877 à Chirac (– d° –), cultivatrice ; époux ayant contracté mariage à Exideuil-sur-Vienne, le 23 janvier 1894 épouse (Registre des actes de mariage de la commune Exideuil-sur-Vienne, Année 1894, f° 4, acte n° 5).
— VAUSELLE Marcel Étienne, né le 17 mars 1892 à La Rochelle (Charente-Inférieure — aujourd’hui Cha-rente-Maritime), au lieu-dit « La Briqueterie » (Registre des actes de naissance de la ville de La Ro-chelle, Année 1892, f° 28, acte n° 40), et domicilié à Lagord (– d° –), décédé le 21 juin 1915 à Indre (Loire-Inférieure — aujourd’hui Loire-Atlantique) (Registre des actes de décès de la commune d’Indre, Année 1915, f° 7, acte n° 108), mort par noyade en se portant au secours du matelot Michel François GORSE, pris d’un malaise alors qu’il se lavait dans la Loire. Matelot de 3e classe sans spécialité, matri-cule n° 44.956 – 4 ; classe 1912, n° 141 au recrutement de La Rochelle.
• Fils d’Étienne Alfred VAUSELLE, né le 27 décembre 1856 à Bordeaux (Gironde), mécanicien, et de Louise Eulalie LACROIX, née le 12 février 1868 à Saintes (Charente-Inférieure — aujourd’hui Charente-Maritime), sans profession [Tailleuse en 1886] ; époux ayant contracté mariage dans cette ville, le 18 mai 1886, son épouse (Registre des actes de mariage de la ville de Saintes, Année 1886, f° 15, acte n° 27).
_________________________________________________________________________________________
• Le Nouvelliste du Morbihan, n° 148, Jeudi 24 juin 1915, p. 3.
[Inversion des rôles par l'auteur de l'article : la matelot Marcel VAUSELLE
— et non VOSSEL — était l’assistant et non l’assisté.]
— et non VOSSEL — était l’assistant et non l’assisté.]
• Le Phare de la Loire, n° 31.138, Jeudi 24 juin 1915, p. 3.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
BONSONGE — Remorqueur de l’État (1882~1917).
Bonjour à tous,
Commandants du remorqueur Bonsonge
— ... / ...
— COURQUEUX Hilaire Marie, premier maître de manœuvre, inscrit au quartier de Binic, n° 3.594. En 1906 (Cf. J.O. 1er juill. 1906, p.4.482 — Liste de destinations).
— LAPIERRE Eugène Fromence, premier maître de manœuvre, inscrit au quartier de Lorient, f° et n° 1.915. Nommé à ce commandement par une décision ministérielle du 19 avril 1907 (J.O. 27 avr. 1907, p. 3.156).
— ... / ...
— RUGANI Jean-Baptiste Nicolas, premier maître pilote, inscrit au quartier de Saint-Malo, n° 483. Nommé à ce commandement par une décision ministérielle du 29 décembre 1910 (J.O. 30 déc. 1910, p. 10.691).
— BLANCHET Joseph Ange Marie, premier maître pilote, inscrit au quartier de Saint-Brieuc, n° 447. Nommé à ce commandement par une décision ministérielle du 3 janvier 1913 (J.O. 8 janv. 1913, p. 224). Commandement pris le 16 janvier 1913 (Ibid.).
— LE CAM Yves Marie, premier maître pilote, inscrit au quartier de Toulon, n° 4.746. Nommé à ce com-mandement par une décision ministérielle du 18 octobre 1915 (J.O. 22 oct. 1915, p. 7.620).
[En 1932, était embarqué sur le Pourquoi Pas ? [IV], du docteur Jean-Baptiste CHARCOT, bâtiment alors commandé par l’officier de 2e classe des équipages de la flotte de réserve Auguste Marie CHATTON, inscrit au quartier de Dinan, n° 2.666 (La Dépêche de Brest, n° 17.683, Jeudi 25 mai 1932, p. 3 ~ La Dépêche de Brest, n° 17.754, Jeudi 4 août 1932, p. 3).]
— COURQUEUX Hilaire Marie, premier maître de manœuvre, inscrit au quartier de Binic, n° 3.594. En 1906 (Cf. J.O. 1er juill. 1906, p.4.482 — Liste de destinations).
— LAPIERRE Eugène Fromence, premier maître de manœuvre, inscrit au quartier de Lorient, f° et n° 1.915. Nommé à ce commandement par une décision ministérielle du 19 avril 1907 (J.O. 27 avr. 1907, p. 3.156).
— ... / ...
— RUGANI Jean-Baptiste Nicolas, premier maître pilote, inscrit au quartier de Saint-Malo, n° 483. Nommé à ce commandement par une décision ministérielle du 29 décembre 1910 (J.O. 30 déc. 1910, p. 10.691).
— BLANCHET Joseph Ange Marie, premier maître pilote, inscrit au quartier de Saint-Brieuc, n° 447. Nommé à ce commandement par une décision ministérielle du 3 janvier 1913 (J.O. 8 janv. 1913, p. 224). Commandement pris le 16 janvier 1913 (Ibid.).
— LE CAM Yves Marie, premier maître pilote, inscrit au quartier de Toulon, n° 4.746. Nommé à ce com-mandement par une décision ministérielle du 18 octobre 1915 (J.O. 22 oct. 1915, p. 7.620).
[En 1932, était embarqué sur le Pourquoi Pas ? [IV], du docteur Jean-Baptiste CHARCOT, bâtiment alors commandé par l’officier de 2e classe des équipages de la flotte de réserve Auguste Marie CHATTON, inscrit au quartier de Dinan, n° 2.666 (La Dépêche de Brest, n° 17.683, Jeudi 25 mai 1932, p. 3 ~ La Dépêche de Brest, n° 17.754, Jeudi 4 août 1932, p. 3).]
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.