Bonjour,
C'est toujours émouvant de retrouver trace du membre de sa famille dans les J.M.O.
le parcours d'Arthur Carof est très clair à partir du 28 mai 1916, à sa nomination au grade de capitaine et son affectation ne varie plus, juste la SMA qui change de numéro.
Cependant, il me semble que son parcours pour le début de la guerre n'est pas aussi facile à lire.
J'entrevoie 3 périodes :
1ere période : il est au dépôt... jusqu'à quand ? peut être jusqu'au moment de sa nomination au grade de lieutenant. (fin aout)
Le parc d'artillerie du 11e C.A avant la guerre est à Vannes.
en point de repère : je pense, il n'y participe pas
10e C.A de Rennes : Charleroi, 21 et 22 aout 1914
11e C.A de Nantes : Maissin 22 aout 1914
2e période : il est affecté au groupe territoriale, 88e D.I.T au Groupe de Divisions Territoriales
(fin aout à fin octobre), avec l'écusson du 28e RAC
mais le 10e C.A et 11e C.A sont positionnés, pas très loin... difficile à démêler
3e période : suite à la dissolution du G.D.T, 22.10.1914 , je pense il réintègre le 11e Corps d'Armée
en croisant avec "Le Patro de Ploudalmézeau", entre les repère 8.4 à 36.5, Arthur Carof
croise très peu de connaissance.
effectivement, la 88e DIT est composée :

- 88e DIT.png (54.52 Kio) Consulté 715 fois
Il n'y a pas de composante du Finistère.
81e RIT : Nantes, 82e RIT : Ancenis
83e & 84e RIT : Vendée
groupe territorial 20e RAC : Poitiers
groupe territorial 28e RAC : Vannes
Puis effectivement, j'avais repéré Fr. Pérès, leur parcours deviendrait commun à partir de la 3e période du parcours d'Arthur Carof.
il semblerait que la fiche matricule de François Pérès soit effectivement la bonne. La dernière partie de parcours d'Arthur Carof et François Pérès sont similaires.
vous noterez aussi l'impossibilité d'identifier son appartenance à une SMA - SMI sur la F.M de François Pérès, (et bien sur celle de Arthur Carof) c'est indétectable, d'où l'importance des écrits "Le Patro de Ploudalmézeau" et le parcours d'Arthur Carof.
d'ailleurs, les documents numérisés ne sont plus lisible
Cordialement,
Frédéric