FLEURI Stephen Albert
Né le 23 avril 1865 à Rochefort (Charente-Inférieure ― aujourd’hui Charente-Maritime) et décédé le 17 novembre 1918 à Saint-Maurice (Seine — aujourd’hui Val-de-Marne).
• Fils d’Étienne Clovis Théodore FLEURI, né le 27 juin 1820 à Moreau-aux-Prés (Loiret), capitaine d’artillerie au Régiment de la marine et des colonies, décédé le 30 septembre 1883 mariage à ... (...), et de Marie Marthe Louise LAMBERT, née le 10 septembre 1842 à Cléry (– d° –), sans profession ; époux ayant contracté mariage à Rochefort, le 11 juin 1861 (Registre des actes de mariage de la ville de Rochefort, Année 1861, f° 59, acte n° 115 ~ Registre des actes de naissance de la ville de Rochefort, Année 1865, f° 59, acte n° 230). Dont trois enfants.
• Époux de Léontine Élisabeth Suzanne BULLET, avec laquelle il avait contracté mariage à ... (...), le ...
• Père de Marcel Stephen Robert FLEURI, né le 23 février 1891 à Versailles (Seine-et-Oise ― aujourd’hui Hauts-de-Seine) et décédé le 24 janvier 1961 à Bordeaux (Gironde).
Admis à l’École polytechnique en Octobre 1884 à la suite du concours ouvert la même année, étant classé 103e sur une liste de 185 élèves (J.O. 23 sept. 1910, p. 7.909) ; matricule n° 662. Classe 1911, n° 3.278 au recrutement de Versailles.
―> https://archives.yvelines.fr/arkotheque ... m_rotate=F
Base Léonore —> http://www2.culture.gouv.fr/LH/LH159/PG ... 762424.htm
Époux en premières noces d’Anne Marie BASTIÉ, née le 5 novembre 1889 à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne), avec laquelle il avait contracté mariage dans cette commune, le 27 octobre 1914.
• Fils d’Étienne Clovis Théodore FLEURI, né le 27 juin 1820 à Moreau-aux-Prés (Loiret), capitaine d’artillerie au Régiment de la marine et des colonies, décédé le 30 septembre 1883 mariage à ... (...), et de Marie Marthe Louise LAMBERT, née le 10 septembre 1842 à Cléry (– d° –), sans profession ; époux ayant contracté mariage à Rochefort, le 11 juin 1861 (Registre des actes de mariage de la ville de Rochefort, Année 1861, f° 59, acte n° 115 ~ Registre des actes de naissance de la ville de Rochefort, Année 1865, f° 59, acte n° 230). Dont trois enfants.
• Époux de Léontine Élisabeth Suzanne BULLET, avec laquelle il avait contracté mariage à ... (...), le ...
• Père de Marcel Stephen Robert FLEURI, né le 23 février 1891 à Versailles (Seine-et-Oise ― aujourd’hui Hauts-de-Seine) et décédé le 24 janvier 1961 à Bordeaux (Gironde).
Admis à l’École polytechnique en Octobre 1884 à la suite du concours ouvert la même année, étant classé 103e sur une liste de 185 élèves (J.O. 23 sept. 1910, p. 7.909) ; matricule n° 662. Classe 1911, n° 3.278 au recrutement de Versailles.
―> https://archives.yvelines.fr/arkotheque ... m_rotate=F
Base Léonore —> http://www2.culture.gouv.fr/LH/LH159/PG ... 762424.htm
Époux en premières noces d’Anne Marie BASTIÉ, née le 5 novembre 1889 à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne), avec laquelle il avait contracté mariage dans cette commune, le 27 octobre 1914.
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Classe 1885, n° ... au recrutement de ...
Admis à l’École polytechnique le 16 octobre 1884 à la suite du concours ouvert la même année, étant classé 200e sur une liste de 241 élèves (J.O. 25 sept. 1884, p. 5.109 et 5.110). Boursier avec trousseau en qualité de fils de veuve élevant seule trois enfants (J.O. 26 nov. 1896, p. 6.432).
Par décret du 27 août 1886 (J.O. 31 août 1886, p. 4.035), nommé sous-lieutenant élève du génie à l’École d’application de l’artillerie et du génie de Fontainebleau à compter du 1er octobre 1885, étant classé 3e sur une liste de 35 élèves.
Par décret du Président de la République en date du 29 septembre 1888 (J.O. 2 oct. 1888, p. 4.033 et 4.024), promu au grade de lieutenant du génie en second, étant classé 2e sur une liste de 30 promus. Par décision ministérielle de même date, affecté au 1e Régiment du génie (Ibid.), en garnison à Versailles ; arrivé au corps le 3 novembre 1888.
Par décision ministérielle du 18 octobre 1890 (J.O. 17 oct. 1890, p. 5.063), nommé lieutenant du génie en premier. Maintenu à son corps.
Par décision ministérielle du 16 octobre 1892 (J.O. 18 oct. 1892, p. 5.029), désigné pour occuper l’emploi d’instructeur à l’École militaire de l’artillerie et du génie, à Versailles.
Par décret du 26 décembre 1893 (J.O. 27 déc. 1893, p. 6.358 et 6.359), promu au grade de capitaine du génie (2e tour ; au choix) et placé en situation d’activité hors cadre (Service d’état-major). Provisoirement maintenu dans son emploi.
Par décision ministérielle du 26 février 1894 (J.O. 28 févr. 1894, p. 961), désigné pour être employé à l’État major particulier du génie, à Cherbourg.
Par décision ministérielle du 11 avril 1901 (J.O. 13 avr. 1901, p. 2.398), nommé capitaine du génie en premier. Maintenu dans sa situation.
Par décision ministérielle du 12 octobre 1901 (J.O. 13 oct. 1910, p. 6.409 et 6.410), désigné pour être employé à la Section technique du génie, à Paris.
Par décision ministérielle du 25 mars 1909 (J.O. 25 mars 1909, p. 3.082), classé à l’État major particulier du génie et désigné pour être employé à l’Établissement central du matériel de l’aérostation militaire, à Chalais-Meudon (Service).
Par décision ministérielle du 28 juillet 1909 (J.O. 29 juill. 1909, p. 8.206), nommé chef de l’Établissement central du matériel de l’aérostation militaire, à Chalais-Meudon.
Par décret du 5 février 1910 (J.O. 8 févr. 1910, p. 1.131), promu au grade de chef de bataillon du génie (2e tour ; au choix). Alors chef de l’Établissement central du matériel de l’aérostation militaire, à Chalais-Meudon ; maintenu dans cette situation.
Par décision ministérielle du 23 décembre 1913 (J.O. 25 déc. 1913, p. 4.077), désigné comme directeur du matériel aéronautique militaire à Chalais-Meudon. Alors chef de bataillon du génie, chef de l’Établisse-ment central du matériel de l’aérostation militaire, à Chalais-Meudon.
Par décision ministérielle du 8 mars 1914 (J.O. 10 mars 1914, p. 2.148 et 2.149), par suite de la suppression de son précédent emploi, classé au 1er Groupe d’aérostation, à Versailles ; mis à la disposition du commandant de groupe.
Par décret du Président de la République en date du 1er novembre 1914 (J.O. 7 nov. 1914, p. 8.593 et 8.594), promu au grade de lieutenant-colonel du génie. Maintenu en position hors cadres.
Par décision ministérielle du 15 mars 1915 (J.O. 19 mars 1915, p. 1.452), nommé directeur de la Section technique de l’aviation militaire. Alors directeur de l’Établissement central du matériel d’aérostation militaire.
[Lui succéda alors à la direction de l’Établissement central du matériel d’aérostation militaire le chef d’esca-dron d’artillerie Charles Albert Marie GRARD, nommé à cet emploi par la même décision ministérielle. Cet officier exerçait précédemment à Lyon la direction de l’annexe du Service des fabrications de l’aviation militaire.]
Admis à l’École polytechnique le 16 octobre 1884 à la suite du concours ouvert la même année, étant classé 200e sur une liste de 241 élèves (J.O. 25 sept. 1884, p. 5.109 et 5.110). Boursier avec trousseau en qualité de fils de veuve élevant seule trois enfants (J.O. 26 nov. 1896, p. 6.432).
Par décret du 27 août 1886 (J.O. 31 août 1886, p. 4.035), nommé sous-lieutenant élève du génie à l’École d’application de l’artillerie et du génie de Fontainebleau à compter du 1er octobre 1885, étant classé 3e sur une liste de 35 élèves.
Par décret du Président de la République en date du 29 septembre 1888 (J.O. 2 oct. 1888, p. 4.033 et 4.024), promu au grade de lieutenant du génie en second, étant classé 2e sur une liste de 30 promus. Par décision ministérielle de même date, affecté au 1e Régiment du génie (Ibid.), en garnison à Versailles ; arrivé au corps le 3 novembre 1888.
Par décision ministérielle du 18 octobre 1890 (J.O. 17 oct. 1890, p. 5.063), nommé lieutenant du génie en premier. Maintenu à son corps.
Par décision ministérielle du 16 octobre 1892 (J.O. 18 oct. 1892, p. 5.029), désigné pour occuper l’emploi d’instructeur à l’École militaire de l’artillerie et du génie, à Versailles.
Par décret du 26 décembre 1893 (J.O. 27 déc. 1893, p. 6.358 et 6.359), promu au grade de capitaine du génie (2e tour ; au choix) et placé en situation d’activité hors cadre (Service d’état-major). Provisoirement maintenu dans son emploi.
Par décision ministérielle du 26 février 1894 (J.O. 28 févr. 1894, p. 961), désigné pour être employé à l’État major particulier du génie, à Cherbourg.
Par décision ministérielle du 11 avril 1901 (J.O. 13 avr. 1901, p. 2.398), nommé capitaine du génie en premier. Maintenu dans sa situation.
Par décision ministérielle du 12 octobre 1901 (J.O. 13 oct. 1910, p. 6.409 et 6.410), désigné pour être employé à la Section technique du génie, à Paris.
Par décision ministérielle du 25 mars 1909 (J.O. 25 mars 1909, p. 3.082), classé à l’État major particulier du génie et désigné pour être employé à l’Établissement central du matériel de l’aérostation militaire, à Chalais-Meudon (Service).
Par décision ministérielle du 28 juillet 1909 (J.O. 29 juill. 1909, p. 8.206), nommé chef de l’Établissement central du matériel de l’aérostation militaire, à Chalais-Meudon.
Par décret du 5 février 1910 (J.O. 8 févr. 1910, p. 1.131), promu au grade de chef de bataillon du génie (2e tour ; au choix). Alors chef de l’Établissement central du matériel de l’aérostation militaire, à Chalais-Meudon ; maintenu dans cette situation.
Par décision ministérielle du 23 décembre 1913 (J.O. 25 déc. 1913, p. 4.077), désigné comme directeur du matériel aéronautique militaire à Chalais-Meudon. Alors chef de bataillon du génie, chef de l’Établisse-ment central du matériel de l’aérostation militaire, à Chalais-Meudon.
Par décision ministérielle du 8 mars 1914 (J.O. 10 mars 1914, p. 2.148 et 2.149), par suite de la suppression de son précédent emploi, classé au 1er Groupe d’aérostation, à Versailles ; mis à la disposition du commandant de groupe.
Par décret du Président de la République en date du 1er novembre 1914 (J.O. 7 nov. 1914, p. 8.593 et 8.594), promu au grade de lieutenant-colonel du génie. Maintenu en position hors cadres.
Par décision ministérielle du 15 mars 1915 (J.O. 19 mars 1915, p. 1.452), nommé directeur de la Section technique de l’aviation militaire. Alors directeur de l’Établissement central du matériel d’aérostation militaire.
[Lui succéda alors à la direction de l’Établissement central du matériel d’aérostation militaire le chef d’esca-dron d’artillerie Charles Albert Marie GRARD, nommé à cet emploi par la même décision ministérielle. Cet officier exerçait précédemment à Lyon la direction de l’annexe du Service des fabrications de l’aviation militaire.]
Distinctions honorifiques
□ Par décret du Président de la République en date du 30 décembre 1906 (J.O. 31 déc. 1906, p. 8.746 et 8.749), nommé au grade de chevalier dans l’Ordre de la Légion d’honneur.
□ Par arrêté du Ministre de l’Instruction publique et des Beaux-arts en date du ... 1910 (J.O. 1er juill. 1910, p. 5.643 et 5.649), nommé officier d’académie.
□ Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du ... juill. 1917 (J.O. 13 juill. 1917, p. 5.376 et 5.383), inscrit au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade d’officier.
□ Par arrêté du Ministre de l’Instruction publique et des Beaux-arts en date du ... 1910 (J.O. 1er juill. 1910, p. 5.643 et 5.649), nommé officier d’académie.
□ Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du ... juill. 1917 (J.O. 13 juill. 1917, p. 5.376 et 5.383), inscrit au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade d’officier.