Au-delà du parti-pris patriotique que voulait l'époque, cette étude de René La Bruyère intitulée LA PART DE LA MARINE MARCHANDE DANS L'OEUVRE DE DEFENSE NATIONALE publiée en 1916 dans la Revue Des Deux Mondes expose le rôle effectif d'une flotte auxiliaire encore peu considérée par les stratèges d'alors.
https://fr.wikisource.org/wiki/La_Marin ... _nationale
Navires auxiliaires : une étude de 1915
Re: Navires auxiliaires : une étude de 1915
Etude intéressante, merci de l'avoir trouvée
Cordialement
Alain
Alain
Navires auxiliaires : une étude de 1915.
Bonjour à tous,
La publication originale, librement accessible :
― René LA BRUYÈRE : « La part de la Marine marchande dans l’œuvre de défense nationale », Revue des Deux mondes, 6e période, T. 32, livraison du 15 mars 1916, p. 409 à 432.
La publication originale, librement accessible :
― René LA BRUYÈRE : « La part de la Marine marchande dans l’œuvre de défense nationale », Revue des Deux mondes, 6e période, T. 32, livraison du 15 mars 1916, p. 409 à 432.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: Navires auxiliaires : une étude de 1915
Merci Rutilius pour ce référencement plus orthodoxe... Je crois qu'il va falloir que je soigne à l'avenir la nature même de mes sources
Des considérations stratégiques des politiques aux approches tactiques des militaires ladite étude s’adosse au constat suivant : ‘’ soit qu’ils aient été réquisitionnés par l’Etat, soit qu’ils demeurent à la disposition de leurs armateurs, presque tous les navires de commerce ont été conduits à participer intimement à l’œuvre de défense nationale ’’ ce qui ouvre le sujet au plus grand nombre.
On notera que l’auteur a recours dans sa démonstration à un mode de classification bien plus précis et moderne que ce qui se pratiquait communément au début de la guerre, particulièrement en ce qui concerne les plus petites unités réquisitionnées ou réquisitionnables. Un modèle du genre qui malheureusement ne fera pas école pour longtemps.
Des considérations stratégiques des politiques aux approches tactiques des militaires ladite étude s’adosse au constat suivant : ‘’ soit qu’ils aient été réquisitionnés par l’Etat, soit qu’ils demeurent à la disposition de leurs armateurs, presque tous les navires de commerce ont été conduits à participer intimement à l’œuvre de défense nationale ’’ ce qui ouvre le sujet au plus grand nombre.
On notera que l’auteur a recours dans sa démonstration à un mode de classification bien plus précis et moderne que ce qui se pratiquait communément au début de la guerre, particulièrement en ce qui concerne les plus petites unités réquisitionnées ou réquisitionnables. Un modèle du genre qui malheureusement ne fera pas école pour longtemps.