Commandants successifs du contre-torpilleur d’escadre Espingole
— PIGEON de SAINT-PAIR Frédéric Georges, lieutenant de vaisseau, du port de Toulon. Avait été préala-blement chargé, en Juillet 1899, de suivre les travaux d’achèvement du bâtiment, au Havre (J.O. 9 juill. 1899, p. 4.568).
— LAUGIER Alexandre François Gabriel, lieutenant de vaisseau, du port de Toulon. Nommé à ce comman-dement par une décision présidentielle du 11 décembre 1900 (J.O. 13 déc. 1900, p. 8.211). Escadre de la Méditerranée.
— MARCOTTE de SAINTE-MARIE Georges Marie Joseph, lieutenant de vaisseau, du port de Toulon. Nommé à ce commandement par une décision présidentielle du 3 mai 1902 (J.O.5 mai 1902, p. 3.192). Commandement pris le 22 juin 1902 (J.O. 6 mai 1902, p. 3.227). Escadre de la Méditerranée.
Tué le 7 novembre 1914 à l’ennemi à Dixmude (Belgique). Alors capitaine de frégate à la Brigade des fusiliers marins.
Cité à l’ordre de l’armée dans les termes suivants (J.O. 19 avr. 1915, p. 2.354) : « MARCOTTE de SAINTE-MARIE (G.-M.-J.), capitaine de frégate : d’un courage et d’un dévouement à toute épreuve. Tué le 7 novembre en donnant les indications pour un tir d’une pièce amenée à proximité de l’ennemi. (Ordre du 30 mars 1915). ».
— LAUGIER Alexandre François Gabriel, lieutenant de vaisseau, du port de Toulon. Nommé à ce comman-dement par une décision présidentielle du 11 décembre 1900 (J.O. 13 déc. 1900, p. 8.211). Escadre de la Méditerranée.
— MARCOTTE de SAINTE-MARIE Georges Marie Joseph, lieutenant de vaisseau, du port de Toulon. Nommé à ce commandement par une décision présidentielle du 3 mai 1902 (J.O.5 mai 1902, p. 3.192). Commandement pris le 22 juin 1902 (J.O. 6 mai 1902, p. 3.227). Escadre de la Méditerranée.
Tué le 7 novembre 1914 à l’ennemi à Dixmude (Belgique). Alors capitaine de frégate à la Brigade des fusiliers marins.
Cité à l’ordre de l’armée dans les termes suivants (J.O. 19 avr. 1915, p. 2.354) : « MARCOTTE de SAINTE-MARIE (G.-M.-J.), capitaine de frégate : d’un courage et d’un dévouement à toute épreuve. Tué le 7 novembre en donnant les indications pour un tir d’une pièce amenée à proximité de l’ennemi. (Ordre du 30 mars 1915). ».