salut a tous j aimerais connaître vos films préférés sur la grande guerre avec les experts de cet excellent forum je suis sur que je vais avoir des tas de films a visionner merci d avance GUY
Au Cent quarante-huitième, nous sommes de petits agneaux,
Celui qui fait fi de nos pruneaux,apprend le numéro de notre Drapeau."
Bonsoir,
pour ma part, je mettrais en avant Verdun visions d'histoire de Léon POIRIER, ensuite LA VIE ET RIEN D'AUTRE, et LES SENTIERS DE LA GLOIRE de STANLEY KUBRICK, A L'OUEST RIEN DE NOUVEAU .
cdlt
Marc
ais-je été de ceux-là dont tous ne furent pas ?
Léon RIOTOR
Concernant les téléfilms, j'aime bien le film avec Christophe Malavoy intitulé "Ceux qui aiment ne meurent jamais" sur l'agonie d'un officier en 1915. Malavoy y retrace l'histoire de son grand-père tué en 15.
Extrait d'une critique : 20 H 40 arte téléfilm
Le grand-père de Christophe Malavoy
Le 6 mars 1915, André, un officier français tombe sur le front champenois. Il agonisera pendant huit jours dans un hôpital de campagne, sans revoir sa femme qui attend un enfant. Ce lieutenant, c’est le grand-père de Christophe Malavoy. Le comédien lui avait déjà rendu hommage dans un roman, Parmi tant d’autres, qu’il porte ici à l’écran. « Après le livre, j’ai reçu un courrier abondant et émouvant. Beaucoup de gens se sont retrouvés dans mon récit », se souvient-il. Pour les besoins du film, intitulé Ceux qui aiment ne meurent jamais, l’histoire est vue à travers le petit Albert (Vladimir Volkov, 8 ans et demi, épatant), né après la mort d’André (Christophe Malavoy, impeccable). Le garçonnet revit la souffrance de ce père et s’en prend à Dieu avec une violence toute enfantine. Plus qu’un énième film sur la Grande Guerre, c’est une interrogation sur la transmission de la mémoire familiale. Malavoy fait des aller-retour incessants entre passé, présent et futur, au risque de dérouter le téléspectateur. C’est la seule difficulté pour entrer dans ce film touchant, personnel et universel à la fois. L. T.
Bonsoir,
Un chef-d'oeuvre : Johnny's got his gun ... ou l'acharnement thérapeutique pour maintenir un bout de tronc humain avec sa tête.
Une sacrée gifle !
Les Hommes contre. Magnifique film sur l'Italie en guerre et le sentiment de révolte qui s'accroît .
Cordialement,
Ferns
L'homme en campagne a les mêmes besoins qu'en temps de paix ; ces besoins deviennent même plus impérieux, étant exacerbés par une existence plus active et plus énervante.(Henry Mustière)
Oui, "Les sentiers de la gloire"( qu'on n'a pu voir en France qu'en 1975 alors qu'il avait été tourné en 57 - le quai d'Orsay avait demandé à Washington de faire pression sur le distributeur pour que le film ne soit pas distribué) et " Johnny got his gun" de Dalton Trumbo ( interdit de studios pour avoir refusé de dénoncer devant la commission des activités anti-américaines de Mc Carthy).