votre meilleur film
Re: votre meilleur film
Au Cent quarante-huitième, nous sommes de petits agneaux,
Celui qui fait fi de nos pruneaux,apprend le numéro de notre Drapeau."
Celui qui fait fi de nos pruneaux,apprend le numéro de notre Drapeau."
- Stephan @gosto
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Re: votre meilleur film
Bonsoir,
Ceux qui m'ont particulièrement touché sont :
J'accuse, d'Abel Gance
Les Croix de Bois de Raymond Bernard
La vie et rien d'autre de Bertrand Tavernier
Amicalement,
Stéphan
Ceux qui m'ont particulièrement touché sont :
J'accuse, d'Abel Gance
Les Croix de Bois de Raymond Bernard
La vie et rien d'autre de Bertrand Tavernier
Amicalement,
Stéphan
- fernande sonntag
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Re: votre meilleur film
Bonsoir,
pour ma part, je mettrais en avant Verdun visions d'histoire de Léon POIRIER, ensuite LA VIE ET RIEN D'AUTRE, et LES SENTIERS DE LA GLOIRE de STANLEY KUBRICK, A L'OUEST RIEN DE NOUVEAU .
cdlt
Marc
pour ma part, je mettrais en avant Verdun visions d'histoire de Léon POIRIER, ensuite LA VIE ET RIEN D'AUTRE, et LES SENTIERS DE LA GLOIRE de STANLEY KUBRICK, A L'OUEST RIEN DE NOUVEAU .
cdlt
Marc
ais-je été de ceux-là dont tous ne furent pas ?
Léon RIOTOR
Léon RIOTOR
Re: votre meilleur film
grand merci a vous je constate que a peu de chose près vos préférences vont sur les mêmes film GUYGUY
Au Cent quarante-huitième, nous sommes de petits agneaux,
Celui qui fait fi de nos pruneaux,apprend le numéro de notre Drapeau."
Celui qui fait fi de nos pruneaux,apprend le numéro de notre Drapeau."
- vincent le calvez
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- Inscription : mer. nov. 10, 2004 1:00 am
Re: votre meilleur film
Bonjour à tous,
Concernant les téléfilms, j'aime bien le film avec Christophe Malavoy intitulé "Ceux qui aiment ne meurent jamais" sur l'agonie d'un officier en 1915. Malavoy y retrace l'histoire de son grand-père tué en 15.
Extrait d'une critique :
20 H 40 arte téléfilm
Le grand-père de Christophe Malavoy
Le 6 mars 1915, André, un officier français tombe sur le front champenois. Il agonisera pendant huit jours dans un hôpital de campagne, sans revoir sa femme qui attend un enfant. Ce lieutenant, c’est le grand-père de Christophe Malavoy. Le comédien lui avait déjà rendu hommage dans un roman, Parmi tant d’autres, qu’il porte ici à l’écran. « Après le livre, j’ai reçu un courrier abondant et émouvant. Beaucoup de gens se sont retrouvés dans mon récit », se souvient-il. Pour les besoins du film, intitulé Ceux qui aiment ne meurent jamais, l’histoire est vue à travers le petit Albert (Vladimir Volkov, 8 ans et demi, épatant), né après la mort d’André (Christophe Malavoy, impeccable). Le garçonnet revit la souffrance de ce père et s’en prend à Dieu avec une violence toute enfantine. Plus qu’un énième film sur la Grande Guerre, c’est une interrogation sur la transmission de la mémoire familiale. Malavoy fait des aller-retour incessants entre passé, présent et futur, au risque de dérouter le téléspectateur. C’est la seule difficulté pour entrer dans ce film touchant, personnel et universel à la fois. L. T.
Bien à vous
Vincent
Concernant les téléfilms, j'aime bien le film avec Christophe Malavoy intitulé "Ceux qui aiment ne meurent jamais" sur l'agonie d'un officier en 1915. Malavoy y retrace l'histoire de son grand-père tué en 15.
Extrait d'une critique :
20 H 40 arte téléfilm
Le grand-père de Christophe Malavoy
Le 6 mars 1915, André, un officier français tombe sur le front champenois. Il agonisera pendant huit jours dans un hôpital de campagne, sans revoir sa femme qui attend un enfant. Ce lieutenant, c’est le grand-père de Christophe Malavoy. Le comédien lui avait déjà rendu hommage dans un roman, Parmi tant d’autres, qu’il porte ici à l’écran. « Après le livre, j’ai reçu un courrier abondant et émouvant. Beaucoup de gens se sont retrouvés dans mon récit », se souvient-il. Pour les besoins du film, intitulé Ceux qui aiment ne meurent jamais, l’histoire est vue à travers le petit Albert (Vladimir Volkov, 8 ans et demi, épatant), né après la mort d’André (Christophe Malavoy, impeccable). Le garçonnet revit la souffrance de ce père et s’en prend à Dieu avec une violence toute enfantine. Plus qu’un énième film sur la Grande Guerre, c’est une interrogation sur la transmission de la mémoire familiale. Malavoy fait des aller-retour incessants entre passé, présent et futur, au risque de dérouter le téléspectateur. C’est la seule difficulté pour entrer dans ce film touchant, personnel et universel à la fois. L. T.
Bien à vous
Vincent
Site Internet : Adolphe Orange du 28e RI http://vlecalvez.free.fr
En ce moment : le 28e RI à Sissonne en octobre 1918 http://vlecalvez.free.fr/nouveaute.html
En ce moment : le 28e RI à Sissonne en octobre 1918 http://vlecalvez.free.fr/nouveaute.html
Re: votre meilleur film
Bonjour à tous,
A ceux déjà cités et tous appréciés (sauf "J'accuse" d'Abel Gance que je n'ai pas vu, à mon grand regret), j'ajoute "la Grande Illusion" de Renoir.
Bien cordialement,
Franck
PS. Ah, j'oubliais, et bien sûr l'ineffable "Fly Boys"
. Meuh non, j'rigole
A ceux déjà cités et tous appréciés (sauf "J'accuse" d'Abel Gance que je n'ai pas vu, à mon grand regret), j'ajoute "la Grande Illusion" de Renoir.
Bien cordialement,
Franck
PS. Ah, j'oubliais, et bien sûr l'ineffable "Fly Boys"
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Re: votre meilleur film
Bonjour,
deux films:
La vie et rien d'autre de Tavernier
Et un télèfilm à petit budget qui m'a boulversé "La dette"
Cordialement
Yann
deux films:
La vie et rien d'autre de Tavernier
Et un télèfilm à petit budget qui m'a boulversé "La dette"
Cordialement
Yann
THOMAS
Re: votre meilleur film
Bonsoir,
Un chef-d'oeuvre : Johnny's got his gun ... ou l'acharnement thérapeutique pour maintenir un bout de tronc humain avec sa tête.
Une sacrée gifle !
Les Hommes contre. Magnifique film sur l'Italie en guerre et le sentiment de révolte qui s'accroît .
Cordialement,
Ferns
Un chef-d'oeuvre : Johnny's got his gun ... ou l'acharnement thérapeutique pour maintenir un bout de tronc humain avec sa tête.
Une sacrée gifle !
Les Hommes contre. Magnifique film sur l'Italie en guerre et le sentiment de révolte qui s'accroît .
Cordialement,
Ferns
L'homme en campagne a les mêmes besoins qu'en temps de paix ; ces besoins deviennent même plus impérieux, étant exacerbés par une existence plus active et plus énervante.(Henry Mustière)
Re: votre meilleur film
Oui, "Les sentiers de la gloire"( qu'on n'a pu voir en France qu'en 1975 alors qu'il avait été tourné en 57 - le quai d'Orsay avait demandé à Washington de faire pression sur le distributeur pour que le film ne soit pas distribué) et " Johnny got his gun" de Dalton Trumbo ( interdit de studios pour avoir refusé de dénoncer devant la commission des activités anti-américaines de Mc Carthy).
Marie-Hélène
Re: votre meilleur film
Euh bon je sais c'est plus récent, mais je citerai
Joyeux Noël
la chambre des officiers
Et là vais essayer de voir flyboys, mais bon je sais pas ce que ça vaut
Quand aux autres, vais essayer de me dégotter ça vite fait
Joyeux Noël
la chambre des officiers
Et là vais essayer de voir flyboys, mais bon je sais pas ce que ça vaut
Quand aux autres, vais essayer de me dégotter ça vite fait
