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Bonjour,
désolé de rebondir tardivement sur le sujet.....
1) Impérativement, il faut connaître la date de naissance du soldat
alors
2) si celui-ci est né avant 1889, son dossier se trouve au Cedoc au MRA de Bruxelles. On peut le consulter et le reproduire.
3) si ce soldat est né après 1889, son dossier se trouve à Evere Quartier Elisabeth, bloc 6C. L'adjudant chef qui gère ce service envoit les dossiers demandés par mail dans un délai de 4 à 6 semaines. Il suffit de le contacter via email.
Par contre pour le cedoc, ce service ne donne pas de suite email mais en téléphonant, ils peuvent dire si le dossier est dans les archives. il faut malheureusement aller le consulter sur place.
Ma réponse est un peu brouillon mais n'oublions pas que l'on sort d'une fête
Cordialement
lignard belge.
Bonjour camarade Lignard
aurais-tu par hasard l'adresse mail de cet AdjtChef?
grand merci et salutations
Boro
[:rio jean-yves:1]
Bonjour à tous les deux, et aux autres également...
Grandchamps, faut-il diluer le brouet ou bien est-il suffisamment assimilable?

J'ai l'historique du 12ème de ligne pour 14-18, auteur Colonel bem Massart, on peut le commander sur le site de l'amicale du 12ème de ligne à Spa. Beaucoup de cartes et de plans d'attaque, de photos et les listes des décès durant la campagne. Une brique! Une bible! Malheureusement, la reliure (collage) ne résiste pas à la première lecture.
Mais qu'importe, c'est le contenu qui compte. Pour le 11ème, je l'ai consulté à Bruxelles.
Voici un autre cas de mutilation mais jamais rien pu prouver!)
pour Boro, je me demande si c'est l'homme de l'Escaut qui se cache sous ce pseudo et me demande ce renseignement. Je le donnerai en MP car je n'aime pas mettre sur la toile une adresse d'une tierce personne.
"Si c'ê vos, dji pinse ky vos comprindroz li poqwê, adon.... à puss[/i]"
Cordialement
lignard belge
Pour Grandchamps, un cas de mutilation
« Il portait ainsi en lui le nom de quelques camarades, laissés dans les petits cimetières de Champagne ou de l’Aisne, ou bien entre les lignes, sur la terre à personne, » Roland Dorgelès