Le 118e RIT., les découvertes du chamois et les devineresses

[Jean-Claude Poncet]

Bonjour,
Hé oui, j’ai suspendu les éditions du blog consacré au 118e territorial. Vous pouvez toutefois le consulter afin d’y trouver mes motivations et mon projet de redémarrage le 1er ou le 2 août 2005. D’une part cela me laissera le temps de préparer sérieusement des documents pour l’année 1914 et d’autre part nous serons dans le temps anniversaire ; c’est important pour être en phase avec le rythme des saisons, des cycles, etc.
Il faut commencer par le commencement disait mon grand-père qui s’y connaissait en matière de préliminaires.
Vous serez en effet très étonnés de l’énergie avec laquelle le lieutenant-colonel Nanta prend en main son régiment qui bien que territorial deviendra un très beau régiment, quasiment toujours en ligne, avec des hommes aux tranchées et d’autres aux travaux de défense. Vous pourrez aussi noter combien la panique avait dû gagner en haut lieu puisque le 118e est monté à Dijon pour organiser le camp retranché.
Afin de vous être agréable, j’ai créé un nouveau blog:
http://chamois.canalblog.com/
J’ai l’intention d’y déposer des textes et images qui auront retenu mon attention et de vous les faire partager.
Ainsi dès maintenant, pour illustrer l’intervention très intéressante du forum à propos des voyantes et devineresses, j’ai déposé l’ensemble des documents concernant une affaire bien épouvantable quand on songe à la détresse des mères, sœurs, épouses, fiancées de mobilisés, certes, mais surtout de combattants. Ce genre de documents assez volumineux, mérite d'être en consultation sur le long terme, car pour les forums - par ailleurs indispensables - , ne pas se faire d'illusions sur la durée.
Eh oui, voici une profession presque exclusivement féminine chez nous à l’époque qui s’est quelque peu masculinisée, nous avons maintenant des marabouts et des voyants. Toutefois, dans nos campagnes il existait aussi des devins.
Cordialement.
JCP.

[olivier gaget]

Bonjour Jean-Claude,

Vivement le 2 août 2005 !

Bon courage pour la suite

amicalement,
Olivier