Nous ne sommes plus dans de l'artisanat de tranchée, mais de la création pur et simple de "souvenirs de guerre".
La question que l'on doit de poser ici, a t-il été fait par un ancien combattant ou par un "fabricant" d'artisanat de tranchée comme il en existe encore beaucoup de nos jours.
On peut également se poser la question sur les chandeliers de notre ami, il faudrait prendre le diamètre de l'obus, mais j'y vois bien un 80 mm.
De toute façon, il ne s'agit pas d'artisanat de tranchée, en temps de guerre, même sur les arrières, réussir à ramener un obus de 80, trois fusées percutantes système Budin, 1 fusée à double effet, cela relève du miracle sans parler de monter l'ensemble.
Cordialement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
Bonjour,
Artisanat de tranchées, oui mais beaucoup de ces "tels que bague, briquets, réalisés à partir de douilles", ont été faits par des soldats invalides, malades, handicapés, pendant et après la guerre... Sans oublier, pour les bagues, les bijouteries, comme celle de Sims et Mayer qui avait des magasins à Paris et Berlin... suivant une publicité parue dans l'Illustration...
J. Claude
la vérité appartient à ceux qui la recherchent et non à ceux qui croient la détenir.
Y a t-il des tenons à la base ou une trace de ceux-ci ?
Cdlt
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
Je me suis mal exprimé : je parlais de la petit baïonnette surmontant un support encadré de deux 7,92 mauser. Comme si elle était destiné à supporter quelque chose : collier, chapelet, que sais-je !
Pour les 75 à balles, je crois que je sais les reconnaitre...
Sur l'ogive : lot numéro 12 (LN 12). 09 est le n° de l'ogive dans le lot.
Sur le culot figurent les poinçons de contrôle ; il devrait y avoir à 2 cm au-dessus de la ceinture d'autres caractères indiquant l'établissement usineur et la date.
Monte-au-Créneau, point de marquages sur le culot ?
le projectile de 37 mm est un boulet, en acier plein.