75 DEC = 75 de camapgne;
16 R = fabriquée en 1916; Fournisseur du laiton = Tréfileries et Laminoirs du Havre, Usine de Rugles;
Ce qui n'est pas visible, mais qui le sera après un bon nettoyage, c'est :
Juste avant le 16, le numéro du lot et le fabricant de la douille indentifié par un monogramme.
Vous pourrez également trouver des petites lettres barrées ou non par une croix ou un "X" selon la position, ce sont les marques, non pas de rechargement, mais les monogrammes des ateliers qui ont effectués des réparations sur la douille.
Après un bon nettoyage au "Mirror", vous devriez y voir plus clair !
Cordialement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
Ca y est j ai nettoye avec du mirror. Ca a rien fait mais je crois que ce n est pas le bon produit.....
il y a inscrit
75dec
PDP1055L 16 R
jesuis suis vraiment pas sure des inscription.
la douille est bien oxydee.
Bonjour
Essayez le jus de citron - frais pur, [strike]bio[/strike] -, mais éviter le contact avec le fer pendant le nettoyage (pas de paille de fer), le cuivre (rouge) a tendance à ressortir. Sans oublier l'huile de coude. Quant à la forme, artisanalement voulue, pour en faire un ... vide-poche , cendrier, cache-pot ...
Mirror ensuite, après rinçage à l'eau savonneuse, il dépose une couche protectrice.
Cordialement
Alain
Vous dire que cela se voit fréquemment, lorsque l'on parle de douille travaillée, je vous répondrai que oui.
Maintenant, effectivement, la forme est originale et peu courante.
A quoi était elle destinée ? Impossible de le savoir, mise à part, le supposer.
Pour les marquages, voilà la suite :
PDP, vous avez dû oublier le petit "s" = c'est donc le fabricant de la douille, à savoir "Pinchard Denys à Paris".
1055L = 1055ème lot.
Vous avez là un bel objet qui pourra vous servir tout en rappelant que !
Cordialement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.