Petite précision, s'il s'agit d'un objet pris sur le vif, sans manipulation aucune, etc., bien entendu.
Cordialement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
Sérieusement, j’espère que vous n’avez pas touché à cette merde ! Je sais, vous avez des copains qui ont…Il y en a dans les cimetières
Ce n’est pas faute de le dire !
Sans réponse de votre part, sur la manipulation, je ferme le sujet
Cordialement
Gilles ROLAND Modérateur
-Ca sent le macchab, dit Le Moal. -J’te crois, y en a plein par ici. Jean Berthaud « 1915 sur les Hauts-de Meuse en Champagne » VESTIGES.1914.1918 MAJ le 10 novembre 2015
Bon je suis au courant de risques. Tournee ce truc c'etait important pour permettre mieux l'identifier, car il ne ressemble a rien ce que je connais.
Apres l'avoir retournee jai la laisse sur place bien sure et recouvert le trous par une enorme buche, en attendant vos reponce.
Mon but c'est juste de decouvrire ce que c'est et si il le faut j'appel les demineurs/
Les mines anti-chars WW2 avaient une enveloppe en tôle assez fine (sauf exception, mines indétectables en bois, verre ou matière plastique). Ce qu'on peu voir sur l'image semble être une pièce en acier plein, lourd. En plus cet objet ne ressemble à aucune mine courante.
Quand on a un doute sur ce genre d'objet il est prudent de ne pas toucher du tout ; le simple fait de la bouger ou de la retourner peut vous coûter la vie (s'il s'agit d'une vraie mine). Les allumeurs de mine anti-chars n'étaient pas très sensibles (il fallait un certain poids pour les déclencher) donc le risque est assez limité si on ne démonte pas ; par contre un grand nombre de mines (je pense aux Tellermine) disposaient d'alvéoles de piégeage d'origine !!! Cela ne veut pas dire qu'elle étaient toutes piégées mais il était très simple pour le poseur de visser un allumeur sur le côté ou dessous pour tuer celui qui aurait eu l'idée de l'enlever.
Concernant les mines anti-personnel, il faut être encore plus méfiant car non seulement elles pouvaient être piégées mais les allumeurs étaient extrêmement sensibles.
En conclusion : on ne touche pas à tout ce qui peut ressembler à une mine, même pour faire une photo.
En conclusion : on ne touche pas à tout ce qui peut ressembler à une mine, même pour faire une photo.
Je dirai plutot qu'on ne touche pas a tout ce que l'on ne connais pas et qui est apparenté a de l'explosifs.... Si meme des démineurs arrivent a faire des erreurs qui leurs sont fatales, je vous laisse imaginer le néophyte... Ce n'est pas parce que l'on est passionné et que l'on sait identifier un obus ou autre que l'on sait le manipuler!!!!!
Prudence....
Recherche tout objets ou photos du 8éme RI, 33 RI, 162éme de Ligne en 1914-15, et le 11éme esc du train de 16 à 18; Recherche également Photos et objets du front de l'Artois; Merci.
En ce qui concerne des objets inconnus, la question ne se pose même pas, on ne touche pas, la pelle ici, est déjà de trop.
Pour ce qui est des mines, le domaine est assez vaste et bien entendu des modèles en pagaille.
Si "l'on sait" que l'allumeur est prévu à une certaine pression, exemple la tellermine 42 qui est prévu de 125 à 200 kg.
Certaines mines antichar allemandes en aluminium, prévoyaient également une pression par les côtés, qui correspondait à 60 kg.
Certaines mines étaient mixtes, antipersonnel et antichar, d'autres possédaient un système anti retournement, etc.
Donc même si la tentation est grande, on ne touche pas.
Vous affirmez que vous connaissez les risques, alors c'est encore plus grave, ce qui prouve bien qu'après de nombreux accidents, cela ne sert toujours pas de leçon.
Le "ça n'arrive qu'aux autres" est très populaire en France.
Ceci dit, si vous persistez dans votre comportement sur le terrain, un jour, il y aura un............ en espérant qu'il n'y aura personne autours de vous.
Slts
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
Objet certainement de la seconde guerre, donc rien à faire ici.
Je ferme le sujet.
Cordialement
Gilles ROLAND Modérateur
-Ca sent le macchab, dit Le Moal. -J’te crois, y en a plein par ici. Jean Berthaud « 1915 sur les Hauts-de Meuse en Champagne » VESTIGES.1914.1918 MAJ le 10 novembre 2015