Voila , je ne suis pas certain devant la durté du conflit que de tel evenements aient pu etre pris en compte ,mais..
En septembre 1916 ,l'escadron de mon grand pére est sur la Somme avec le 5é CA; or, le 26 septembre 1916 mon arriére grand pére decede dans son village jurassien.
Partant (comme souvent) du parcours de mon aieul ,une question plus large me vient a l'esprit . Un texte ,malgrés le conflit ,regissait il des permisssions speciales pour les soldats en cas de dece d'un proche (en l'occurance d'un pére ) ou pour la naissances d'enfants , un mariage..? Ou la gravité et la durté du conflit fit que ces evenements personnels n'etaient plus ou pas pris en compte.
Si le coté "sentimental" n'etait peut etre pas vecu de la même maniére a l'epoque ,car la vie etait sans doute d'une durté incomparable avec notre doux confort , reste les demarches administratives la reconnaissance des enfants,les reglements d'heritages (la terre s'etait tout dans notre France rurale d'alors) ....Si nos soldats ne pouvait se deplacer (vous allez sans doute me trouver bien pessimiste) combien ont du se faire arnaquer par des notaires vereux ( a l'epoque bien sur ...

Au passage une petite pensée pour toutes ces jeunes filles qui trop heureuses de serrer contre elles leurs futurs maris permissionnaires, ont accouchés dans la honte (epoque oblige

Cordialement
Richard