Bonjour,
Dans son livre le Grand-Couronné de Nancy, le général Colin, à propos de l'attaque du Rambêtant, le 23 août 1914, note : "Histoire d'un régiment de réserve du Berry ( Souvenirs du lieutenant de réserve Jean de Tarlé, du 290e R.I. )
Quelqu'un aurait-il connaissance de ce livre ou de ce document ?
Par avance merci.
Cordialement.
J.DIDIER
Attaque du Rambêtant, le 23 août 1914
- jacques didier
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- Bruno BARRIER
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Re: Attaque du Rambêtant, le 23 août 1914
Bonjour Jacques,
Une petite contribution qui ne répond pas forcément à la question car je n’ai pas connaissance de ce livre.
Officier de réserve, Jean de Tarlé s'est fait affecter au 290ème Régiment d'Infanterie, à Châteauroux, d'où il partit en 1914 comme Lieutenant porte drapeau. Il participa aux batailles du Grand couronné, de Nancy, du Rembêtant, de la Marne, d'Ypres.
Grièvement blessé à la jambe droite, au cours d'une reconnaissance entre les lignes, il resta deux heures sans pouvoir être secouru ; il fût sauvé par le froid et la neige qui coagula son sang. Il retourna deux fois au front avant d'être déclaré inapte pour les 5 opérations de sa jambe entre 1914 et 1916. Il était Capitaine depuis 1915. Il commanda à partir de 1917 divers dépôts « d'éclopés ».
De plus Jean est le frère de Paulin de Tarlé, CNE du 5e GCC à la suite de la mort du CNE Ribaillier le 26.08.1914 à Séranvillers (Nord).
Cordialement,
Bruno
Une petite contribution qui ne répond pas forcément à la question car je n’ai pas connaissance de ce livre.
Officier de réserve, Jean de Tarlé s'est fait affecter au 290ème Régiment d'Infanterie, à Châteauroux, d'où il partit en 1914 comme Lieutenant porte drapeau. Il participa aux batailles du Grand couronné, de Nancy, du Rembêtant, de la Marne, d'Ypres.
Grièvement blessé à la jambe droite, au cours d'une reconnaissance entre les lignes, il resta deux heures sans pouvoir être secouru ; il fût sauvé par le froid et la neige qui coagula son sang. Il retourna deux fois au front avant d'être déclaré inapte pour les 5 opérations de sa jambe entre 1914 et 1916. Il était Capitaine depuis 1915. Il commanda à partir de 1917 divers dépôts « d'éclopés ».
De plus Jean est le frère de Paulin de Tarlé, CNE du 5e GCC à la suite de la mort du CNE Ribaillier le 26.08.1914 à Séranvillers (Nord).
Cordialement,
Bruno
Re: Attaque du Rambêtant, le 23 août 1914
Bonjour Jacques
Sauf erreur de ma part (erreur que je serais bien heureux de commetre vu que le suget me passionne ) le général Colin n'a écrit que deux livres :
La division de fer
Les gars du 26e
Dans ces deux livres il est fait mention des combats du 23 aout 1914 sur le Rambêtant mais aucune trace de :
"Histoire d'un régiment de réserve du Berry ( Souvenirs du lieutenant de réserve Jean de Tarlé, du 290e R.I. )
Je n'ai rien lu à ce suget??? idem dans l'historique du 69e R.I
Je sais que je ne vous aide pas beaucoup... avez vous d'autres sources ?
amicalement
Wagram du 69e R.I
Sauf erreur de ma part (erreur que je serais bien heureux de commetre vu que le suget me passionne ) le général Colin n'a écrit que deux livres :
La division de fer
Les gars du 26e
Dans ces deux livres il est fait mention des combats du 23 aout 1914 sur le Rambêtant mais aucune trace de :
"Histoire d'un régiment de réserve du Berry ( Souvenirs du lieutenant de réserve Jean de Tarlé, du 290e R.I. )
Je n'ai rien lu à ce suget??? idem dans l'historique du 69e R.I
Je sais que je ne vous aide pas beaucoup... avez vous d'autres sources ?
amicalement
Wagram du 69e R.I
TOUT POUR LE 69e REGIMENT D INFANTERIE
Re: Attaque du Rambêtant, le 23 août 1914
Bonsoir,"Histoire d'un régiment de réserve du Berry ( Souvenirs du lieutenant de réserve Jean de Tarlé, du 290e R.I. )
Quelqu'un aurait-il connaissance de ce livre ?
Voici ce que j'ai trouvé:
Histoire d'un régiment de réserve du Berry . 290e Régiment d'Infanterie . 1914-1918
Eggenspieler ( Colonel )
Libraire: okmhistoire (montrouge, 92, France)
Prix: EUR 200.00
Description du livre: Bourdier, 1932. Couverture souple. État : Très bon. 1ère Édition. Paris 1932. 1 volume/1. Broché , format in-8°( 25,1 x 16, 5 cm )( 994 gr ). 561 pages et 6 planches photos hors-texte + 1 carte double page . Très bon exemplaire.
Amicalement,
Astrid
- Charraud Jerome
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Re: Attaque du Rambêtant, le 23 août 1914
BonsoirHistoire d'un régiment de réserve du Berry . 290e Régiment d'Infanterie . 1914-1918
Eggenspieler ( Colonel )
Libraire: okmhistoire (montrouge, 92, France)
Prix: EUR 200.00
Description du livre: Bourdier, 1932. Couverture souple. État : Très bon. 1ère Édition. Paris 1932. 1 volume/1. Broché , format in-8°( 25,1 x 16, 5 cm )( 994 gr ). 561 pages et 6 planches photos hors-texte + 1 carte double page . Très bon exemplaire.
Effectivement, il s'agit bien de l'historique du 290e RI par le colonel Eggenspieler.
En réalité, il s'agit de la version soft et commentée du JMO.

Pour vous éviter de payer 200€, voici donc la journée du 23 aout:
23 Août 1914.
La mission de tenir s'appliquait surtout à la Brigade de réserve (268e, 290e ) renforcée du 43e Colonial, qui ne comptait plus guère qu'un millier d'hommes. Pour ne pas exposer inutilement l'infanterie aux tirs de bombardement de l'ennemi, on ne devait garnir les tranchées de défense qu'avec un minimum de troupes, le gros se tenant abrité plus en arrière.
Pour défendre le Rambétant, le Colonel commandant le 290e disposait de :
6 compagnies de son régiment ;
de ses 2 sections de mitrailleuses ;
du 43e R.I.C. ;
de 2 batteries de 75 ;
2 compagnies du régiment étaient à la disposition de la brigade.
Le Colonel Hirtzmann a disposé ses troupes de la façon suivante :
1 compagnie dans les fermes de Saint-Louis et de Trémolo ;
3 compagnies dans les tranchées avec 1 section de mitrailleuses ;
2 compagnies en réserve dans une position abritée.
A 8 heures, l'artillerie lourde allemande ouvrit brusquement un feu violent et bien ajusté sur le Rambétant. Ce feu semblait provenir de la direction du Nord-Est, entre Maisse et Dronville. Ce tir fut renforcé ensuite de celui de l'artillerie de campagne en position à l'Ouest du Bois de Crévic.
Les deux batteries de 75 appuyées par l'artillerie lourde de la rive gauche de la Meurthe répondirent vigoureusement.
Les troupes, bien abritées dans leurs tranchées, souffrirent peu du tir de préparation allemand.
Vers 9 h. 30 l'artillerie allemande cessa son tir. Presque aussitôt l'infanterie dont la force peut être évaluée à deux ou trois bataillons, déboucha de Sommerviller et des hauteurs au Nord de cette localité. Cette infanterie ouvrit un feu violent de mousqueterie sur le Rambétant. Des fractions couvertes par les vergers se glissèrent par la vallée du Sanon vers Dombasles et Varangéville. C'était l'esquisse d'un mouvement débordant, et même tournant sur notre aile droite. Ce mouvement pouvait compromettre la position du régiment.
Les feux de mousqueterie et de mitrailleuses qui partaient des tranchées du 290e arrêtèrent net les fractions allemandes qui étaient arrivées, à leur portée.
Les batteries qui tiraient pour le régiment, en position sur le haut du Rambétant, n'ayant pas de vues sur le fond de la vallée par où arrivèrent les Allemands, se retirèrent successivement.
Vers 15 heures, un bataillon du 212e reçut l'ordre de se porter sur Dombasles et d'en chasser l'ennemi.
Une section de la 22e du 290e chargée de la défense du pont du canal entre Varangéville et Dombasles, a dû se retirer devant les forces supérieures des Allemands.
Vers 15 h 30, le Colonel prescrivit à deux compagnies de sa réserve (une du 290e et une du 43e R.I.C.) de prononcer une contre-attaque vigoureuse contre les Allemands qui continuèrent le mouvement débordant par le Sud. Les deux compagnies se jetèrent brusquement dans le flanc des Allemands, attaqués déjà de front par le 212e. Ils furent refoulés dans la partie Est de Dombasle où s'engagea un violent combat de rues.
Vers 16 h 30 les Allemands se retirèrent en désordre. fusillés dans leur retraite par l'infanterie et les mitrailleuses du 290e. C'est à ce moment qu'ils subirent les plus grosses pertes. Elles étaient bien plus élevées qu'on ne l'avait cru tout d'abord.
Aux abords de Dombasles, Varangéville et Sommerviller, on a enterré 130 morts, et recueilli une quarantaine de blessés. Les Allemands de leur côté avaient emmenés un grand nombre de leurs blessés.
Le commandant de la compagnie qui occupait les fermes de Saint-Louis et de Trémolo avait trouvé en avant des fermes une dizaine de tués et une vingtaine de blessés, qui avaient surtout été atteints par notre artillerie.
On peut admettre que les Allemands dans leur attaque du Rambétant avaient perdu de 5 à 600 hommes. Ils ont laissé une vingtaine de prisonniers non blessés, dont un officier, entre les mains du régiment.
L'infanterie allemande qui a prononcé l'attaque était de la Landwehr. On a relevé sur les morts les numéros de quatre régiments différents.
Les pertes du 290e étaient de 13 tués et 50 blessés. Parmi les tués il y avait le capitaine Rouvière et le sergent de Verneuil, frère de l'officier du même nom du régiment.
On reproduit ci-après des observations très intéressantes, faites par le Lieutenant Sohier au cours de ce premier combat du régiment.
Le Lieutenant se rendit dès le matin sur le plateau pour voir l'aspect de la position. Quelle ne fut pas sa stupeur de voir les hommes un peu partout en bras de chemise vaquer à découvert à leurs petites affaires. Ils avaient déjà oublié le bombardement de la veille. Aussi, quand le tir de préparation allemand se déclencha vers 8 heures, étaient-ils visiblement surpris, par le nombre et le calibre des obus qui tombèrent sur la position. Ils coururent aux armes, et prirent leurs positions de combat. Quoiqu'ils eussent fait vite, il y eut des victimes.
Du poste d'observation qu'il avait choisi, le Lieutenant Sohier vit la compagnie Berruyer (17e) déployée en tirailleurs dans un champ de céréales. Pendant ce temps le colonel s'impatientait. Il attendait des nouvelles de ses postes avancés, mais rien n'arrivait. Il envoya en conséquence le Lieutenant Sohier aux renseignements. Celui-ci passa d'abord près des batteries de 75. Elles étaient bien masquées et ne souffraient pas des tirs allemands. La section de soutien était indemne aussi. Les hommes cassaient tranquillement la croûte. Le Lieutenant courut ensuite aux tranchées de première ligne. Assailli en cours de route par un essaim d'abeilles invisibles et bien fourni, il se plaqua derrière une motte de terre. Un petit troupier qui regagnait sa compagnie fit comme lui. La rafale ne cessant pas, le Lieutenant reprit sa course, le petit troupier aussi.
Les agents de liaison de leur côté parcoururent le plateau balayé par les balles. Seul un maréchal des logis de cuirassiers (Charbonneau), adjoint au Commandant Vallois circulait crânement, droit sur son cheval. Deux hussards (Pothet et Galisson) observaient attentivement les mouvements de l'artillerie ennemie. Ils étaient tellement absorbés par ce qu'ils voyaient qu'ils faillirent être enlevés par l'infanterie allemande. Ils ne durent leur salut qu'à la vitesse de leurs chevaux, et au tir désordonné des Allemands.
A un moment donné, la 19e, prise d'enfilade et à revers dans une tranchée avancée, l'avait évacuée. Le Lieutenant Sohier lui porta l'ordre de la réoccuper. Mais des réseaux Brun inextricables l'empêchèrent d'aller jusqu'au bout. Il se dressa sur la pointe des pieds et de toutes ses forces il cria leur mission aux deux officiers de la compagnie. Il vit qu'un petit conciliabule eut lieu entre le commandant de la compagnie (de Lavarène) et son Lieutenant (Douay). Puis, il vit les hommes se précipiter en avant sous une rafale de balles, et réoccuper la tranchée avancée.
Au retour, le Lieutenant Sohier constata le départ des batteries. Il rejoignit le Colonel au pied du Crassier où il était en discussion avec les officiers du 43e R.I.C.
Le Capitaine Rouvière ayant été tué, le Lieutenant Sohier fut dépêché au Commandant Vallois pour lui faire connaître les ordres dont son adjoint était porteur. Atteindre le Commandant Vallois n'était pas commode. Il n'y avait ni boyaux, ni cheminements. Après bien des péripéties, Sohier finit par dégringoler dans une tranchée où il trouva le Commandant Vallois très en forme, fier de ses hommes, réalisant le rêve de sa vie : la guerre de revanche.
De retour de sa mission, le Lieutenant Sohier trouva le Colonel préoccupé. Le mouvement débordant des Allemands l'inquiétait. Ils étaient dans Dombasles. Il était grand temps de les en sortir. C'est alors que fut ordonnée la contre-attaque mentionnée plus haut. La compagnie du 290e était la 22e (Lieutenants de Priaulx, Duval et Pluven). Elle ramena comme prise, un caisson de munitions de mitrailleuses, attelé de six chevaux.
En résumé, quatre compagnies du 290e avaient tenu tête à une attaque montée par des troupes allemandes de quatre régiments différents. La mission de conserver les positions et le pont de Varangéville a été remplie avec vigueur. Les camarades du 20e C.A. étaient tranquilles. Ils ont pu se réorganiser en toute sécurité.
Si le régiment a pu conserver le pont de Varangéville intact, ce fut aussi grâce au stratagème du Lieutenant Voisin, adjoint au chef du 6e bataillon.
Aux approches de l'après-midi, les grands Chefs n'ont pas dû être rassurés sur la solidité de la résistance du 290e, qui n'était après tout qu'un régiment de réserve. Aussi le régiment reçut-il l'ordre de faire sauter le pont de Varangéville à14 heures. C'était le Lieutenant Voisin qui était chargé de cette destruction. Etant sur place, il se rendait mieux compte des événements que les grands Chefs qui étaient au loin. A 13 h.50 son travail de démolition était prêt. Il se demanda quel effet l'explosion allait produire sur la troupe qui était en avant. Il pensa que quand il verrait les Allemands il serait encore temps de faire partir sa charge. Pourtant il y avait, aussi l'ordre. Heureusement que d'après un vieil adage militaire, à tout ordre peut correspondre un contrordre. Qui n'en a pas vérifié l'exactitude pendant la guerre ? Justement, il eût fallu un contrordre en ce moment. Le Lieutenant Voisin pour lui donner le temps d'arriver recula froidement les aiguilles de sa montre d'une heure. Et voilà que le contrordre arriva après 14 heures. Mais grâce au subterfuge du Lieutenant Voisin le pont était sauvé !
Au cours de la nuit, vers minuit, une fusillade terrible éclata en première ligne. Le Lieutenant Sohier demanda des renseignements au Lieutenant mitrailleur Carré qui se trouvait dans la direction où se produisait le tir. Au bout de quelques instants il était rendu compte que des Allemands, des cavaliers, des uhlans naturellement, s'étaient empêtrés dans nos fils de fer. Au bout d'un certain temps de ce tir intempestif, les officiers s'efforcèrent de le faire cesser. Ce fut très difficile. Finalement, ils y parvinrent et tout rentra dans le calme. Au jour, on se mit à la recherche des fameux uhlans. Peine superflue, les uhlans s'étaient métamorphosés en une jument et un poulain qui, échappés de la ferme de Saint-Louis, passaient tranquillement dans un champ. Fait le plus curieux, de toute la fusillade, ils n'avaient pas récolté le moindre projectile.
Concernant le capitaine de Tarlé, voici le récit de sa blessure sur mon blog: http://indre1418.canalblog.com/archives ... 65567.html
Cordialement
Jérôme Charraud
Les 68, 90, 268 et 290e RI dans la GG
Les soldats de l'Indre tombés pendant la GG
"" Avançons, gais lurons, garnements, de notre vieux régiment."

Les soldats de l'Indre tombés pendant la GG
"" Avançons, gais lurons, garnements, de notre vieux régiment."

- olivier gaget
- Messages : 867
- Inscription : dim. oct. 17, 2004 2:00 am
- Localisation : Nice
- Contact :
Re: Attaque du Rambêtant, le 23 août 1914
Bonsoir à tous,
tiens, je suis ravi de t'annoncer que tu t'es trompé !

Amicalement,
Olivier
Salut Patrice,Sauf erreur de ma part (erreur que je serais bien heureux de commettre vu que le sujet me passionne) le général Colin n'a écrit que deux livres : La division de Fer et Les gars du 26e
tiens, je suis ravi de t'annoncer que tu t'es trompé !

Amicalement,
Olivier
- jacques didier
- Messages : 379
- Inscription : mar. oct. 31, 2006 1:00 am
Re: Attaque du Rambêtant, le 23 août 1914
Bonjour,
Merci à tous pour ces précieux renseignements.
Le général H. COLIN est l'auteur de 6 ouvrages dont:
Le Grand-Couronné de Nancy 1914; préfacé par le général de Castelnau. Payot 1936.
Il traite principalement de la Bataille du Grand-Couronné, depuis le 23 août au 12 septembre, où interviennent les régiments de réserve en plus du 20e corps.
Cordialement.
J.DIDIER
Merci à tous pour ces précieux renseignements.
Le général H. COLIN est l'auteur de 6 ouvrages dont:
Le Grand-Couronné de Nancy 1914; préfacé par le général de Castelnau. Payot 1936.
Il traite principalement de la Bataille du Grand-Couronné, depuis le 23 août au 12 septembre, où interviennent les régiments de réserve en plus du 20e corps.
Cordialement.
J.DIDIER
Re: Attaque du Rambêtant, le 23 août 1914
Salut Olivier Bonjour Jacques
Y SON TRO FOR ces sudistes du 15eme !!
Merci pour les infos je vais tacher de les trouver sur le net, surtout celui traitant du Grand Couronné
Amicalement
Wagram
Y SON TRO FOR ces sudistes du 15eme !!
Merci pour les infos je vais tacher de les trouver sur le net, surtout celui traitant du Grand Couronné
Amicalement
Wagram
TOUT POUR LE 69e REGIMENT D INFANTERIE