L'INCENDIE DE LA CATHEDRALE DE REIMS VU PAR ...

[Achache]

Bonsoir,

Pour les rémois et autres marnais, ainsi que pour les amateurs du 327e RI, ainsi que pour tous les autres..., je signale ces pages qui ne manqueront pas de les intéresser:

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5 ... ery.langFR

Bien à vous,

[:achache:1]

[Alain Dubois-Choulik]

Bonsoir
Merci pour ce lien, et son auteur (André Mabille de Poncheville) bien connu, pas seulement à Valenciennes. (Voir ici, pour faire au plus simple)
Cordialement
Alain

[Achache]

Re...

Merci, Alain,pour le lien vers l'auteur !
Honte à moi! je n'avais pas fait le rapport avec celui dont j'ai, probablement, au moins un livre, dans mon "tas" concernant Péguy !

Bien à vous,

[:achache:1]

[armand]

Merci camarade
Amicalement
Armand

[Achache]

Bonsoir,

Sur ce même thème de la cathédrale de Reims, je viens de publier un poème d'Henry Bataille, ici

pages1418/Pagesvecuesrecitstemoignages/ ... .htm#t3435

Me disant qu'il serait intéressant de faire une petite anthologie, ou un répertoire sur ce sujet, je continue en rappelant le fameux texte d'Albert Londres L'agonie de la basilique
repris dans 14-18 Grands reportages, chez Omnibus,2005

et directement accessible ici:
http://www.assemblee-nationale.fr/histo ... ondres.asp

Voilà... si vous avez d'autres textes à signaler, n'hésitez pas à la faire ici. Merci...

Bien à vous,

[:achache:1]

[armand]

Bonjour

Sous ton controle, mon Phrère [strike]pas-[/strike]Simpliste, Achache : Albert Londres, mais aussi Edmond Rostand, Romain Rolland, André Suarès, Jean-Paul Vaillant,

Paul Fort. La cathédrale de Reims in "Poèmes de France, Bulletin lyrique de la guerre", 1er décembre 1914.

Un autre enfant du pays: René Druart (1888-1961, il publia notamment des poèmes de Roger Gilbert-Lecomte fondateur du mouvement surréaliste "Le Grand Jeu") :

Instant tragique, où l’étincelle jaillie dans ta robe te transforma en torche immense, où la germination monstrueuse de l’étincelle, plus petite que le grain de froment doré, fit lever une houleuse moisson de grands blés que travailla le vent terrible. Instant tragique, où la forme, étroitement enserrée dans l’orbe des flammes fauves, sembla craquer comme une frêle charpente humaine que broie l’étreinte d’un reptile monstrueux.[…] Instant tragique, où tes blocs de pierres, au contact des zinc et des plombs fondus, firent mine de s’amollir, de se liquéfier pour couler en traînées incandescentes, ruisseler à pleins flots le long de la muraille abrupte.[…] Instant tragique, certes, mais infiniment sublime, où ta forme, victorieuse enfin de l’infernale épreuve, nous réapparut dans toute sa taille, au centre d’un champ gonflé de débris ! in La Passion de Reims, Reims, Imprimerie Coopérative, 1919, 58 p.
Source : Les écrivains et la cathédrale

Cdt
Armand

[Achache]

Bonjour,

Armand , merci pour cette contribution.

Très intéressant ce Les écrivains et la cathédrale que je ne connaissais pas.

mais aussi Edmond Rostand, Romain Rolland, André Suarès, Jean-Paul Vaillant

Veux-tu dire qu'il sont aussi dans le volume paru chez Omnibus ? Je ne sais plus: je n'ai pas ce livre sous la main pour vérifier.

Amitiés,

Hubert

[armand]

Bonjour

Je voulais dire qu'ils ont écrit des textes sur la cathédrale pour continuer l'anthologie que tu proposes. Je ne sais pas si ils sont dans l'Omnibus ?

Amitiés
Armand

[michelstl]

Bonjour à vous
merci à tous

... et encore... l'article du journaliste anglais, correspondant de guerre, E. Ashmead Bartlett, qui fut un témoin du triste événement: «Bombardement de la Cathédrale de Reims», qui parut dans le valeureux magazine périodique L'Illustration (Paris, no 3734, 26 septembre 1914).



«... Voici huit jours, Notre-Dame de Reims était l'une des plus fameuses et des plus belles cathédrales du monde. Avec ses innombrables sculptures, dont l'abondance n'étouffait pas, cependant, la grandeur des lignes architecturales, la façade occidentale était une merveille unique, et l'on pouvait en dire autant des sculptures qui ornaient les parois intérieures de cette même façade. Les vitraux si admirés des touristes, et principalement ceux de la grande rose de l'Ouest, entre les deux tours, où souriait, au milieu d'une cour d'anges, de rois et de patriarches, la Vierge, patronne de la basilique, comptaient parmi les plus anciens dans les églises de France.

En ce moment, il ne demeure de cette merveille que le gros oeuvre de pierre, ...»


à suivre sur
http://www.gutenberg.org/files/32952/32 ... 2952-h.htm

[Achache]

Bonsoir,

Merci Michel,pour cette contribution.
Outre l'article en question,il est très intéressant d'avoir à dispo tout ce n° de l'Illustration.

Bien à vous,

[:achache:1]