Tahure...1926. Des tirs sur les tombes ?

[Piou-Piou]

Bonsoir à toutes et tous,

Rien est impossible, la fois et la force de l'esprit déplace les montagnes.

Depuis une trentaine d'année, mon ami HXM de la première heure et moi même, procédont au relevé des pertes des combattants Français pour les combats de l'Entre-Sambre-et-Meuse (Belgique) du 21 au 25 août 1914.
Identifiés un nombre considérable de soldats, portés disparut ou mal renseignés dans les différents cimetières militaires (nécropole) ou cimetières civils (soldats oubliés).
Chiffres avancé par l'armée française, combats août 1914, 21.000 hors combats.
Chiffres en notre possestion, 28.000, preuve à l'appuis, 236 feuilles A4 comportant les noms de touts les braves morts aux combats.

Notre travail d'identification n'est pas encore terminé, il nous reste + ou - 200 soldats à identifiers.
Ce fut un travail titanesque, reconnus par de nombreux médias de notre régions, mais combiens enrichissant pour les mémoires futur et pour nous mêmes.

Cordialement. Phil. et pour mon amis compagon de route HXM.

[Arnaud Memorial]

J'ai pris l'habitude de dire que le travail de mémoire est un puzzle. Chacun s'attelle à une parcelle d'image qui l'a attiré, on y passe des heures et parfois des nuits, un coin de l'image commence à prendre forme et on finit par rejoindre celui qui était à côté.

Mais, moi, je viens de me mettre sur un puzzle de 1000 ou 2000 pièces, alors quand je vois que d'autres arrivent au bout d'un puzzle de 28.000 pièces, à mon tour, je dis "chapeau ! "

Arnaud

[terrasson]

Bonsoir à toutes et tous,

Rien est impossible, la fois et la force de l'esprit déplace les montagnes.

Depuis une trentaine d'année, mon ami HXM de la première heure et moi même, procédont au relevé des pertes des combattants Français pour les combats de l'Entre-Sambre-et-Meuse (Belgique) du 21 au 25 août 1914.
Identifiés un nombre considérable de soldats, portés disparut ou mal renseignés dans les différents cimetières militaires (nécropole) ou cimetières civils (soldats oubliés).
Chiffres avancé par l'armée française, combats août 1914, 21.000 hors combats.
Chiffres en notre possestion, 28.000, preuve à l'appuis, 236 feuilles A4 comportant les noms de touts les braves morts aux combats.

Notre travail d'identification n'est pas encore terminé, il nous reste + ou - 200 soldats à identifiers.
Ce fut un travail titanesque, reconnus par de nombreux médias de notre régions, mais combiens enrichissant pour les mémoires futur et pour nous mêmes.

Cordialement. Phil. et pour mon amis compagon de route HXM.

bonjour et bravo
je vois ce que représente ce travail car il s agit de travail..je suis sur la liste des morts au champ d honneur pour le 125° et c est dur d y arriver vous 28000 quel boulot
cordialement christian terrasson

[belge]

Beau Soleil à tous,
Je lève donc mon verre, de pastaga ( vous m'avez amené à goûter, Chers Amis, ce breuvage exquis...) à votre santé à tous, Amis Forumeurs, Modérateurs, Chercheurs, Historiens, Erudits, Visiteurs, Invités et vous tous qui, vous aussi, formez un morceau de ce fameux puzzle qu'est ...aussi, ce merveilleurx Forum ! Grâce à vous, la Mémoire non seulement survit, mais aussi elle se complète, s'amplifie...
Bref, je serai bref ( pour...une fois ) : CHAPEAU à tous !
Cordialement de Belgique

[clem]

Bonjour,
en fait, ces tombes étaient disposées sur les pentes de la cote 285, après sa prise par des chasseurs. Ils ont été laissé en terre à l'endroit ou ils étaient tombés, le temps s'appliquant, je penses, recouvrir les restes des croix de bois. Ce sont des anciens combattants venus voir si les tombes de leurs camarades étaient toujours là qui les ont signalé. Apparemment ce n'était pas un cimetière "officiel".
j'avais déjà lu un sujet sur ce forum concernant le pillage des tombes et le nivelage du terrain par des tracteurs (ce qui s'est aussi passé à la haute Chevauchée). Ces tracteurs écrasaient litéralement des vestiges de guerre : casques français et allemands, gamelles, etc...et sans doute des ossements, dans le secteur de la Croix Pamart, toujours à la Haute Chevauchée.
Il y a un mois j'ai vu dans les Hauts-de Meuse, dans le bois Loclont, des ouvriers forestiers qui détruisaient une partie de la première ligne française...
Mais à ce que j'ai cru entendre, tout cela n'est pas isolé.
Bien cordialement,
Clément Chevalier