Un autre exemple en 1905, à l'occasion de la course auto « le Circuit d'Auvergne ». Je suppose que ces termes ont rapidement disparu quand les appareils en question sont devenus obsolètes (après la guerre ?).
Bonjour
Le Baud ( mesure de télécom), qui vient de Baudot Emile et son code de télégraphie. On l'utilisait encore au début des réseaux infos, car - je cite (et pas de mémoire) " Les mesures en bauds et en bits par seconde sont égales lorsque le signal est bivalent " ( na !)
Cordialement
Alain
PS : Les Hughistes seraient bien les spécialistes de https://fr.wikipedia.org/wiki/David_Edward_Hughes
Le télégraphe Hughes, inventé en 1854 et acquis par l'administration française après la guerre de 1870, et le Baudot, datant de 1874 et également adopté, étaient deux systèmes assez voisins dont le fonctionnement exigeait la parfaite synchronisation de l'émetteur et du récepteur. Ils ont été utilisés, pour le Baudot au moins, jusqu'entre les deux guerres. Les aptitudes des opérateurs devaient être assez voisines de celles des pianistes virtuoses...
Ils ont été supplantés par les appareils dits arythmiques, émettant des signaux où chaque caractère transmis est encadré d'un signal "start" et d'un signal "stop" assurant par eux-mêmes la resynchronisation permanente du récepteur.
Pour le baud et le bit/s, il s'agit d'unités de mesure différentes, effectivement confondables (et donc confondues, à tort) lorsqu'elles s'expriment avec les mêmes chiffres.
Le baud mesure la vitesse de transmission d'un signal télégraphique, exprimant le nombre de fois où la ligne change d'état électrique par seconde.
Le bit/s mesure la quantité d'information transmise en une seconde, l'unité de base (le bit) étant l'information apportée par la connaissance de l'état d'un élément susceptible de n'en prendre que deux.
Bonjour,
En complément à la reponse de Bernard Sonneck, les emplois de baudotiste étaient encore dans l'esprit du colonel commandant les transmissions en 1942. Il les cite dans les possibilités d'emplois féminins.
Cordialement