Bonjour à tous,
Bonjour Stéphan,
Comme d'habitude, je suis court sur le sujet, mais... L'IM provisoire du 20 septembre 1906 (1) donne les éléments de base, savoir, l'établissement d'un plan du réseau colombophile (soumis et arrêté par le ministre de la Guerre). Cette même instruction discerne deux types de liaisons : celles de premières urgences mises en oeuvre le premier jour de la mobilisation et celles de seconde urgence, liées aux nécessites du moment.
Les premières urgences sont exploitées exclusivement par les sapeurs du 8° RG (deux Cies à Montoire sur le Loir) et des pigeons élevés et entraînés dans les colombiers militaires.
Les secondes urgences, dont l'existence dépend des événements et de la marche des opérations est armé par les colombiers civils.
L'IM de 1906 règle également l’organisation et l'emploi des pigeons, organisés pour les places fortes, les corps de cavalerie, les services de renseignement et la Marine. Il en est de même pour la cavalerie légère agissant dans la profondeur, certains aérostats etc.
L'affaire est sérieusement suivie ! les piafs sont enrôlés à la mobilisation et inscrits au tableau C (2). Un journal de mobilisation du service des pigeons est établi et suivi pour chaque place par le chef du génie. Le document est ensuite soumis pour approbation au gouverneur militaire ou au général commandant le corps d’armée.
Les membres actifs des sociétés (on dit aujourd'hui club, association etc.) colombophiles sont également mobilisés et détachés au profit des unités de l'avant.
L'affaire des pigeons est prise très au sérieux dès le temps de paix (Lois à partir de 1890). Début 1914, les colombiers sont déployés conformément au Plan XVII et l'IM de 1906.
Ensuite, c'est un peu (beaucoup ?) le bean's. Pas grand chose, voire rien à "manger" sur les Trs de 1914 à 1918, si ce n'est par recoupement. On constate tout de même que les pigeons montent au front comme tout le monde. Le pigeonnier reste au niveau du C.A, puis les caisses sont mises à disposition des éléments avancés.
Concernant la Coloniale, je resterais prudent car l'organisation de la télégraphie militaire est réglée par la note 1777-3/4 du 27/08/1912 (3) pour l'AFN et les Confins. Mais d'une façon plus générale, outre-mer, les liaisons militaires servent également au trafic civil et les dispositions ne s'appliquent qu'aux unités stationnées sur ces territoires.
J'ai un peu de biblio si cela t'intéresse.
Amicalement,
Louis.
(1) Carton 7 N 22. Instruction provisoire, approuvée par DM du 20/09/1906.
(2) Pour mémoire, fascicule A pour les pigeons affectés à la cavalerie, B pour les oiseaux affectés aux places.
(3) carton 7 N 55.
voiture pigeonnier = génie ?
- Stephan @gosto
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Re: voiture pigeonnier = génie ?
Bonjour,
Merci pour ces premiers éléments.
Ce n'est pas une recherche prioritaire et capitale, mais je profitais du fil pour essayer de comprendre qu'elle était, au point de vu administratif, l'affectation du matériel et des bestiaux ainsi que celles des hommes qui utilisaient l'un et/ou les autres.
Ce questionnement vient de la lecture des lettres de Guerre d'A. Durosoir, "Deux musiciens dans la Grande Guerre" (Tallandier, 2005). Ce dernier a fait la guerre au 129e R.I. jusqu'aux mutinieries, puis fut muté au 274e jusqu'à sa dissolution, pour intégrer ensuite le 74e R.I.
Mais entre temps, alors qu'il comptait toujours au 274e R.I., en septembre 17, il dit qu'il va remplacer untel "qui était colombophile" à la division.
Ca nous fait donc : biffin d'un R.I., détaché à la D.I. pour utiliser un outil du Génie (divisionnaire ? de corps ? d'armée ?)... ? Ou alors, y a-t-il eu une mutation (à la D.I., au Génie ?) qui ne serait indiquée ni dans le corpus de lettres, ni dans les notes explicatives de l'éditeur.
Pour info, en janvier 18, il dit "déménager le T85 et T220", puis ce sera le T49, pour n'utiliser que le T17. En mars 1918, il prends ses fonctions dans un colombier fixe, à Suippes, et remplace l'équipe de la division relevée.
Encore une fois, ce n'est qu'un point de détail qui, s'il ne peut être résolu, ne me donnera pas des insomnies.
Bonne journée.
Stéphan
Merci pour ces premiers éléments.
Ce n'est pas une recherche prioritaire et capitale, mais je profitais du fil pour essayer de comprendre qu'elle était, au point de vu administratif, l'affectation du matériel et des bestiaux ainsi que celles des hommes qui utilisaient l'un et/ou les autres.
Ce questionnement vient de la lecture des lettres de Guerre d'A. Durosoir, "Deux musiciens dans la Grande Guerre" (Tallandier, 2005). Ce dernier a fait la guerre au 129e R.I. jusqu'aux mutinieries, puis fut muté au 274e jusqu'à sa dissolution, pour intégrer ensuite le 74e R.I.
Mais entre temps, alors qu'il comptait toujours au 274e R.I., en septembre 17, il dit qu'il va remplacer untel "qui était colombophile" à la division.
Ca nous fait donc : biffin d'un R.I., détaché à la D.I. pour utiliser un outil du Génie (divisionnaire ? de corps ? d'armée ?)... ? Ou alors, y a-t-il eu une mutation (à la D.I., au Génie ?) qui ne serait indiquée ni dans le corpus de lettres, ni dans les notes explicatives de l'éditeur.
Pour info, en janvier 18, il dit "déménager le T85 et T220", puis ce sera le T49, pour n'utiliser que le T17. En mars 1918, il prends ses fonctions dans un colombier fixe, à Suippes, et remplace l'équipe de la division relevée.
Encore une fois, ce n'est qu'un point de détail qui, s'il ne peut être résolu, ne me donnera pas des insomnies.
Bonne journée.
Stéphan
Re: voiture pigeonnier = génie ?
Bonjour à tous,
bonjour Stéphan,
Au prime abord, A. Durosoir est mobilisé dans un R.I. S'il remplace "untel colombophile à la division", il y a fort à parier que untel a était mobilisé avec des pigeons réquisitionnés, donc hors Génie.
Pour mémoire, en 1914, il n'existe que deux compagnies colombophiles en France et une dans les territoires. Il n'y a donc pas foule !
Les Cies colombophiles Génie ont rejoint les Places, comme prévu dans le Plan XVII. En trouver au delà relève des errances de la bataille...
Amicalement,
Louis.
bonjour Stéphan,
Au prime abord, A. Durosoir est mobilisé dans un R.I. S'il remplace "untel colombophile à la division", il y a fort à parier que untel a était mobilisé avec des pigeons réquisitionnés, donc hors Génie.
Pour mémoire, en 1914, il n'existe que deux compagnies colombophiles en France et une dans les territoires. Il n'y a donc pas foule !
Les Cies colombophiles Génie ont rejoint les Places, comme prévu dans le Plan XVII. En trouver au delà relève des errances de la bataille...
Amicalement,
Louis.
Re: voiture pigeonnier = génie ?
Bonjour
Un article avec exactement le meme texte (sic) que celui cité par JC sur les unités colombophiles et l'Araba (Autobus à Imperial Berliet) pendant la PGM dans l'Union de Reims mais je n'arrive pas à vous mettre le lien mais rien de sensasionnel. Photos d'Araba et de pigeonnier sur remorque (16 en 1916 selon l'article)
Dossier de Christian Chardon d"apres Pascal Garez de la Sociéte colombophile de Laon
Cdt
Armand
Un article avec exactement le meme texte (sic) que celui cité par JC sur les unités colombophiles et l'Araba (Autobus à Imperial Berliet) pendant la PGM dans l'Union de Reims mais je n'arrive pas à vous mettre le lien mais rien de sensasionnel. Photos d'Araba et de pigeonnier sur remorque (16 en 1916 selon l'article)
Dossier de Christian Chardon d"apres Pascal Garez de la Sociéte colombophile de Laon
Cdt
Armand
Sur les traces du 132ème RI " Un contre Huit " et du 294ème RI (le "29-4")
Re: voiture pigeonnier = génie ?
Bonjour à tous. Il y a de nombreuses années j'ai effectué une importante étude sur la Colombophilie militaire des origines à 1945 mais surtout sur la période 14-18 en France et dans l'Armée d'Orient. Cette étude a été appuyée et complétée par l'apport de la documentation du Colonel Varenne-Paquet commandant du 8e Régiment de Transmissions, Forteresse du Mont-Valérien dans lequel se trouvait (à l'époque ou encore ?) le Musée de la Colombophilie Militaire (étude déposée dans ce Musée). J'essaie de reproduire ici un condensé de ces informations :
Les unités de colombophilie sont en 14-18 rattachées au Génie, Section de la Télégraphie Militaire. Le mouvement incessant des armées posaient un problème quant à l'installation de colombiers fixes. Seul la création de colombiers mobiles se fixant et se déplaçant avec les Q.G.A. pouvait apporter la solution. En août 1915, trois colombiers mobiles sont mis en place, suite à réquisition et transformation d'autobus parisiens à impériale, implantés dans la IIIe, IVe et Ve Armée. On a utilisé des colombiers nocturnes, mobiles et automobiles, ces derniers immobilisant inutilement un moteur dans les périodes de stabilisation, sont avantageusement remplacés par des remorques, plus légères et simples à déplacer dans tous les terrains. En juin 1916, il est distribué 16 remorques de type "L.B." Le matériel est déposé dans les Parcs Télégraphiques d'armée. Le 14 mai 1917 le service colombophile a 6 colombiers automobiles et 72 colombiers remorques, sans parler des colombiers fixes... Le service colombophile a le 5 juin 1918 : 96 colombiers remorques et le 15 novembre 250. Encore une fois avec la pratique de quelques années de guerre, on constate que cette remorque est lourde et peu maniable sur des routes dont le terrain est bouleversé par les explosions, et instable à cause des pluies. Que l'on s'imagine donc la difficulté du passage d'un autobus colombier. C'est pourquoi dans le courant du mois de novembre, on pense aux voitures arabas contenant 60 P.V.
L'armée d'Orient utilisa également des remorques au type "L.B." et au type "T" (Transportable) avec deux tracteurs pour les tirer dans les régions montagneuses ce qui s'avérait coûteux, on les remplaça par des chevaux et des mulets avec de simples paniers à pigeons.
La liste des pigeonniers fixes indice ''F" et mobiles, indice "M" pour certaines armées sont en pièce jointe. Les pigeonniers mobiles par lieux sont dispersés dans l'étude, et il serait trop long de tout réunir. Les pièces jointes sont peu visibles... je regrette car je ne sais comment faire
Bien cordialement
rpima
Les unités de colombophilie sont en 14-18 rattachées au Génie, Section de la Télégraphie Militaire. Le mouvement incessant des armées posaient un problème quant à l'installation de colombiers fixes. Seul la création de colombiers mobiles se fixant et se déplaçant avec les Q.G.A. pouvait apporter la solution. En août 1915, trois colombiers mobiles sont mis en place, suite à réquisition et transformation d'autobus parisiens à impériale, implantés dans la IIIe, IVe et Ve Armée. On a utilisé des colombiers nocturnes, mobiles et automobiles, ces derniers immobilisant inutilement un moteur dans les périodes de stabilisation, sont avantageusement remplacés par des remorques, plus légères et simples à déplacer dans tous les terrains. En juin 1916, il est distribué 16 remorques de type "L.B." Le matériel est déposé dans les Parcs Télégraphiques d'armée. Le 14 mai 1917 le service colombophile a 6 colombiers automobiles et 72 colombiers remorques, sans parler des colombiers fixes... Le service colombophile a le 5 juin 1918 : 96 colombiers remorques et le 15 novembre 250. Encore une fois avec la pratique de quelques années de guerre, on constate que cette remorque est lourde et peu maniable sur des routes dont le terrain est bouleversé par les explosions, et instable à cause des pluies. Que l'on s'imagine donc la difficulté du passage d'un autobus colombier. C'est pourquoi dans le courant du mois de novembre, on pense aux voitures arabas contenant 60 P.V.
L'armée d'Orient utilisa également des remorques au type "L.B." et au type "T" (Transportable) avec deux tracteurs pour les tirer dans les régions montagneuses ce qui s'avérait coûteux, on les remplaça par des chevaux et des mulets avec de simples paniers à pigeons.
La liste des pigeonniers fixes indice ''F" et mobiles, indice "M" pour certaines armées sont en pièce jointe. Les pigeonniers mobiles par lieux sont dispersés dans l'étude, et il serait trop long de tout réunir. Les pièces jointes sont peu visibles... je regrette car je ne sais comment faire
Bien cordialement
rpima
Re: voiture pigeonnier = génie ?
Rebonjour. Voilà à tire d'ailes le reste de ma liste de colombiers militaires, c'est certes peu visible, aussi si vous pouvez en tirer qq chose... bravo
Cordialement
rpima

Cordialement
rpima
Re: voiture pigeonnier = génie ?
Bonjour à tous,
bonjour rpima,
En 1914, une seule compagnie sur les 14 existantes est une compagnie colombophile. Elle est en garnison à Montoire (de mémoire).
Cordialement,
Louis Le Bègue.
bonjour rpima,
Si vous me le permettez, ces unités appartiennent au 8° Régiment du Génie (dont le 8°RT est l'actuel descendant). Elles ne sont pas rattachées, elles appartiennent au Génie.Les unités de colombophilie sont en 14-18 rattachées au Génie,
En 1914, une seule compagnie sur les 14 existantes est une compagnie colombophile. Elle est en garnison à Montoire (de mémoire).
Cordialement,
Louis Le Bègue.
Re: voiture pigeonnier = génie ?
Bonjour à tous
Bonjour Louis
Bonjour Jacques19
Oumpf ! J'ai fait une coquille !
Vous avez raison Louis, ces Unités appartiennent au Génie mais ne sont pas "rattachées". Pour le reste, "une seule sur 14 existante"... je pense que je n'avais pas cette information, il faudrait que je m'y "replonge". J'aurai connu ce site de partage il y a quelques années, cela m'aurait bien aidé.
Petite précision: J'ai parlé de remorques de type "L.B." initiales de Leroy-Béague, Pésident de la Fédération Colombophile de Lille, employé avant guerre par le S.R. pour la mobilisation des pigeons du Nord. En février 1915 il est affecté au 2° Bureau du G.Q.G.
Autre info: L'aviation a également utilisé les pigeons-voyageurs en prévision d'une avarie quelconque forçant l'aviateur à atterrir en plein champ: 700 messages furent ainsi envoyés. Les P.V. sont également employés dans la Marine à bord des hydravions. A la fin de la guerre un communiqué officiel en témoigne: "... Le pigeon s'est révélé comme un véritable bienfaiteur de l'aviation. La dernière statistique nous apprend que, pendant une période de dix-sept mois, des pigeons furent lâchés en quatre-vingt occasions par les aviateurs pilotant des hydravions et se trouvant en détresse à la surface de la mer; or, dans quarante-cinq cas les appels parvinrent à la base et permirent d'opérer le sauvetage...''.
Petite touche amusante de la petite histoire: Les P.V. provenant de la zone ennemie étaient "tirés" de part et d'autre. Le tir aux pigeons donc, était né !
aussi en 1915, les allemands essayèrent une supercherie. Ils plongèrent leurs pauvres piafs dans un bain de teinture noire, pour les faire passer pour des... corbeaux !
Je suis peut-être à contre-courant mais j'ai relevé que Jacques19 et Armand semblent d'accord sur:
Je cite:
c'était une voiture légère, pas automobile, mais " hippomobile de type colonial " selon un lexique de l'armée sur le matériel utilisé pendant la Campagne du Maroc. 1912.
En pièce jointe, pas de rapport avec l'Araba. Un document provenant d'un Colombophile militaire au 41e Génie à Tnighir par Ouarzazate (Maroc) mais datant de 1932.
Bien cordialement
rpima

Bonjour Louis
Bonjour Jacques19
Oumpf ! J'ai fait une coquille !

Petite précision: J'ai parlé de remorques de type "L.B." initiales de Leroy-Béague, Pésident de la Fédération Colombophile de Lille, employé avant guerre par le S.R. pour la mobilisation des pigeons du Nord. En février 1915 il est affecté au 2° Bureau du G.Q.G.
Autre info: L'aviation a également utilisé les pigeons-voyageurs en prévision d'une avarie quelconque forçant l'aviateur à atterrir en plein champ: 700 messages furent ainsi envoyés. Les P.V. sont également employés dans la Marine à bord des hydravions. A la fin de la guerre un communiqué officiel en témoigne: "... Le pigeon s'est révélé comme un véritable bienfaiteur de l'aviation. La dernière statistique nous apprend que, pendant une période de dix-sept mois, des pigeons furent lâchés en quatre-vingt occasions par les aviateurs pilotant des hydravions et se trouvant en détresse à la surface de la mer; or, dans quarante-cinq cas les appels parvinrent à la base et permirent d'opérer le sauvetage...''.
Petite touche amusante de la petite histoire: Les P.V. provenant de la zone ennemie étaient "tirés" de part et d'autre. Le tir aux pigeons donc, était né !

Je suis peut-être à contre-courant mais j'ai relevé que Jacques19 et Armand semblent d'accord sur:
Je cite:
De mémoire et sauf erreur de ma part, il me semble bien que l'Araba n'avait pas des roues, mais des pattes !"L'araba était un autobus à impériale de marque Berliet, transformé en pigeonnier"

En pièce jointe, pas de rapport avec l'Araba. Un document provenant d'un Colombophile militaire au 41e Génie à Tnighir par Ouarzazate (Maroc) mais datant de 1932.
Bien cordialement

rpima

Re: voiture pigeonnier = génie ?
Bonjour à tous,
bonjour rpima,
Normal que le 41 soit au Maroc, mais créé après guerre (fin 1920). En fait, pour les régiments, on retient la série "8" (8, 18 et 28° RG) et pour les bataillons, la série "4" (41, 42, 43 et 44°BG).
Pour l'emploi des pigeons, ils ont également été utilisés pour l'aérostation assez longtemps, mais depuis 1913, et les progrès réalisés par le Cdt Ferrié, ils seront rapidement remplacés par des postes TSF.
Cordialement,
Louis
bonjour rpima,
Normal que le 41 soit au Maroc, mais créé après guerre (fin 1920). En fait, pour les régiments, on retient la série "8" (8, 18 et 28° RG) et pour les bataillons, la série "4" (41, 42, 43 et 44°BG).
Pour l'emploi des pigeons, ils ont également été utilisés pour l'aérostation assez longtemps, mais depuis 1913, et les progrès réalisés par le Cdt Ferrié, ils seront rapidement remplacés par des postes TSF.
Cordialement,
Louis
Re: voiture pigeonnier = génie ?
Bonjour à toutes et à tous,
Il existe une "Instruction sur l'organisation et le fonctionnement du service des pigeons voyageurs aux armées" datée du 2 février 1918, signée par Pétain, 45 pages + des annexes.
Page 13, concernant les personnels d'exécution, les colombophiles comptent tous à la 6e compagnie du 19e Escadron du TEM, ceci au niveau de l'armée.
Bien cordialement,
Caballero.
Il existe une "Instruction sur l'organisation et le fonctionnement du service des pigeons voyageurs aux armées" datée du 2 février 1918, signée par Pétain, 45 pages + des annexes.
Page 13, concernant les personnels d'exécution, les colombophiles comptent tous à la 6e compagnie du 19e Escadron du TEM, ceci au niveau de l'armée.
Bien cordialement,
Caballero.
Caballero