Bonsori
Merci Florian --- je pense à ce que les soldats ont dû endurer et imagine que plus d'un a eu des problèmes d'ouïe une fois la guerre finie (je n'ai jamais rien lu à ce sujet)
Bonne soirée
José
crapouillot
Re: crapouillot
Bonsoir à tous, bonsoir José,
Moi je me souviens bien en avoir eu écho dans des livres d'histoire scolaire, au même titre que les troubles mantaux engendrés par les "bruits de la guerre".
Cordialement
Mathieu
P.S José: je te tiens au courant pour une balade cet été (en août), si tu es toujours ok. Bye
Moi je me souviens bien en avoir eu écho dans des livres d'histoire scolaire, au même titre que les troubles mantaux engendrés par les "bruits de la guerre".
Cordialement
Mathieu
P.S José: je te tiens au courant pour une balade cet été (en août), si tu es toujours ok. Bye
"Verdun, on ne passe pas!!!"
Re: crapouillot
Bonjour,
un effet direct lié aux explosions, c'est le mal dont souffraient les soldats "l'obusite".
Amicalement
Florian
un effet direct lié aux explosions, c'est le mal dont souffraient les soldats "l'obusite".
Amicalement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
Re: crapouillot
Bonsoir à tous,
Laissez moi exposer ici le témoignage d'un soldat français qui décrit l'horreur de ces bombardements; cela se passe sur la cote 304 :
A méditer.
Cordialement
Alain
Laissez moi exposer ici le témoignage d'un soldat français qui décrit l'horreur de ces bombardements; cela se passe sur la cote 304 :
ça fait froid dans le dos non ?.."Quand on entend au loin le sifflement des obus le corps tout entier se crispe préventivement se préparant à l'énorme explosion qui va arriver. Chaque nouvelle explosion est une nouvelle attaque, une nouvelle fatigue, une nouvelle affliction. Même avec des nerfs d'acier il est impossible de gérer cette pression.
Le moment vient où le sang pulse à la tête, La fièvre envahit le corps tout entier, les membres sont engourdis,
les nerfs sans réaction sont incapables de faire quoi que ce soit..."
A méditer.
Cordialement
Alain