Je trouve que Gilles est particulièrement "soft", normal pour un modérateur!
Non Jean-Luc, pas sur cette partie du forum.
Pour corto51
Vous me paraissais particulierement privé de recul sur ce coup là
Je ne comprends pas très bien le sens de votre phrase. Mais dans votre précédent message vous nous faites le reproche de rester sur des positions anciennes, alors ?
Si vous êtes un tant soit peu historien vous devez savoir que depuis 10 ans la 1° guerre mondiale fait l'objet de multiples avancées et que donc son histoire évolue.
Je n’ai surtout pas la prétention d’être historien, mais qui fait avancer quoi , des personnes qui décident de ce que nous devons penser, finalement un genre de pensée unique. Si c’est votre cas, très peu pour moi et sacrément dangereux pour l’histoire.
Pour terminer, dans la série scénographie, deus photos représentant chacune un dortoir. L’une réaliste (Mutzig) et l’autre, je ne sais et surtout n’ose pas la qualifier.
Cordialement
Gilles [:gilles roland]
-Ca sent le macchab, dit Le Moal. -J’te crois, y en a plein par ici. Jean Berthaud « 1915 sur les Hauts-de Meuse en Champagne » VESTIGES.1914.1918 MAJ le 10 novembre 2015
Bonsoir Gilles, pour la première, je connais, chapeau bas à nos amis de Mutzig, par contre pour la deuxième, je pencherai pour une vente aux enchères de moustiquaires, à moins que ce ne soit une zone de captage de nessains d'huitres à marée basse ?
cordialement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
Bonsoir Alain, bonsoir à tous, Alai a tout à fait raison, passons à autre chose, merci.
cordialement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
Après l’intervention d ‘Alain l’autre soir, je lui ai envoyé un MP en lui disant qu’il avait raison !
Quelqu’un a dit « il y a que les C..s qui ne changent pas d’avis ». Mais peu importe, là je réponds à Patrice et Jean-Luc.
Patrice, effectivement, c’est ça, la nouvelle caverne du dragon.
Jean-Luc, je n’ai pas tout faux, la photo, ce sont les hamacs, c'est bien connu. Pour les fuites au plafond, c’est prévu mais pour l’évacuation des eaux, c'est autre chose.
Amicalement
Gilles [:gilles roland]
-Ca sent le macchab, dit Le Moal. -J’te crois, y en a plein par ici. Jean Berthaud « 1915 sur les Hauts-de Meuse en Champagne » VESTIGES.1914.1918 MAJ le 10 novembre 2015
Ayant visité la Caverne du Dragon aujourd'hui, je ressort ce vieux sujet "sensible" et vous livre mon opinion à mon tour.
Je précise que je ne connaissais pas "l'ancienne" caverne.
Accueil assez froid, au sens propre comme au figuré, puis début de la visite par un film de 20min: un peu-beaucoup confus, curieusement certains des commentaires sont vraiment incompréhensibles et inaudibles... if faut s'accrocher, mais honnetêment cela reste assez moyen. Les films sont les films et celui de l'Historial de Péronne n'est pas mieux, peut-être même pire encore !
Début de la visite guidée, présentation de quelques uniformes et casques dans une vitrine et d'un canon de 75 plaçé sous un escalier.
Maintenant nous allons voir "une reconstitution de tranchée" Ah bon ? Un peu de terre sur les cotés, quelques queues de cochons et autres vielleries rouillées dans une immense cage d'escalier betonnée puis on descend les quelques marches et nous voici dans la caverne. Comme entrée en matière, on peut difficillement faire plus froid, impersonnel et sans émotion, dommage l'entrée est "ratée".
Mais continuons, on avance dans les différentes salles en suivant les explications du guide qui fait tout son possible pour essayer de rendre vivant ce qui ne l'est pas. Ah si, j'ai bien aimé quand on nous explique avec une carte de la caverne les entrées sud et le tunnel nord, les différents murs et positions à l'interieur. Le (la) guide est compétent et semble vraiment connaître son affaire, mais elle m'a semblé aussi quelque peu désabusée: malgré tous ses efforts, ça reste "plat".
Passons les "moustiquaires" et autres artifices, on aime (?) ou on aime pas mais le guide ne s'attarde pas trop dessus et nous montre plutôt avec sa lampe torche les tunnels et pièces à coté: là on distingue les débris, des éboulis, des restes de feraille... allez, soyons honnête: on ressent quand même quelque chose de vrai à ce moment là. Sur la fin de la visite cela semble un peu moins asseptisé quand même. Fin du tour, on remonte.
Bilan personnel: j'avoue avoir ressenti trés trés peu d'émotion, je ne suis pas du tout un adepte du "faut laisser tout comme et ne toucher à rien" et j'aime bien des concepts et des approches différentes et novatrices. Mais là, desolé, ca ne prend pas du tout. J'ai la chance de sillonner tous les jours les champs de bataille de la Somme, du Pas de Calais, du nord et de Belgique, et d'avoir visité ou de connaître (sans prétention aucune) un grand nombre de musées, sites, centres d'accueil, etc..
En toute honneteté je dois dire que je n'ai jamais vu un lieu aussi vidé d'émotions.
En tout cas, chapeau aux guides qui semblent faire leur possible et qui eux n'y sont pour rien dans cette muséographie catrastrophique. Au fait, à qui doit-on cette... , heu ce..., bon comment dire: c'est qui qui a fait ça ?
Pour finir sur du positif, on se consolera avec un panorama superbe et l'immédiate proximité de sites remarquables: le plateau de Californie, Craonne, les ruines de Vauclair, le monument aux basques, etc...
Je retourne bientôt au chemin des dames, mais cette fois ci je vais zapper la Caverne.
Pour savoir qui a conçu cette M.........., lire ceci issu de leur site :
En faisant appel à la célèbre architecte Nasrine Seraji-Bozorgzad et à Lef Kazouka, chargée de la scénographie, le Conseil général de l'Aisne a souhaité parer la Caverne du Dragon d'un équipement contemporain, afin de mettre en valeur ce site exceptionnel.
A l'approche du bâtiment, le visiteur est transporté immédiatement dans un lieu fort, encadré par un panorama exceptionnel. Surplombant la vallée de l'Aisne, le nouveau bâtiment imaginé prend la forme d'un pavillon habillé d'une toiture flottante, situé à côté de la route du Chemin des Dames. La passerelle d'accès du musée composée de lattes de bois rappelle les caillebotis des tranchées ; les immenses baies vitrées entourant le hall d'accueil place quant à elles le visiteur à un poste d'observation avec une vue imprenable sur la vallée de l'Aisne, le transformant en « guetteur » l'espace d'un instant.
A l'intérieur, la cafétéria avec longues vues baigne dans la lumière, offrant une vue panoramique sur la vallée à ses visiteurs. Non loin, une salle de projection… puis une entrée en descente, conduisant tout droit vers la Caverne du Dragon.
La scénographie au service de l'Histoire… La Caverne du Dragon a subi plusieurs aménagements architecturaux et artistiques pour mettre en valeur l'originalité du site.
De l'ombre des parois à la lumière portées par les écrans, panneaux, vitrines, le visiteur foule un sol éclairé par des jeux de lumière. A chaque étape du parcours, un morceau de l'Histoire raconté sous plusieurs angles : géographique, social, militaire…
Au détour des salles souterraines, le visiteur découvre pas à pas les différents espaces portant l'histoire et le vécu des soldats de la Grande Guerre sur le Chemin des Dames et dans la Caverne du Dragon. De multiples supports accompagnent le public dans sa découverte des témoignages et de l'histoire de la Guerre de 14-18 : audiovisuel, panneaux didactiques, objets artisanaux, fond photographique.
Autour de soi, les murs de calcaire évoquent le souvenir des espaces aménagés pendant la Grande Guerre : Chapelle, cimetière, puits, hôpital…
Cordialement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
A l'intérieur, la cafétéria avec longues vues baigne dans la lumière
Et à la fin de la visite on passe par la boutique ?
Cordialement
Gilles [:gilles roland]
-Ca sent le macchab, dit Le Moal. -J’te crois, y en a plein par ici. Jean Berthaud « 1915 sur les Hauts-de Meuse en Champagne » VESTIGES.1914.1918 MAJ le 10 novembre 2015