Bonjour,
Becfigue, patrouilleur dragueur type Mauviette construit en 1918 par les Forges et chantiers de la Méditerranée à Graville
460 t, 43,50 x 7,30 x 3,40 m, une machine compound 450 cv, 10 noeuds
10 avril 1920,vendu au Havre à M? Pichon (Paris)
1927, vendu à la Compagnie maritime aéropostale
En 1930, indicatif ODCE, immatriculé à Dakar, armateur Compagnie Générale Aéropostale, capitaine Baborier.
331 tjb, 97 tjn, 40,42 x 7,28 3,37 m,
1933, vendu en Egypte
1939, inscrit au Lloyd sous le nom de Giorgios F.
Source : Registre n° 274, Bureau Veritas 1930.
Jacques Vichot, Répertoire des navires de guerre français, AAMM, 1967.
Jean Labayle-Couhat, French warships of world war I, Ian Allan, 1974.
Jean-Michel Roche, Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, tome II, 1870-2006, Rezotel Maury, 2005.
Cordialement.
BECFIGUE - Patrouilleur-dragueur type Mauviette
BECFIGUE — Patrouilleur-dragueur de type Mauviette.
Bonjour à tous,
Becfigue — Patrouilleur-dragueur, type Mauviette (1918~1920). Initialement armé d’un canon de 90 mm et d’un canon de 47 mm ; armé d’un canon de 105 mm le 18 octobre 1918. Division des patrouilles de Nor-mandie, 1re Escadrille de patrouilles.
Le patrouilleur-dragueur Becfigue fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre du 11 novembre 1918 au 4 mars 1919, puis du 11 au 13 septembre 1919.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 726.].
Nota. : Ici orthographié « Bec-Figue ».
Le patrouilleur-dragueur Becfigue fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre du 11 novembre 1918 au 4 mars 1919, puis du 11 au 13 septembre 1919.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 726.].
Nota. : Ici orthographié « Bec-Figue ».
Dernière modification par Rutilius le dim. févr. 16, 2020 7:23 pm, modifié 1 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: BECFIGUE - Patrouilleur-dragueur type Mauviette
Devenu "Aghia Kyriaki" en 1940, perdu devant Crète 28.05.1941:
http://www.historisches-marinearchiv.de ... _value=518
http://www.historisches-marinearchiv.de ... _value=518
BECFIGUE — Patrouilleur-dragueur de type Mauviette.
Bonsoir à tous,
■ Historique partiel.
■ Historique partiel.
— 15 novembre 1917 : Lancé à Graville-Le Havre (Seine-Inférieure — aujourd’hui Seine-Maritime) pour le compte de l’État par l’établissement de la Société des Forges et Chantiers de la Méditerranée [Siège social : 25, boulevard Malesherbes, Paris (VIIIe Arr.)].
• Le Petit Havre, n° 13.249, Samedi 17 novembre 1917, p. 2.
- L.P.H. 17-XI-1917 - .JPG (57.31 Kio) Consulté 648 fois
— 13 mars 1918 : Alors qu’il escortait un convoi parti la veille de Cherbourg à destination du Havre, à 3 h. 05, échappe à une torpille en battant en arrière.
• Patrouilleur-dragueur Becfigue — alors commandé par le premier maître de timonerie Eugène Yves Marie PASCO — Journal de bord n° 1 / 1917~1918 – 24 décembre 1917 ~ 25 septembre 1918 — : Service historique de la Défense, Cote SS Y 48, p. num. 14.
• Patrouilleur-dragueur Becfigue — alors commandé par le premier maître de timonerie Eugène Yves Marie PASCO — Journal de bord n° 1 / 1917~1918 – 24 décembre 1917 ~ 25 septembre 1918 — : Service historique de la Défense, Cote SS Y 48, p. num. 14.
« Mercredi 13 mars [1918].
A 3 h. 05, aperçu une torpille par bâbord qui passe sur l’avant. Fait en arrière pour l’éviter ; mis au poste de combat. Fait le tour du convoi plusieurs fois pour le protéger. Lancé un allo. Passé à la bouée à sifflet à 4 h. 15. Amarré au quai de Broshoöm à 5 h. 15. »
Dernière modification par Rutilius le dim. févr. 16, 2020 7:21 pm, modifié 2 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
BECFIGUE — Patrouilleur-dragueur de type Mauviette.
Bonsoir à tous,
Commandants successifs du patrouilleur-dragueur Becfigue
□ A partir du 25 février 1918.
— PASCO Eugène Yves Marie, né le ... à ... (...) et décédé le ... à ... (...). Premier maître de timonerie, inscrit au quartier de Morlaix, n° 5.430. Commandement pris au Havre, le 25 février 1918.
Par décision ministérielle du 28 décembre 1912 (J.O. 30 déc. 1912, p. 11.023 et 11.025), promu au grade de second maître de manœuvre à compter du 1er janvier 1913.
Par décision ministérielle du 3 juillet 1916 (J.O. 5 juill. 1916, p. 5.934 et 5.935), promu au grade de maître timonier à compter du 1er juillet 1916.
Par décision ministérielle du 3 janvier 1918 (J.O. 5 janv. 1918, p. 236), promu au grade de premier maître timonier à compter du 1er octobre 1917.
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 19 juin 1921 (J.O. 20 juin 1921, p. 7.042 et 7.044), inscrit au tableau spécial de la Médaille militaire.
□ Fin Septembre 1918.
— DUMONT Victor Marcel, né le ... à ... (...) et décédé le ... à ... (...). Premier maître de manœuvre, inscrit au quartier de Lorient, n° 543.
Par décision ministérielle du 24 mars 1910 (J.O. 26 mars 1910, p. 2.572 et 2.573), promu au grade de second maître manœuvrier à compter du 1er avril 1910.
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 11 octobre 1915 (J.O. 13 oct. 1915, p. 7.354 et 7.355), inscrit au tableau spécial de la Médaille militaire.
Par décision ministérielle du 3 juillet 1916 (J.O. 5 juill. 1916, p. 5.934 et 5.935), promu au grade de maître de manœuvre.
Par décision ministérielle du 31 mars 1917 (J.O. 2 avr. 1917, p. 2.624), promu au grade de premier maître de manœuvre.
□ En 1919.
— PAQUET Henri, né le 4 juillet 1874 à Paris (VIe Arr.) et décédé le 24 février 1956 à Toulon (Var). Premier maître de manœuvre, inscrit au quartier de Toulon, f° et n° 2.765.
Fils de Maurice PAQUET, né vers 1836, bouchonnier, et d’Adeline OLIVIER, née vers 1852, son épouse (Registre des actes de naissance du VIe arrondissement de Paris, f° 85, acte n° 1.654). Époux d’Élisabeth Francine CURNIER, née le 18 juin 1880 aux Arcs (Var) et décédée le 9 janvier 1964 à Toulon (– d° –) (Registre des actes de naissance de la commune des Arc, Année 1880, acte n° 34), avec laquelle il avait contracté mariage à Toulon, le 23 septembre 1909 (Registre des actes de mariage de la ville de Toulon, Année 1919, acte n° 586).
Par décision ministérielle du 4 juillet 1902 (J.O. 5 juill. 1902, p. 4.756 et 4.757), promu au grade de second maître de timonerie de 2e classe.
En Septembre 1909, date de son mariage, embarqué sur le transport-hôpital Tourville.
Par décision ministérielle du 1er juillet 1913 (J.O. 2 juill. 1913, p. 5.691 et 5.692), promu au grade de maître manœuvrier à compter du 1er juillet 1913.
Par décision ministérielle du 29 septembre 1913 (J.O. 30 sept. 1913, p. 8.631), promu au grade de premier maître manœuvrier à compter du 1er octobre 1913.
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 3 janvier 1917 (J.O. 4 janv. 1917, p. 147), inscrit au tableau spécial de la Médaille militaire.
Par décision ministérielle du 1er avril 1919 (J.O. 4 avr. 1919, p. 3.492), promu au grade de maître principal de manœuvre à compter du 1er avril 1919.
Admis à la retraite le 2 juillet 1921. Réunissait alors 349 mois et 24 jours de service dans les Équipages de la flotte, 13 mois et 21 jours au commerce, et 6 mois 13 jours à la petite pêche.
Par décret du Président de la République en date du 10 juillet 1921 (J.O. 12 juill. 1921, p. 8.070 et 8.072) nommé au grade de chevalier dans l’Ordre de la Légion d’honneur dans les termes suivants :
« Paquet (Henri), Toulon 2.765, maître principal de timonerie. Médaillé du 3 janvier 1917. 28 ans 2 mois de services dont 19 ans 2 mois à la mer. »
— PASCO Eugène Yves Marie, né le ... à ... (...) et décédé le ... à ... (...). Premier maître de timonerie, inscrit au quartier de Morlaix, n° 5.430. Commandement pris au Havre, le 25 février 1918.
Par décision ministérielle du 28 décembre 1912 (J.O. 30 déc. 1912, p. 11.023 et 11.025), promu au grade de second maître de manœuvre à compter du 1er janvier 1913.
Par décision ministérielle du 3 juillet 1916 (J.O. 5 juill. 1916, p. 5.934 et 5.935), promu au grade de maître timonier à compter du 1er juillet 1916.
Par décision ministérielle du 3 janvier 1918 (J.O. 5 janv. 1918, p. 236), promu au grade de premier maître timonier à compter du 1er octobre 1917.
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 19 juin 1921 (J.O. 20 juin 1921, p. 7.042 et 7.044), inscrit au tableau spécial de la Médaille militaire.
□ Fin Septembre 1918.
— DUMONT Victor Marcel, né le ... à ... (...) et décédé le ... à ... (...). Premier maître de manœuvre, inscrit au quartier de Lorient, n° 543.
Par décision ministérielle du 24 mars 1910 (J.O. 26 mars 1910, p. 2.572 et 2.573), promu au grade de second maître manœuvrier à compter du 1er avril 1910.
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 11 octobre 1915 (J.O. 13 oct. 1915, p. 7.354 et 7.355), inscrit au tableau spécial de la Médaille militaire.
Par décision ministérielle du 3 juillet 1916 (J.O. 5 juill. 1916, p. 5.934 et 5.935), promu au grade de maître de manœuvre.
Par décision ministérielle du 31 mars 1917 (J.O. 2 avr. 1917, p. 2.624), promu au grade de premier maître de manœuvre.
□ En 1919.
— PAQUET Henri, né le 4 juillet 1874 à Paris (VIe Arr.) et décédé le 24 février 1956 à Toulon (Var). Premier maître de manœuvre, inscrit au quartier de Toulon, f° et n° 2.765.
Fils de Maurice PAQUET, né vers 1836, bouchonnier, et d’Adeline OLIVIER, née vers 1852, son épouse (Registre des actes de naissance du VIe arrondissement de Paris, f° 85, acte n° 1.654). Époux d’Élisabeth Francine CURNIER, née le 18 juin 1880 aux Arcs (Var) et décédée le 9 janvier 1964 à Toulon (– d° –) (Registre des actes de naissance de la commune des Arc, Année 1880, acte n° 34), avec laquelle il avait contracté mariage à Toulon, le 23 septembre 1909 (Registre des actes de mariage de la ville de Toulon, Année 1919, acte n° 586).
Par décision ministérielle du 4 juillet 1902 (J.O. 5 juill. 1902, p. 4.756 et 4.757), promu au grade de second maître de timonerie de 2e classe.
En Septembre 1909, date de son mariage, embarqué sur le transport-hôpital Tourville.
Par décision ministérielle du 1er juillet 1913 (J.O. 2 juill. 1913, p. 5.691 et 5.692), promu au grade de maître manœuvrier à compter du 1er juillet 1913.
Par décision ministérielle du 29 septembre 1913 (J.O. 30 sept. 1913, p. 8.631), promu au grade de premier maître manœuvrier à compter du 1er octobre 1913.
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 3 janvier 1917 (J.O. 4 janv. 1917, p. 147), inscrit au tableau spécial de la Médaille militaire.
Par décision ministérielle du 1er avril 1919 (J.O. 4 avr. 1919, p. 3.492), promu au grade de maître principal de manœuvre à compter du 1er avril 1919.
Admis à la retraite le 2 juillet 1921. Réunissait alors 349 mois et 24 jours de service dans les Équipages de la flotte, 13 mois et 21 jours au commerce, et 6 mois 13 jours à la petite pêche.
Par décret du Président de la République en date du 10 juillet 1921 (J.O. 12 juill. 1921, p. 8.070 et 8.072) nommé au grade de chevalier dans l’Ordre de la Légion d’honneur dans les termes suivants :
« Paquet (Henri), Toulon 2.765, maître principal de timonerie. Médaillé du 3 janvier 1917. 28 ans 2 mois de services dont 19 ans 2 mois à la mer. »
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.