IMERINA - Compagnie des Messageries Maritimes

[Ar Brav]

Bonjour à tous,

IMERINA Cargo mixte de la Compagnie des Messageries Maritimes (1914-1932)

La fiche Miramar de l'Imerina :

IDNo: 5601365
Year: 1899
Name: SPARTA
Launch Date: 24.07.1899
Date of completion: 08.1899
Type: Passenger/cargo
Flag: DEU
Tons: 2816
Yard No: 506
LPP: 91.4
Beam: 12.8
Country of build: GBR
Builder: Richardson Duck
Location of yard: Thornaby
Number of
screws/Mchy/
Speed(kn): 1T-10
End: 1931

History:

1899 : SPARTA (A. C.de Freitas & Co, Hamburg, DEU)
1914 : IMERINA (Cie des Messageries Maritimes)

Disposal Data:

Wrecked off Manakara, E Madagascar 01.12.1931

http://www.miramarshipindex.org.nz/ship/show/240070

Cordialement,
Franck

[Ar Brav]

Bonjour à tous,

Pour en savoir plus sur l'Imerina des Messageries :

http://www.frenchlines.com/ship_fr_1165.php

Cordialement,
Franck

[Ar Brav]

Bonjour à tous,

Et pour en savoir encore plus sur l'Imerina des Messageries :

http://www.es-conseil.fr/pramona/imerina1.htm

Cordialement,
Franck

[Rutilius]

Bonsoir à tous,

Début Janvier 1915, le paquebot-poste Imerina, de la ligne de l’Océan Indien, était commandé par le commandant Poggi, selon un avis relatif aux bâtiments attendus ou en partance, publié dans la Dépêche malgache du Samedi 2 janvier 1915 (n° 10, p. 2) par l’agent général O. Clarke, qui représentait alors les intérêts de la Compagnie des Messageries maritimes à Tamatave.

Bien amicalement à vous,
Daniel.

[Rutilius]

Bonjour à tous,


■ Historique (complément).

— 13 novembre 1916 : Alors qu’il était amarré dans le port de Marseille, près du môle de la Pinède, avarié par un incendie. La majeure partie de la cargaison, propriété de l’État, est détruite par les eaux employées pour combattre les flammes.

Le Ministre de la Guerre réclama ultérieurement à la Compagnie des messageries maritimes la somme de 167.046,53 F. à raison des conséquences dommageables entraînées par le sinistre pour l’État. Ses prétentions furent définitivement rejetées par une décision du Conseil d’État en date du 29 juillet 1925, au motif qu’aucune faute lourde ne pouvait être imputée à la compagnie. La convention intervenue entre cette dernière et la puissance publique excluait, en effet, tout recours d’une partie contre l’autre à la suite d’un incendie, « sauf dans le cas où une faute lourde aurait été commise par l’affréteur ou par l’armateur » ; or, en la circonstance, l'existence d'une telle faute n’était aucunement établie par le ministre.


• Le Matin, n° 11.952, Vendredi 17 novembre 1916, p. 2, en rubrique « Faits divers ».





• Conseil d’État, 29 juillet 1925, n° 73.924, Compagnie des messageries maritimes (Rec., p. 750).