Bonjour à tous,
GENERAL FOY Voilier de la Société des Voiliers Français (1900-1923)
La fiche Miramar :
IDNo: 5618477
Year: 1900
Name: GENERAL FOY
Type: barque
Date of completion: 10.1900
Flag: FRA
Tons: 2300
Yard No: 39
LPP: 84.0
Beam: 12.3
Country of build: FRA
Builder: Loire
Location of yard: Nantes
Number of
screws/Mchy/
Speed(kn): sail
Owner as Completed: Société des Voiliers Français, Le Havre
End: 1923
Disposal Data:
BU Bolnes 18.07.1923
Cordialement,
Franck
GENERAL FOY - Voilier - Société des Voiliers Français
Re: GENERAL FOY - Voilier - Société des Voiliers Français
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Re: GENERAL FOY - Voilier - Société des Voiliers Français
Bonsoir à toutes et à tous,
Un marin du GENERAL FOY (Bâtiments de Servitude de [Brest ?]) :
LE GUEN Eugène Yves Marie né le 12/08/1898 à Plouha (Côtes-d'Armor (Côtes-Du-Nord en 1914)), Matelot de 3ème Classe Sans Spécialité - Décédé le 18/10/1916 (18 Ans) à l'hôpital de [Arine ?] (Guinée) de Malaria
La fiche MDH est difficile à lire : http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... 1010338524
Cordialement
Dominique
Un marin du GENERAL FOY (Bâtiments de Servitude de [Brest ?]) :
LE GUEN Eugène Yves Marie né le 12/08/1898 à Plouha (Côtes-d'Armor (Côtes-Du-Nord en 1914)), Matelot de 3ème Classe Sans Spécialité - Décédé le 18/10/1916 (18 Ans) à l'hôpital de [Arine ?] (Guinée) de Malaria
La fiche MDH est difficile à lire : http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... 1010338524
Cordialement
Dominique
Avec les Allemands, nous nous sommes tellement battus que nos sangs ne font plus qu'un [ Ferdinand Gilson, France, Figaro Magazine n°19053 du 05 nov. 2005 ]
Re: GENERAL FOY - Voilier - Société des Voiliers Français
Bonjour,
Général Foy est un des voiliers qui a échappé aux destructions de la guerre.
"Le capitaine Breuillé, qui a publié dans nos revues maritimes de nombreux articles sur la navigation à voiles, en prit le commandement dès son lancement. Quittant Nantes le 21 octobre 1900, il arriva à Thio (Nouvelle-Calédonie), le 21 janvier 1901, avec 90 jours de mer. Si on considère qu'il y a 12 700 milles marins (plus de 23 000 km) de l'entrée de la Loire à Thio, cela fait 140 milles par jour de moyenne, près de six noeuds de vitesse horaire sur le parcours direct. La carte de ce voyage, annexée au présent ouvrage et que M. Breuillé a bien voulu me communiquer, est un document intéressant à consulter. Elle montre que Général Foy ne fut pas favorisé de façon extraordinaire, qu'il eut du calme et des vents contraires."
C'est le capitaine Arnaudtizon qui lui succéda pour deux voyages (cf le sujet Jeanne Cordonnier).
Source : Louis Lacroix, Les derniers cap-horniers français, S. Pacteau, 1940.
Une photo du général Foy sur dock de carénage.
Source : Brigitte et Yvonnick Le Coat, Cap Horn, une vie, un mythe, Pascal Galodé, 2008, page 61.
Une photo au moment de la prise de remorque au moillage en Australie. L'équipage est sur le gaillard d'avant, après avoir pris la remorque et avant de remonter l'ancre au guindeau.
Source : Frédéric Grellier, Trésors cap-horniers, O Large éditions, 2010, page 53, photo Allan C. Green/Pictures collection, State Library of Victoria.
Cordialement
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Général Foy est un des voiliers qui a échappé aux destructions de la guerre.
"Le capitaine Breuillé, qui a publié dans nos revues maritimes de nombreux articles sur la navigation à voiles, en prit le commandement dès son lancement. Quittant Nantes le 21 octobre 1900, il arriva à Thio (Nouvelle-Calédonie), le 21 janvier 1901, avec 90 jours de mer. Si on considère qu'il y a 12 700 milles marins (plus de 23 000 km) de l'entrée de la Loire à Thio, cela fait 140 milles par jour de moyenne, près de six noeuds de vitesse horaire sur le parcours direct. La carte de ce voyage, annexée au présent ouvrage et que M. Breuillé a bien voulu me communiquer, est un document intéressant à consulter. Elle montre que Général Foy ne fut pas favorisé de façon extraordinaire, qu'il eut du calme et des vents contraires."
C'est le capitaine Arnaudtizon qui lui succéda pour deux voyages (cf le sujet Jeanne Cordonnier).
Source : Louis Lacroix, Les derniers cap-horniers français, S. Pacteau, 1940.
Une photo du général Foy sur dock de carénage.
Source : Brigitte et Yvonnick Le Coat, Cap Horn, une vie, un mythe, Pascal Galodé, 2008, page 61.
Une photo au moment de la prise de remorque au moillage en Australie. L'équipage est sur le gaillard d'avant, après avoir pris la remorque et avant de remonter l'ancre au guindeau.
Source : Frédéric Grellier, Trésors cap-horniers, O Large éditions, 2010, page 53, photo Allan C. Green/Pictures collection, State Library of Victoria.
Cordialement
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Memgam