Bonjour à tous,
Le CHATEAU d'IF était un trois mâts barque de 2.450 tx, lancé à Nantes le 28 juin 1900.
- très bonne traversée de 77 jours entre Liverpool et Fremantle en 1904,
- en mai 1910, il est vendu à la Compagnie Havraise de Navigation ( E.Corbet et Cie ), du Havre,
- transporte 3.160 tonnes de nitrate d'Iquique à Charleston via le canal de Panama,
- de mai 1920 à février 1921, effectue le voyage Nantes - Baltimore - Malmö - Christiana,
- arrive le 23 juin 1921 à Melbourne venant de CHristiana,
- reparti de Melbourne le 8 aout chargé de blé, rallie Falmouth en 113 jours et arrive à Cardif le 12 décembre 1921,
- entre dans le canal de la Martinière en février 1922 pour être démoli en 1924.
(source ," Marseille et Marine en bois" d'Henri Picard).
Cordialement,
Alain
Re: CHATEAU d'IF - Trois mâts barque
-
olivier 12
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Re: CHATEAU d'IF - Trois mâts barque
Bonjour à tous,
CHATEAU D'IF
Rapport de mer du Capitaine LE ROI, du château D'IF, relatif à son arrivée à Dakar en Décembre 1917
Rapport conservé dans les archives personnelles du capitaine GRONDIN du LEON BLUM
« A mon départ de Melbourne pour Bordeaux le 19 Mai 1917, j'ai reçu l'ordre de l'Amirauté anglaise de faire escale aux Açores pour prendre les instructions avant de franchir la zone du blocus.
J'ai mouillé en rade de Fayal le 15 Décembre 1917 et j'ai reçu l'ordre de faire route sur Dakar pour y déposer ma cargaison de blé.
Je n'avais ni instructions de la côte ouest d'Afrique, ni même cartes d'atterrissage de Dakar. J'ai pu obtenir cette dernière du schooner AMIRAL LAFONT qui était en relâche à Fayal, venant de Dakar.
J'ai reçu du consul d'Angleterre les avis aux navigateurs m'informant que les feux du Cap Vert pouvaient être éteints sans avis préalable.
Les avis aux navigateurs de Mars 1917 m'avaient été envoyés à Melbourne, mais sont arrivés après mon départ.
M'ayant été réexpédiés, ils me sont parvenus à mon arrivée à Dakar.
Si je n'avais pas fait escale aux Açores, je n'aurais rien su de l'extinction des feux. »
Signé LE ROI
Cdlt
CHATEAU D'IF
Rapport de mer du Capitaine LE ROI, du château D'IF, relatif à son arrivée à Dakar en Décembre 1917
Rapport conservé dans les archives personnelles du capitaine GRONDIN du LEON BLUM
« A mon départ de Melbourne pour Bordeaux le 19 Mai 1917, j'ai reçu l'ordre de l'Amirauté anglaise de faire escale aux Açores pour prendre les instructions avant de franchir la zone du blocus.
J'ai mouillé en rade de Fayal le 15 Décembre 1917 et j'ai reçu l'ordre de faire route sur Dakar pour y déposer ma cargaison de blé.
Je n'avais ni instructions de la côte ouest d'Afrique, ni même cartes d'atterrissage de Dakar. J'ai pu obtenir cette dernière du schooner AMIRAL LAFONT qui était en relâche à Fayal, venant de Dakar.
J'ai reçu du consul d'Angleterre les avis aux navigateurs m'informant que les feux du Cap Vert pouvaient être éteints sans avis préalable.
Les avis aux navigateurs de Mars 1917 m'avaient été envoyés à Melbourne, mais sont arrivés après mon départ.
M'ayant été réexpédiés, ils me sont parvenus à mon arrivée à Dakar.
Si je n'avais pas fait escale aux Açores, je n'aurais rien su de l'extinction des feux. »
Signé LE ROI
Cdlt
olivier
CHÂTEAU-D’IF — Trois-mâts barque — Compagnie havraise de navigation (Ed. Corblet & Cie) (1910~1922).
Bonsoir à tous,
Le trois-mâts barque Château-d'If
(Lieu et date inconnus)
National Library of Australia – State Library of Victoria
Allan C. Green collection of glass negatives
Image H 92.325/2263
Allan C. Green collection of glass negatives
Image H 92.325/2263
Dernière modification par Rutilius le mer. juin 01, 2022 11:17 am, modifié 1 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: CHATEAU d'IF - Trois mâts barque
Sur cet intéressant cliché présenté par Rutilius, on peut voir que l'ancre à jas, normalement posée sur le pont, a été soulevée, débordée, à l'aide de la grue de capon, avant d'être ensuite larguée, puis mouillée. Cette manoeuvre n'existe pas avec les ancres sans jas, dont la verge est remontée dans l'écubier, seules les pattes dépassent de la coque, comme on peut le voir sur la photo du trois mâts Léon Blum. Une photo, prise juste un peu plus tard, la grand-voile est alors complétement ferlée, a été présentée dans le récent album de Frédéric Grellier, Trésors cap-horniers, O Large éditions, 2010, page 24.
"Ernest Fournet, lieutenant à bord de Château d'If, nous a laissé le témoignage étonnant d'une traversée, recueilli par l'Amicale Internationale des Cap-Horniers. Le Château d'If quitte Hambourg le 30 avril 1914. Au sud de l'Australie, sous l'effet magnétique des terres, par tempête de vents d'ouest, le compas devient fou. En pleine nuit, les deux hommes de barre ne peuvent tenir l'arrière à la lame. Dans une embardée, le navire vient en travers, il se couche à chaque lame. Les deux huniers fixes partent dans un coup de tonnerre. Le navire donne des coups de roulis effrayants. Tout l'équipage réuni réussit à border une voile de cape. Dans la cambuse, les deux épontilles centrales ont cédé : le vin, la farine, les pommes de terre, tout va rouler dans un tintamarre assourdissant. Il faudra deux jours pour remettre tout en ordre dans la voilure et les vivres. Le capitaine, averti par Ernest Fournet du mauvais comportement du compas, vient, sans calcul préalable, fixer à l'aide de deux clous, à une certaine distance du compas, un fer doux de compensation ! Aussitôt, comme par enchantement, le compas devient stable ! Un mois après, au nord de la baie d'Auckland, un paquebot anglais lui signale que la guerre est déclarée, sans préciser avec quelle nation ! Le Château d'If atteint ainsi Thio, pour charger du nickel, d'où il repart le 29 décembre 1914. Il passe Horn à toucher terre le 8 février 1915 et arrive aux Casquets le 16 mai 1915. Il est ensuite remorqué au Havre où son chargement est attendu avec impatience."
Source : Marc Métayer, Les voiliers du Nickel, voyages en Nouvelle Calédonie, Alan Sutton, 2003, page 116
"Ernest Fournet, lieutenant à bord de Château d'If, nous a laissé le témoignage étonnant d'une traversée, recueilli par l'Amicale Internationale des Cap-Horniers. Le Château d'If quitte Hambourg le 30 avril 1914. Au sud de l'Australie, sous l'effet magnétique des terres, par tempête de vents d'ouest, le compas devient fou. En pleine nuit, les deux hommes de barre ne peuvent tenir l'arrière à la lame. Dans une embardée, le navire vient en travers, il se couche à chaque lame. Les deux huniers fixes partent dans un coup de tonnerre. Le navire donne des coups de roulis effrayants. Tout l'équipage réuni réussit à border une voile de cape. Dans la cambuse, les deux épontilles centrales ont cédé : le vin, la farine, les pommes de terre, tout va rouler dans un tintamarre assourdissant. Il faudra deux jours pour remettre tout en ordre dans la voilure et les vivres. Le capitaine, averti par Ernest Fournet du mauvais comportement du compas, vient, sans calcul préalable, fixer à l'aide de deux clous, à une certaine distance du compas, un fer doux de compensation ! Aussitôt, comme par enchantement, le compas devient stable ! Un mois après, au nord de la baie d'Auckland, un paquebot anglais lui signale que la guerre est déclarée, sans préciser avec quelle nation ! Le Château d'If atteint ainsi Thio, pour charger du nickel, d'où il repart le 29 décembre 1914. Il passe Horn à toucher terre le 8 février 1915 et arrive aux Casquets le 16 mai 1915. Il est ensuite remorqué au Havre où son chargement est attendu avec impatience."
Source : Marc Métayer, Les voiliers du Nickel, voyages en Nouvelle Calédonie, Alan Sutton, 2003, page 116
Memgam
Re: CHATEAU d'IF - Trois mâts barque
Bonjour,
La photo de Chateau d'If, évoquée ci-dessus.
Source : Fréderic Grellier, Trésors cap-horniers, O Large éditions, 2010, page 24.
Cordialement.
La photo de Chateau d'If, évoquée ci-dessus.
Source : Fréderic Grellier, Trésors cap-horniers, O Large éditions, 2010, page 24.
Cordialement.
Memgam
Re: CHATEAU d'IF - Trois mâts barque
Bonjour,
Plans du navire.
Source : Comité patrimoine de Saint-Briac, Le Cap Horn, une épopée briacine, Cristel éditions, 2011, page 25.
Cordialement.
Plans du navire.
Source : Comité patrimoine de Saint-Briac, Le Cap Horn, une épopée briacine, Cristel éditions, 2011, page 25.
Cordialement.
Memgam
Re: CHATEAU d'IF - Trois mâts barque
Bonjour,
Un des capitaines de Château d'If :
Eugène Marie Allain, né le 29 janvier 1872 à Saint-Briac, retraité en 1920, décédé le 4 mars 1942, photographié à bord de Château d'If à Leith, avec son épouse Augustine, née en 1880 et leur fils Eugène, né en 1902.
Commandements : Trois-mâts Cecile Auger en 1899-1900, trois-mâts Neuilly en 1900-1901, trois mâts Joinville 1902-1904, trois-mâts Bonneveine 1904-1909, trois-mâts Château d'If 1909-1915, trois-mâts Germaine 1915-1919.
Source : Comité patrimoine de Saint-Briac, Le Cap Horn, une épopée briochine, Cristel éditions, 2011, photo page 103.
Un des capitaines de Château d'If :
Eugène Marie Allain, né le 29 janvier 1872 à Saint-Briac, retraité en 1920, décédé le 4 mars 1942, photographié à bord de Château d'If à Leith, avec son épouse Augustine, née en 1880 et leur fils Eugène, né en 1902.
Commandements : Trois-mâts Cecile Auger en 1899-1900, trois-mâts Neuilly en 1900-1901, trois mâts Joinville 1902-1904, trois-mâts Bonneveine 1904-1909, trois-mâts Château d'If 1909-1915, trois-mâts Germaine 1915-1919.
Source : Comité patrimoine de Saint-Briac, Le Cap Horn, une épopée briochine, Cristel éditions, 2011, photo page 103.
Memgam
Re: CHATEAU d'IF - Trois mâts barque
Bonjour,
Dans l'ouvrage de Jean Randier, j'ai apparemment deux armements successifs pour ce navire :
(nota : il n'est pas fait mention de la Compagnie Havraise de Navigation ( E.Corbet et Cie ), du Havre)
A bientôt
Dans l'ouvrage de Jean Randier, j'ai apparemment deux armements successifs pour ce navire :
- Société des voiliers marseillais
- Brown et Corblet
(nota : il n'est pas fait mention de la Compagnie Havraise de Navigation ( E.Corbet et Cie ), du Havre)
A bientôt
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
CHÂTEAU-D’IF — Trois-mâts barque — Compagnie havraise de navigation (Ed. Corblet & Cie) (1910~1922).
Bonsoir à tous,
Château-d’If — Trois-mâts barque — Compagnie havraise de navigation (Ed. Corblet & Cie) (1910~1922).
____________________________________________________________________________________________
Château-d’If — Trois-mâts barque — Compagnie havraise de navigation (Ed. Corblet & Cie) (1910~1922).
Trois-mâts barque en acier lancé le 26 juin 1900 par l’établissement de Nantes de la Société anonyme des Ateliers et chantiers de la Loire [Siège social à cette date : Paris, 11 bis, boulevard Haussmann (IXe Arr.)] pour le compte de la Société marseillaise de voiliers, société anonyme au capital initial de 1.100.000 fr., constituée le 11 juillet 1899 pour une durée de 20 ans [Siège social initial : Marseille, 18, rue Beauveau (Ier Arr.)] (Archives commerciales de la France, n° 65, Mercredi 16 août 1899, p. 1.037). Immatriculé au quartier de Marseille, f° 1.354, n° 4.060. Signal distinctif : H.R.P.C. (1) Troisième navire construit pour le compte de cette société.
Avec le trois-mâts Cannebière, cédé en Mai 1910 à la société Ed. Corblet & Cie, dite Compagnie havraise de navigation [Siège social : Le Havre, 1, rue Édouard Larue]. Francisé au Havre le 21 octobre 1910, n° 4.828 ; immatriculé audit quartier, f° 470, n° 1.412. Signal distinctif : O.E.K.Y. (2) (3)
Initialement armé au Havre le 27 octobre 1910, n° 422 ; désarmé le 15 novembre 1911 au même quartier, n° 425. Capitaine Eugène Marie ALAIN, né le 29 janvier 1872 à Saint-Brieuc (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’Armor), capitaine au long-cours, inscrit au quartier de Saint-Malo, n° 615. Voyage au nitrate à Me-jillones (Chili) avec 21 hommes d’équipage. Un disparu, Eugène Vincent CACUSSEY, né le 20 mai 1866 à Pleubian (– d° –), tombé accidentellement à la mer depuis la vergue de hunier fixe le 9 mars 1911, par 37° S. et 77° W., dans la traversée de Cardiff (Pays de Galles, Royaume-Uni) à Mejillones ; matelot inscrit au quartier de Tréguier, n° 6.557 (4).
En dernier lieu, armé au long-cours le 8 février 1921 à Cherbourg, n° 23 ; désarmé le 12 février 1922 à Nantes, n° 93. Capitaine Louis NÉDELLEC. Voyage au blé à Melbourne (Australie) ; cargaison déchargée à Car-diff en Décembre 1921. Entré au Canal de la Martinière le 22 février 1922.
Radié de la matricule des bâtiments de commerce le 11 mai 1922 ; radiation autorisée par les Douanes le 3 avril 1924.
Vendu à la démolition en Avril 1924 à une société néerlandaise établie à Rotterdam.
Caractéristiques générales. — Jauge : 2.589,41 tx jbt, 2.449,53 tx jb et 1.880,19 tx jn. Dimensions : 84,26 x 12,29 x 6,87 m. Port en lourd : 3.200 t. (2) Voilure : 2.631 m².
____________________________________________________________________________________________
(1) Lloyd’s Register of Shipping 1904~1905, Lettre C., n° 440, p. num. 116.
(2) Inscription maritime — Quartier du Havre — Matricules des bâtiments de commerce — 1902~1980 — n°ˢ 1.198 à 1.796 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 6Psup01_06, p. num. 110.
(3) Lloyd’s Register of Shipping 1911~1912, Lettre C., n° 301, p. num. 94.
(4) Inscription maritime ― Quartier du Havre ― Rôles des bâtiments de commerce — Désarmements, n°ˢ 401 à 491 (1911) ― n° 425, 15 novembre 1911 : Archives départementales de la Seine-Maritime, Cote 6 P 6_754, p. num. 316 à 330.
Avec le trois-mâts Cannebière, cédé en Mai 1910 à la société Ed. Corblet & Cie, dite Compagnie havraise de navigation [Siège social : Le Havre, 1, rue Édouard Larue]. Francisé au Havre le 21 octobre 1910, n° 4.828 ; immatriculé audit quartier, f° 470, n° 1.412. Signal distinctif : O.E.K.Y. (2) (3)
Initialement armé au Havre le 27 octobre 1910, n° 422 ; désarmé le 15 novembre 1911 au même quartier, n° 425. Capitaine Eugène Marie ALAIN, né le 29 janvier 1872 à Saint-Brieuc (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’Armor), capitaine au long-cours, inscrit au quartier de Saint-Malo, n° 615. Voyage au nitrate à Me-jillones (Chili) avec 21 hommes d’équipage. Un disparu, Eugène Vincent CACUSSEY, né le 20 mai 1866 à Pleubian (– d° –), tombé accidentellement à la mer depuis la vergue de hunier fixe le 9 mars 1911, par 37° S. et 77° W., dans la traversée de Cardiff (Pays de Galles, Royaume-Uni) à Mejillones ; matelot inscrit au quartier de Tréguier, n° 6.557 (4).
En dernier lieu, armé au long-cours le 8 février 1921 à Cherbourg, n° 23 ; désarmé le 12 février 1922 à Nantes, n° 93. Capitaine Louis NÉDELLEC. Voyage au blé à Melbourne (Australie) ; cargaison déchargée à Car-diff en Décembre 1921. Entré au Canal de la Martinière le 22 février 1922.
Radié de la matricule des bâtiments de commerce le 11 mai 1922 ; radiation autorisée par les Douanes le 3 avril 1924.
Vendu à la démolition en Avril 1924 à une société néerlandaise établie à Rotterdam.
Caractéristiques générales. — Jauge : 2.589,41 tx jbt, 2.449,53 tx jb et 1.880,19 tx jn. Dimensions : 84,26 x 12,29 x 6,87 m. Port en lourd : 3.200 t. (2) Voilure : 2.631 m².
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(1) Lloyd’s Register of Shipping 1904~1905, Lettre C., n° 440, p. num. 116.
(2) Inscription maritime — Quartier du Havre — Matricules des bâtiments de commerce — 1902~1980 — n°ˢ 1.198 à 1.796 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 6Psup01_06, p. num. 110.
(3) Lloyd’s Register of Shipping 1911~1912, Lettre C., n° 301, p. num. 94.
(4) Inscription maritime ― Quartier du Havre ― Rôles des bâtiments de commerce — Désarmements, n°ˢ 401 à 491 (1911) ― n° 425, 15 novembre 1911 : Archives départementales de la Seine-Maritime, Cote 6 P 6_754, p. num. 316 à 330.
____________________________________________________________________________________________
Bibliographie
— Fréderic GRELLIER : « Trésors cap-horniers », Vol. I., O Large éditions, 2010, 108 p. — Spécialement page 24.
— Henri PICARD : « La fin des cap-horniers. Les dernières aventures des long-courriers français. », éd. Édita, Lausanne, 1976, 187 p. — Spécialement p. 53.
— Henri PICARD : « Marseille et marine en bois (1880~1925) », préface de Félix Reynaud, éd. Michel Schefer, Marseille, 1983, 200 p. — Spécialement p. 106.
____________________________________________________________________________________________— Henri PICARD : « La fin des cap-horniers. Les dernières aventures des long-courriers français. », éd. Édita, Lausanne, 1976, 187 p. — Spécialement p. 53.
— Henri PICARD : « Marseille et marine en bois (1880~1925) », préface de Félix Reynaud, éd. Michel Schefer, Marseille, 1983, 200 p. — Spécialement p. 106.
• Le Phare de la Loire, n° 27.825, Jeudi 28 juin 1900, p. 2.
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Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: CHATEAU d'IF - Trois mâts barque
Bonjour,
Et merci Daniel pour ces précisions concernant les armements du navire.
Je vais relire l'ouvrage de Randier pour essayer de comprendre d'où provient l'information sur l'armement "Brown et Corblet" qui est en fait la société Ed. Corblet & Cie, dite Compagnie havraise de navigation ...
A bientôt.
Réponse apporté par Daniel dans ce message : viewtopic.php?f=29&t=47026
Et merci Daniel pour ces précisions concernant les armements du navire.
Je vais relire l'ouvrage de Randier pour essayer de comprendre d'où provient l'information sur l'armement "Brown et Corblet" qui est en fait la société Ed. Corblet & Cie, dite Compagnie havraise de navigation ...
A bientôt.
Réponse apporté par Daniel dans ce message : viewtopic.php?f=29&t=47026
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.