Fusillier Marin mort à Dixmude

Avatar de l’utilisateur
valier
Messages : 589
Inscription : lun. sept. 24, 2007 2:00 am

Re: Fusillier Marin mort à Dixmude

Message par valier »

Bonjour à tous,

Pour ceux que celà intéresse, voici la fiche d'un Fusillier-Marin tué à Dixmude en 1917.
A dire vrai, je ne comprends pas très bien les circonstances de sa mort; quelqu'un pourrait-il m'éclairer ? :???:

Merci et bonne soirée.

Jacques

Image
Un Homme n'est jamais tout à fait mort tant qu'il y a quelqu'un pour prononcer son nom.
Avatar de l’utilisateur
Ar Brav
Messages : 6122
Inscription : mar. avr. 25, 2006 2:00 am

Re: Fusillier Marin mort à Dixmude

Message par Ar Brav »

Bonjour à tous,
Pour ceux que celà intéresse, voici la fiche d'un Fusillier-Marin tué à Dixmude en 1917.
A dire vrai, je ne comprends pas très bien les circonstances de sa mort; quelqu'un pourrait-il m'éclairer ? :???:
Merci et bonne soirée.
Jacques
Bonjour Jacques,
Bonjour à tous,

Merci pour la fiche du marin.
Je vous prépare un p'tit truc sur le passage du Saint Jansbeck dès que faire se peut (j'ai commencé, mais pas très doué pour la retranscription)

A bientôt et bon week end,
cordialement,
Franck
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Avatar de l’utilisateur
Ar Brav
Messages : 6122
Inscription : mar. avr. 25, 2006 2:00 am

Re: Fusillier Marin mort à Dixmude

Message par Ar Brav »

Bonsoir Jacques,
Bonsoir à tous,

Voici un extrait du carnet de route du second-maître fusilier Renou, de la 3ème compagnie du Bataillon de Fusiliers Marins. Pour une meilleure compréhension des circonstances du passage du Saint Jansbeck, il convient de revenir quelques jours plus tôt.

22 octobre 1917.

Le Goff et Toul sont venus me féliciter ce matin d'avoir parlé de Quer* que nous aimons tous.
Il n'est bruit autour de la roulante que d'un prochain départ, aussi j'ai passé toute ma journée à faire mon carnet de route.


* Pour la petite histoire, Jean Quer est le grand-père de mon épouse.

23 octobre 1917.

On part.
Avec un peu de retard, on nous lit un ordre du jour du Général Commandant le 1er C.A., il est daté du 27 Août.


"Au cours des attaques de Juillet et Août 1917 dans les Flandres, le Bataillon de Fusiliers-Marins, rattaché au 1er C.A., a été à la hauteur de sa réputation légendaire.
Admirable troupe d'attaque, animée d'un esprit d'offensive sans égal, a montré dans un terrain difficile de remarquables qualités manœuvrières.
Sous l'habile direction du Capitaine de Frégate De Maupéou, qui a su inspirer à sa troupe l'ardeur qui l'anime, ce bataillon a obtenu des résultats magnifiques. Je le propose pour une citation à l'ordre de l'Armée, qui sera l'expression des remerciements de l'Armée de Terre à ses vaillants camarades de la Marine."

27 Août 1917
LACAPELLE

Quelqu'un a dit : "Voilà des fleurs qui ne sentent pas bon".

Absorbés que nous étions par les préparatifs du départ, tout cela fut immédiatement oublié.
Repas à 11 heures. Midi, roulante et matériel sont embarqués dans un train. 14 heures, la Cie prend place dans des camions qui nous déposent 4 heures plus tard à Oostleveteren.
La roulante arrive au cantonnement à 20 heures avec du café et de la soupe. Çà nous suffit car il fait froid et tout le monde est pressé d'aller s'étendre sur la paille.


24 octobre 1917.

Distribution des grenades aux nettoyeurs de tranchée. Nettoyage des armes. Inspection des masques. Les havresacs sont placés dans les voitures régimentaires puisqu'il est entendu que désormais on ne l'aura plus sur le dos pour attaquer. Chaque homme conserve simplement sa toile de tente qu'il portera roulée en sautoir.
13 heures, la Cie se met en route pour Widchotte où elle arrive à la tombée de la nuit. La 4ème Cie est déjà là. Nous mangeons un peu de soupe et de boeuf bouilli, puis nous nous installons dans des trous d'obus pour passer la nuit.

Nous sommes on réserve de Bataillon, les 1ère et 2ème Cies doivent attaquer demain pour prendre position sur les lignes de départ.

25 octobre 1917.

A 1h30 du matin, la 3ème et la 4ème compagnie sont alertées et montent en soutien des 1ère et 2ème compagnies qui sont durement bombardées. Déjà des blessés gagnent l'arrière. L'un d'eux nous dit : "Ca chauffe là bas, le Capitaine Debrabant a été tué, il n'y a pas moyen de passer le terrain est inondé". A 6 heures le bombardement redouble, cette fois c'est un tir de barrage, l'attaque doit être commencée puisque les blessés passent de plus en plus nombreux.
13 heures, un blessé nous annonce que les 2 Cies ont atteint leur ligne de départ, la ferme des Deux Lucarnes.
Nous passons toute la journée dans nos trous d'obus sans être inquiétés.
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Avatar de l’utilisateur
Ar Brav
Messages : 6122
Inscription : mar. avr. 25, 2006 2:00 am

Re: Fusillier Marin mort à Dixmude

Message par Ar Brav »

26 octobre 1917.

Il est 2 heures du matin quand nous recevons l'ordre d'envoyer deux hommes par escouade chercher des vivres à la roulante qui se trouve à Bixschotte. S'étant égarés ils ne reviennent qu'à 5 heures avec du café et de la soupe. La distribution achevée ils repartent cher¬cher le pain et le vin. A 20 heures, nouvelle distribution de soupe, de café et de boeuf bouilli. Il n'y a plus qu'à dormir.

PASSAGE DU SAINT JANSBECK :

27 octobre 1917.

A 2h ½ du matin les 3ème et 4ème Cies ont été alertées. Elles devaient à 3h15 se porter en avant, à hauteur et à droite des 1ère et 2ème Cies. Dans la nuit froide, les hommes engourdis avaient roulé leur toile de tente en silence. Sachant qu'il y aurait beaucoup de boue, tout le monde s'était confectionné des bottes avec des sacs à terre liés au dessus du genou. D'autre part comme il était prescrit de suivre le barrage d'artillerie à moins de 50 m si possible, des plastrons d'acier constitués par un assemblage de lames métalliques horizontales mobiles, s'attachant sous les bras et au dessus des fesses, avaient été mis à la disposition de ceux qui devaient constituer la 1ère vague d'assaut. Chaque cuirasse pesant entre 7 et 8 kg, personne n'en voulut.
A 3 heures je suis passé sur le front de la section pour informer les hommes que nous partions dans 15 minutes. Tous avaient terminé leurs préparatifs. Debout ou assis ils regardaient fixement dans la nuit ; quelques uns cependant buvaient une dernière gorgée à leur bidon sans faire aucune réflexion.
Une seconde fois j'étais repassé. Attention encore 5 minutes.... Attention encore 5 minutes.

Je n'avais pas entendu un murmure mais j'avais vu un, puis deux, puis dix hommes se mettre à genoux. Est-ce parce que j'avais le pressentiment de n'en pas revenir cette fois-ci ?... J'ai fait comme eux...
3h15, en avant !...

Bien alignée, la Cie en petites colonnes par un, s'était enfoncée dans la nuit. Vingt minutes plus tard elle abordait l'immense marais formé par le Saint Jansbeck débordé. Le passage de la rivière se fit sur des passerelles de fortune avec de l'eau jusqu'aux mollets. C'est ensuite que commença la grande pagaille. De minute en minute la boue se faisait plus épaisse et bientôt elle atteignit le dessus des genoux. Il n'était pas question d'appuyer à droite ou à gauche, c'était partout pareil. Si les Allemands avaient bombardé avec des schrapnels nous y serions tous restés. Avancer de quelques mètres devenait un exploit.

Il y eut un moment de panique dans ma section quand on entendit appeler : Au secours !...
Girod s'était enlisé jusqu'à la poitrine. Heureusement son voisin se trouvait à quelques mètres de lui, il put s'approcher assez près pour lui lancer une extrémité de sa toile de tente roulée et lui faire reprendre pied.

Au début de la progression on put s'aider ainsi les uns les autres, mais très vite cela devint impossible avec de la vase jusqu'aux cuisses et de l'eau jusqu'au nombril. Des hommes découragés ou trop fatigués restaient sur place ne pouvant plus se décoller. D'autres en poussant un cri disparaissaient d'un bloc dans un trou d'obus invisible. Le plus épouvantable fut l'agonie de B... et de L.P...

Tombés dans un trou d'où n'émergeaient que la tête et les épaules. Levant les bras au ciel ils appelèrent à l'aide pendant cinq minutes. B... criait sans arrêt : "Aidez-moi !... Aidez-moi !...". L.P... hurlait : "Ne me laissez pas crever comme ça!... J'ai 3 gosses !...
Les gars aidez-moi, ayez pitié, pitié....

Tout doucement, tout doucement, sous nos yeux, ils disparurent l'un après l'autre en nous maudissant.

Ce fut une chose atroce qu'on ne pourra pas oublier... Combien y eut-il de cas semblables dans la Cie ?... On ne le sut jamais. Finalement on prit pied sur la terre ferme. Il était 7 h moins le quart, on avait donc mis plus de 3 heures pour faire moins de 600 m.
Nous n'étions plus que des blocs de boue ambulants. Quelques uns avaient perdu leur fusil, d'autres avaient abandonné leur capote, mais tout le monde avait largué dès les premières minutes les similis-bottes.
Tandis que la Cie se regroupait beaucoup d'hommes en profitaient pour couper le bas de leur capote devenue cuirasse.

Notre moine polyglotte battit une fois encore tous les records en arrivant tout nu, n'ayant conservé que ses souliers, un tricot et un jersey non règlementaire à col montant. Bien entendu arme et fourniment étaient restés dans la vase comme le reste. Posément il retira son jersey et enfila ses jambes dans les manches le plus naturellement du monde, sans dire un mot. Un camarade lui donna une ceinture et un autre une toile de tente.
Après 10 minutes de repos la Cie reprit sa progression et à 7h30 elle arrivait enfin à Hin-Het-Hoekje cabaret qui était l’objectif du 2ème bond, elle y trouvait la 1ère compagnie, sa coéquipière, la 2ème était restée embourbée et ne devait rejoindre que bien plus tard.

La continuation de l'attaque jusqu'à l'objectif final revenait maintenant à la 3ème Cie appuyée par la 4ème.

A 8h10 précédée par un formidable barrage roulant elle partait à l'assaut.
Les hommes furent merveilleux d'allant. A 8h45 sur la ligne "Gendarmerie Kastel Britania" nous fûmes pris de flanc par un tir de mitrailleuse. Le Lieutenant observateur d’artillerie fut atteint une première fois par une balle et presque aussitôt par un éclat d’obus qui l’éventra. N’ayant plus de capote, on voyait ses intestins sortir. Le soigner, l’évacuer, était impossible, on s’écarta tandis qu’un coup de feu claquait...

Quelques minutes plus tard, le peloton rejoignait le reste de la Cie derrière un tir de barrage encore accentué.
Tandis que la vague d'assaut disparaissait dans la fumée des explosions, mes nettoyeurs de tranchées couraient d’un abri à l’autre pour neutraliser avec des grenades les éventuels rescapés du barrage. En fait on ne trouva que des cadavres.

Vers 10h30 la Cie atteignit la ligne "Ferme du Gyroscope – Ferme des aviateurs – Ferme des deux Chapelles" qui était l’objectif final. Elle s’y installa en liaison avec la 4ème Cie.

Vers 14 heures, Combescure (note : lieutenant de vaisseau commandant la compagnie), insatiable, envoya une section en reconnaissance à la Ferme Bourgeois à 250 m en avant de nos positions, puis une autre pour tâter la ferme Adhémar à 500 m environ. Malgré un tir d’artillerie, assez mal réglé d’ailleurs, elles finirent l’une et l’autre par y arriver et ramasser au gite 12 prisonniers et un très important matériel.
C'était amusant de voir les prisonniers gagner l’arrière sans gardiens. On leur indiquait du geste la direction à suivre, ils faisaient oui de la tête en riant et continuaient rapidement leur chemin sans oublier de se jeter à plat ventre avec ensemble quand il fallait.

A 15 heures, la Cie regroupée s'installa comme elle put dans les trous d’obus pour y passer la soirée et la nuit.

Manger, il n'en fut pas question puisque l'eau et la boue avaient noyé le contenu des musettes. Il ne restait que le vin, car si presque tout le monde avait abandonné son outil individuel dans le marais, personne à l’exception du "moine" n’avait jeté son bidon. Cazobon ayant sauvé une petite boite de sardines la partagea avec Le Goff et moi. Je crois que rares furent ceux qui eurent pareille chance.

En prévision d'une contre-attaque possible, tout le monde resta éveillé. Sous la protection de quelques sentinelles avancées, chacun se mit en devoir de gratter la cuirasse de boue qui le recouvrait jusqu'à la ceinture. Les sacs à terre envoyés par les pionniers furent rapidement transformés en chaussettes russes, en caleçons et en plastrons car on crevait de froid. Quand nous fumes définitivement installés sur nos positions, les hommes du service des Transmissions entrèrent en action pour établir la liaison avec les P.C. J'avais été sidéré par leur façon d'opérer. Ils appelaient cela la T.P.S. Ils plaçaient un amas de grillage ordinaire dans la boue, ce grillage était relié par un fil électrique à un opérateur, qui bien à l'abri dans un trou, signalait en morse à son copain du P.C. de Cie, lui en faisait autant avec le P.C. du Bataillon. C'est un truc qu'on avait, paraît-il, découvert chez les Allemands. Il avait cependant deux inconvénients : sa portée était inférieure à 2 kms et l'ennemi pouvait aussi bien que nous capter les messages.
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Avatar de l’utilisateur
Ar Brav
Messages : 6122
Inscription : mar. avr. 25, 2006 2:00 am

Re: Fusillier Marin mort à Dixmude

Message par Ar Brav »


29 octobre 1917.

Vers 5 heures du matin nous fûmes relevés par des biffins. On prit un chemin de retour autre que celui-de l'attaque, si bien que l'on put repasser le Saint Jansbeck presqu'à pied sec.
On fit une pause à Smiske Cabaret, puis on gagna Pipegaal où la roulante nous attendait avec un copieux rata. Le cuistot avait bien fait les choses puisque pour la 1ère fois il y eut du rabiot pour tout le monde. On dormit une heure avant de gagner la région de Oostleveteren. Pour une fois nous riâmes de bon cœur. Notre "moine" barbu marchait au centre de la section, le ventre à l'air et les jambes crasseuses enfilées dans son jersey, dont le col pendait comme une mamelle entre ses cuisses.


10 novembre 1917.

Il paraît que nous sommes le 10 novembre. Ayant perdu une partie de mes notes et mon crayon dans le marais du Saint Jansbeck, c'est de mémoire que je relate aujourd'hui les évènements qui se sont déroulés depuis le 26 Octobre.
Combescure a renvoyé notre "moine" en France après lui avoir fait confectionner des vêtements de fortune par une couturière du village. Si comme combattant il était nul, en tant que cuistot il valait 17. Il est possible que nous le regrettions bientôt.

Par le gros Charles, fourrier de l'E.M., j'ai obtenu des renseignements extraits d'un compte rendu destiné à la D.I.


Attaques et reconnaissances du 31.07 au 18.08 :

Pertes : 17 tués, 3 enlisés, 75 blessés : 95
Gains : 158 prisonniers, 1 obusier, 2 canons
de 77, 2 lance-bombes, 4 mitrailleuses.

Attaque du 26 Octobre :

Pertes : 9 tués, 2 enlisés, 71 blessés : 82
Gains : 48 prisonniers.

Attaque du 27 Octobre :

Pertes : 12 tués ou enlisés, 60 blessés : 72
Gains : 27 prisonniers.

Hors de combat : 249
soit 15 % de l'effectif.

J'ai pu recopier également une lettre du Général Valentin au Commandant De Maupéou, que l'on doit communiquer aux Cies demain :

133ème D.I. G. Q. le 28/10/1917
E.M. 3ème Bureau


Le Général VALENTIN,
Commandant la 133ème D.I. d'Infanterie
à Monsieur le Commandant du Bataillon des Fusiliers-Marins.

Mon Cher Commandant,

Je vous prie de transmettre à vos merveilleux officiers, maîtres, quartiers-maîtres et marins du détachement des Fusiliers-Marins toute mon admiration pour l'élan remarquable qu'ils ont montré dans les dures et délicates opérations des 26 et 27 Octobre.

Ils se sont distingués parmi les braves de ma D.I. "La Gauloise".

L'honneur d'avoir commandé d'aussi belles troupes ne s'effacera jamais de mon souvenir.
Commandant, je déplore vos pertes qui ont été sévères, mais après avoir salué bien bas ceux qui sont tombés pour la Patrie, je vous adresse, à vous, à vos officiers et à vos marins mes bien vives félicitations.
Le détachement de Fusiliers-Marins de la 1ère Armée s'est une fois de plus montré troupe d'élite parmi les élites.

Croyez, Mon cher Commandant, à tout mon affectueux dévouement.

Signé : Général VALENTIN.


Voilà, j'espère que cet extrait aura pu vous éclairer sur les conditions et circonstances du franchissement du Saint Jansbeck.

Cordialement,
Franck

www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Avatar de l’utilisateur
valier
Messages : 589
Inscription : lun. sept. 24, 2007 2:00 am

Re: Fusillier Marin mort à Dixmude

Message par valier »

Bonjour à tous,

Merci Franck pour cette histoire passionnante et terrible dont j'ignorais tout (Mais j'en ignore tellement ...).

Au passage, j'ai 2 ou 3 autres fiches de fusilliers-marins à vous transmettre; par MP, peut-être ?

Bonne journée.

Jacques
Un Homme n'est jamais tout à fait mort tant qu'il y a quelqu'un pour prononcer son nom.
Avatar de l’utilisateur
Ar Brav
Messages : 6122
Inscription : mar. avr. 25, 2006 2:00 am

Re: Fusillier Marin mort à Dixmude

Message par Ar Brav »

Bonjour Jacques,
Bonjour à tous,

Content d'avoir pu vous être utile. Pour les fiches, avec plaisir, faites au plus pratique pour vous : en ligne ou en MP, aucun problème.

Bonne journée et bonne semaine à vous et à tous,
Cordialement,
Franck
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Avatar de l’utilisateur
Ar Brav
Messages : 6122
Inscription : mar. avr. 25, 2006 2:00 am

Re: Fusillier Marin mort à Dixmude

Message par Ar Brav »

Re,

J'ai oublié de préciser au sujet de la fiche, que l'action se situe tout de même un peu loin de Dixmude (11,5 kms), et plus près d'Ypres (8,6 kms).
Si un ami Belge peut confirmer ;) . Sans doute le conditionnement Pavlovien qui veut que Fusilier Marin = Dixmude.

Cordialement,
Franck
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
landelle
Messages : 143
Inscription : ven. mars 28, 2008 1:00 am

Re: Fusillier Marin mort à Dixmude

Message par landelle »

Infos complémentaires sur Charles Renon

Image
landelle
Messages : 143
Inscription : ven. mars 28, 2008 1:00 am

Re: Fusillier Marin mort à Dixmude

Message par landelle »

suite et fin sur Charles Renon

Recherche une photo car ainsi je pourrai faire une fiche sur lui sur le site du musée des fusiliers marins de Lorient

Extrait livre De Dixmude à Laffaux / Paul Broise
Livre d'or des fusiliers marins

Image
Répondre

Revenir à « Parcours individuels et recherches »