Bonsoir
Je viens de découvrir le forum et j'arrive "après la bataille". Je cherche des renseignements sur le Watt et j'ai quelques infos qui pourraient vous intéresser. Francis Lebret, le père de mon beau-frère, était à bord du Watt lors de l'incident. D'après ce qu'il en sait le commandant Bouléry n'est pas mort immédiatement et il a donné sa montre à celui qui l'a assisté dans ces derniers moments et cet homme c'était Francis Lebret. Par ailleurs cet évènement est arrivé à la suite d'une incompréhension : le pavillon du Watt était roulé et il aurait pu se confondre avec celui de l'Allemagne. N'ayant pu identifier le sous-marin les Anglais auraient alors tiré (il ne m'a pas parlé d'Américains). Voilà ce que sait mon beau-frère (Raoul Lebret) mais il n'a pas eu ses infos directement par son père, ce dernier est mort en 1929 alors que son fils n'avait que 5 ans, c'est sa mère qui lui a transmis et elle lui a fait voir la montre.
J'attends la question "qu'est devenue la montre" Il ne s'en souvient pas. Bien qu'il ait encore une bonne mémoire certains détails se sont effacés.
Au seuil de sa vie je pense qu'il aimerait en savoir plus, il va avoir 93 ans, et ignore complètement les états de service de son père pendant la guerre de 14/18. Si vous avez des infos (et il y en déjà pas mal sur le forum) et si vous pouvez m'aider pour retrouver ces états de service ce serait sympa.
Bonne soirée à tous
Thoemi
WATT - Sous-marin
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Re: WATT - Sous-marin
Bonjour à tous,
Voici les deux CP qui prouvent le manque de discrétion de ce sous-marin quand il naviguait en surface...


Cdlt
Voici les deux CP qui prouvent le manque de discrétion de ce sous-marin quand il naviguait en surface...


Cdlt
olivier
Re: WATT - Sous-marin
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Bonsoir Thoemi,
Bonsoir Thoemi,
S'agit-il de Francis Eugène LEBRET, né le 25 janvier 1890 à Cancale (Ille-et-Vilaine) et décédé el 6 avril 1930 à Dieppe (Seine-Inférieure – aujourd’hui Loire-Atlantique –) ?« Francis Lebret, le père de mon beau-frère, était à bord du Watt lors de l'incident. »
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: WATT - Sous-marin
Bonjour,
Source : Gérard Garier, L'odyssée technique et humaine du sous-marin en France, Tome 3, A l'épreuve de la Grande guerre, Marines éditions, avril 2002, pages 139 et 140.
Cordialement.


Source : Gérard Garier, L'odyssée technique et humaine du sous-marin en France, Tome 3, A l'épreuve de la Grande guerre, Marines éditions, avril 2002, pages 139 et 140.
Cordialement.


Memgam
Re: WATT - Sous-marin
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Bonsoir Thoemi,
S'agit-il de Francis Eugène LEBRET, né le 25 janvier 1890 à Cancale (Ille-et-Vilaine) et décédé el 6 avril 1930 à Dieppe (Seine-Inférieure – aujourd’hui Loire-Atlantique –) ?
Bonsoir
Oui nous parlons bien du même homme. Je suis allé chez mon beau-frère et je suis tombé sur une manne de clichés. J'ai même de la "fanfare du Watt" . Bon, il faut dire que certains ont très mal vieilli mais cela reste des documents d'époque. J'ai aussi plusieurs photos de l'enterrement du commandant et du canonnier et une photo du canonnier Lambert Je ne pense pas que tout puisse passer par le forum. J'envoie celle où il y a l'équipage. J'en ai d'autres pour ceux qui sont intéressés j'ai de quoi faire mais je pense que je ne pourrai envoyer tout ça en plusieurs fois que par "we transfer". Je viens de faire une tentative pour expédier une photo de groupe de l'équipage mais ça coince, même en la compressant. Bref il y a peut-être une combien, à vous de me le dire (certaines photos font 4,5 mo et le forum ne les autorise pas)
Bonne soirée et à bientôt car j'ai hâte de vous faire parvenir ces clichés qui, j'en suis certain, seront dans les mains de passionnés
Thoemi
Re: WATT - Sous-marin
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Bonsoir à tous,
Watt – Sous-marin de haute mer de type Pluviôse (1910~1919).
Le sous-marin Watt fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre :
– du 31 décembre 1916 au 13 juillet 1917 ;
– du 17 août au 19 novembre 1917 ;
– du 14 février au 29 mars 1918 ;
– du 15 juin au 9 décembre 1918.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 775.].
■ Historique (complément).
— 26 août 1905 : Ordre de mise en chantier. Numéro de coque, Q. 75.
— 16 octobre 1906 : Montage sur cale à Rochefort-sur-Mer.
— 18 juin 1909 : Coque mise à flot.
— 17 juillet 1909 : Par décision ministérielle de même date concernant la dénomination des 20 sous-marins de la série Q. 70 à Q. 89 (J.O. 21 juill. 1909, p. 7.817), la coque Q. 75 reçoit le nom de Watt.
— Novembre 1909 : Avec les sous-marins Cugnot et Fresnel, affecté à un groupe offensif constitué au port de Brest ; création à la même date et dans le même port d’un groupe défensif comprenant les sous-marins Aigrette, Espadon, Silure, Sirène et Triton, plus une unité de remplacement (Navigazette, n° 1.075, Jeudi 2 déc. 1909, p. 4).
— Février 1910 : Effectue des essais de plongée à grande profondeur avant d’entrer en armement définitif (L’Ouest Éclair – éd. de Rennes –, n° 4.042, Mercredi 16 févr. 1910, p. 5, en rubrique « Dépêches maritimes ~ Marine nationale »).
— Début Mars 1910 : Abordé et avarié à Rochefort-sur-Mer par le cargo norvégien Torgnay, ce qui l’oblige à interrompre ses essais en mer (Le Matin, n° 9.506, Mardi 8 mars 1910, p. 3).
— 15 mars 1910 : Armement définitif à Rochefort-sur-Mer.
— 31 août 1910 : Avarié dans le port de Brest après avoir heurté de l’avant le quai de Laminon, alors qu’il rentrait du goulet après y avoir effectué des plongées (L’Ouest Éclair – éd. de Rennes –, n° 4.239, Jeudi 1er sept. 1910, p. 5, en rubrique « Dépêches maritimes ~ Marine nationale »).
— 3 décembre 1910 : En prenant son mouillage dans le port de Brest, avarié après avoir heurté par l’avant la digue de la Ninon par suite de la mauvaise interprétation d’un ordre par un quartier-maître (Le Journal, n° 6.643, Dimanche 4 déc. 1910, p. 4 – La Lanterne, n° 12.281, Mercredi 7 déc. 1910, p. 3).
— Fin Février 1911 : Sort du bassin après réparation de son ballast avant (La Croix, n° 8.566, Mercredi 22 févr. 1911, p. 6, en rubrique « Guerre et Marine »).
— Juin 1912 : Avec les sous-marins Archimède, Berthelot, Fructidor et Giffard, affecté à une escadrille de sous-marins rattachée à la 3e Escadre, à laquelle sont également affectées trois flottilles de contre-torpilleurs (Navigazette, n° 1.112, Jeudi 6 juin 1912, p. 4).
— 10 juin 1913 : Alors qu’il se trouvait amarré à son appontement dans le bassin de l’arsenal de Cherbourg, abordé par le sous-marin Thermidor ; ballast extérieur crevé sur une longueur de 40 cm (L’Ouest Éclair – éd. de Rennes –, n° 5.280, Mercredi 11 juin 1913, p. 5, en rubrique « Dernière heure »).
— ... / ...
— En 1918 : Alors affecté à la 2e Escadrille de sous-marins de l’armée navale, à Bizerte (Tunisie).
— 26 mars 1918 : Attaqué par méprise au Nord de la Galite, par 37° 44’ N. et 8° 57’ E., par les bâtiments britanniques Jeannette-II et Frank-Parish, ainsi que par le yacht américain Wenonah. Un tué, le lieutenant de vaisseau Paul Jean Marie André BOURÉLY, qui commandait alors le sous-marin ; cinq blessés, recueillis par la Jeannette-II, dont le quartier-maître canonnier Narcisse Théodore LAMBERT, ultérieurement décédé à Bizerte des suites de ses blessures.
● Croiseur cuirassé Victor-Hugo – alors commandé par le capitaine de vaisseau Auguste CUSSEC –, Journal de bord n° 20 / 1918 – 12 mars / 4 avr. 1918 – : Service historique de la défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote SS Y 633, p. num. 431.
« [Bizerte]
Baie Ponty. Coffre n° 1. Le Mardi 26 mars 1918.
[En marge]
16 h. 20 – Le sous-marin Watt rallie et se dirige sur l’appontement des sous-marins. (Le Watt portait à l’avant un cadavre et avait son milieu bâbord sérieusement endommagé. Mis les couleurs en berne au passage du Watt. »
Ce corps était très certainement celui du lieutenant de vaisseau BOURÉLY, le quartier-maître LAMBERT étant en effet ultérieurement décédé à Bizerte des suites de ses blessures.
― 1er décembre 1919 : Par décision du Ministre de la Marine de même date (Bull. off. Marine 1919, n° 35, p. 969), et après avis du Conseil supérieur de la Marine, radié de la Liste de la flotte des sous-marins, avec les sous-marins Berthelot, Cugnot, Émeraude, Gay-Lussac, Germinal, Giffard et Ventôse.
Bonsoir à tous,
Watt – Sous-marin de haute mer de type Pluviôse (1910~1919).
Le sous-marin Watt fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre :
– du 31 décembre 1916 au 13 juillet 1917 ;
– du 17 août au 19 novembre 1917 ;
– du 14 février au 29 mars 1918 ;
– du 15 juin au 9 décembre 1918.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 775.].
■ Historique (complément).
— 26 août 1905 : Ordre de mise en chantier. Numéro de coque, Q. 75.
— 16 octobre 1906 : Montage sur cale à Rochefort-sur-Mer.
— 18 juin 1909 : Coque mise à flot.
— 17 juillet 1909 : Par décision ministérielle de même date concernant la dénomination des 20 sous-marins de la série Q. 70 à Q. 89 (J.O. 21 juill. 1909, p. 7.817), la coque Q. 75 reçoit le nom de Watt.
— Novembre 1909 : Avec les sous-marins Cugnot et Fresnel, affecté à un groupe offensif constitué au port de Brest ; création à la même date et dans le même port d’un groupe défensif comprenant les sous-marins Aigrette, Espadon, Silure, Sirène et Triton, plus une unité de remplacement (Navigazette, n° 1.075, Jeudi 2 déc. 1909, p. 4).
— Février 1910 : Effectue des essais de plongée à grande profondeur avant d’entrer en armement définitif (L’Ouest Éclair – éd. de Rennes –, n° 4.042, Mercredi 16 févr. 1910, p. 5, en rubrique « Dépêches maritimes ~ Marine nationale »).
— Début Mars 1910 : Abordé et avarié à Rochefort-sur-Mer par le cargo norvégien Torgnay, ce qui l’oblige à interrompre ses essais en mer (Le Matin, n° 9.506, Mardi 8 mars 1910, p. 3).
— 15 mars 1910 : Armement définitif à Rochefort-sur-Mer.
— 31 août 1910 : Avarié dans le port de Brest après avoir heurté de l’avant le quai de Laminon, alors qu’il rentrait du goulet après y avoir effectué des plongées (L’Ouest Éclair – éd. de Rennes –, n° 4.239, Jeudi 1er sept. 1910, p. 5, en rubrique « Dépêches maritimes ~ Marine nationale »).
— 3 décembre 1910 : En prenant son mouillage dans le port de Brest, avarié après avoir heurté par l’avant la digue de la Ninon par suite de la mauvaise interprétation d’un ordre par un quartier-maître (Le Journal, n° 6.643, Dimanche 4 déc. 1910, p. 4 – La Lanterne, n° 12.281, Mercredi 7 déc. 1910, p. 3).
— Fin Février 1911 : Sort du bassin après réparation de son ballast avant (La Croix, n° 8.566, Mercredi 22 févr. 1911, p. 6, en rubrique « Guerre et Marine »).
— Juin 1912 : Avec les sous-marins Archimède, Berthelot, Fructidor et Giffard, affecté à une escadrille de sous-marins rattachée à la 3e Escadre, à laquelle sont également affectées trois flottilles de contre-torpilleurs (Navigazette, n° 1.112, Jeudi 6 juin 1912, p. 4).
— 10 juin 1913 : Alors qu’il se trouvait amarré à son appontement dans le bassin de l’arsenal de Cherbourg, abordé par le sous-marin Thermidor ; ballast extérieur crevé sur une longueur de 40 cm (L’Ouest Éclair – éd. de Rennes –, n° 5.280, Mercredi 11 juin 1913, p. 5, en rubrique « Dernière heure »).
— ... / ...
— En 1918 : Alors affecté à la 2e Escadrille de sous-marins de l’armée navale, à Bizerte (Tunisie).
— 26 mars 1918 : Attaqué par méprise au Nord de la Galite, par 37° 44’ N. et 8° 57’ E., par les bâtiments britanniques Jeannette-II et Frank-Parish, ainsi que par le yacht américain Wenonah. Un tué, le lieutenant de vaisseau Paul Jean Marie André BOURÉLY, qui commandait alors le sous-marin ; cinq blessés, recueillis par la Jeannette-II, dont le quartier-maître canonnier Narcisse Théodore LAMBERT, ultérieurement décédé à Bizerte des suites de ses blessures.
● Croiseur cuirassé Victor-Hugo – alors commandé par le capitaine de vaisseau Auguste CUSSEC –, Journal de bord n° 20 / 1918 – 12 mars / 4 avr. 1918 – : Service historique de la défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote SS Y 633, p. num. 431.
« [Bizerte]
Baie Ponty. Coffre n° 1. Le Mardi 26 mars 1918.
[En marge]
16 h. 20 – Le sous-marin Watt rallie et se dirige sur l’appontement des sous-marins. (Le Watt portait à l’avant un cadavre et avait son milieu bâbord sérieusement endommagé. Mis les couleurs en berne au passage du Watt. »
Ce corps était très certainement celui du lieutenant de vaisseau BOURÉLY, le quartier-maître LAMBERT étant en effet ultérieurement décédé à Bizerte des suites de ses blessures.
― 1er décembre 1919 : Par décision du Ministre de la Marine de même date (Bull. off. Marine 1919, n° 35, p. 969), et après avis du Conseil supérieur de la Marine, radié de la Liste de la flotte des sous-marins, avec les sous-marins Berthelot, Cugnot, Émeraude, Gay-Lussac, Germinal, Giffard et Ventôse.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: WATT - Sous-marin
Bonjour,
L'activité en temps de guerre, sur 41 mois du sous-marin Watt, exprimée en %.
Croisière en guerre : 10 %, Disponible au mouillage : 59, exercice : 7, soit un total de 76 %.
En réparations ou modifications : 24 %.
Source : Gérard Garier, tome 3, opus cité.
Cordialement.
L'activité en temps de guerre, sur 41 mois du sous-marin Watt, exprimée en %.
Croisière en guerre : 10 %, Disponible au mouillage : 59, exercice : 7, soit un total de 76 %.
En réparations ou modifications : 24 %.
Source : Gérard Garier, tome 3, opus cité.
Cordialement.
Memgam
Re: WATT - Sous-marin
Bonjour,
Oeuvre du peintre Michel Bez, page 321, opus cité ci-dessous.
Source : Ouvrage collectif, L'encyclopédie des sous-marins français, tome 1, Naissance d'une arme nouvelle, Editions SPE Barhélémy, 2009.
Cordialement.

Oeuvre du peintre Michel Bez, page 321, opus cité ci-dessous.
Source : Ouvrage collectif, L'encyclopédie des sous-marins français, tome 1, Naissance d'une arme nouvelle, Editions SPE Barhélémy, 2009.
Cordialement.

Memgam
Re: WATT - Sous-marin
Bonjour
Voici une photo que j'ai été obligée de réduire énormément pour la passer sur le forum. Il s'agit du quartier maître Lambert avec sa tombe, il est évident qu'une partie des clichés est très abimée mais on voit très bien sa photo d'identité. J'ai bien en bonne vingtaine de photos différents. Je réédite mon appel pour ceux qui sont intéressés... Ce n'est pas payant !

Bonne journée
Thoemi
Voici une photo que j'ai été obligée de réduire énormément pour la passer sur le forum. Il s'agit du quartier maître Lambert avec sa tombe, il est évident qu'une partie des clichés est très abimée mais on voit très bien sa photo d'identité. J'ai bien en bonne vingtaine de photos différents. Je réédite mon appel pour ceux qui sont intéressés... Ce n'est pas payant !

Bonne journée
Thoemi
Re: WATT - Sous-marin
.
Bonsoir à tous,
Au nombre des victimes de l’attaque par méprise du 26 mars 1918
— BOURÉLY Paul Jean Marie André, né le 2 septembre 1883 à Béziers (Hérault). Lieutenant de vaisseau (D. 5 mars 1915, J.O. 8 mars 1915, p. 1.217), du port de Toulon. Admis à l’École polytechnique le 9 octobre 1902 à la suite du concours ouvert la même année, étant classé 54e sur une liste de 190 élèves (J.O. 25 sept. 1902, p. 6.396) ; admis en 1904 dans le service de la Marine nationale. Classe 1903, n° 444 au recrutement de Montélimar.
Fils d’Urbain André BOURÉLY, né le 9 juin 1840 à Villeneuve-de-Berg (Ardèche) (Registre des actes de naissance de la commune de Villeneuve-de-Berg, Année 1840, f° 23, acte n° 43), brasseur (Brasserie générale du Midi), et de Marie Émilie PEYRON, née le 10 juin 1855 à Alger (Algérie), sans profession ; époux ayant contracté mariage à Blida (Algérie), le 29 novembre 1873 (Registre des actes de mariage de la commune de Blida, Année 1873, f° 79, acte n° 70 – Registre des actes de naissance de la ville de Béziers, Année 1883, f° ..., acte n° 786).
― LAMBERT Narcisse Théodore, né le 9 novembre 1895 à Saint-Germain, section de la commune d’Hauterives (Drôme), et y domicilié, décédé le 26 mars 1918 « à Bizerte [des] suites de blessure reçues à bord du Watt ». Quartier-maître canonnier, matricule n° 97.134 – 2 ; classe 1915, n° 209 au recrutement de Valence (Engagé volontaire le 22 novembre 1911 ; arrivé au 1e Dépôt des équipages de la flotte le 11 décembre 1911).
Fils d’Alphonse LAMBERT, né le 26 mars 1862 à Saint-Germain, section de la commune d’Hauterives, cultivateur, et de Marie Sophie Perpétue BOURGEON, née le 30 décembre 1868 à Hauterives, « ménagère » ; époux ayant contracté mariage à Hauterives, le 1er mai 1889 (Registre des actes de mariage de la commune d’Hauterives, Année 1889, f° 5, acte n° 7 – Registre des actes de naissance de la commune d’Hauterives, Année 1895, f° 7, acte n° 29).
Cité à titre posthume à l’ordre de l’armée dans les termes suivants (J.O. 22 juillet 1918, p. 6.338) :

— HUAULT Louis Achille Octave. Quartier-maître électricien, matricule n° 24.492 – 1. [Grièvement blessé].
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 19 juillet 1918 (J.O. 22 juill. 1918, p. 6.338), inscrit au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :

Bonsoir à tous,
Au nombre des victimes de l’attaque par méprise du 26 mars 1918
— BOURÉLY Paul Jean Marie André, né le 2 septembre 1883 à Béziers (Hérault). Lieutenant de vaisseau (D. 5 mars 1915, J.O. 8 mars 1915, p. 1.217), du port de Toulon. Admis à l’École polytechnique le 9 octobre 1902 à la suite du concours ouvert la même année, étant classé 54e sur une liste de 190 élèves (J.O. 25 sept. 1902, p. 6.396) ; admis en 1904 dans le service de la Marine nationale. Classe 1903, n° 444 au recrutement de Montélimar.
Fils d’Urbain André BOURÉLY, né le 9 juin 1840 à Villeneuve-de-Berg (Ardèche) (Registre des actes de naissance de la commune de Villeneuve-de-Berg, Année 1840, f° 23, acte n° 43), brasseur (Brasserie générale du Midi), et de Marie Émilie PEYRON, née le 10 juin 1855 à Alger (Algérie), sans profession ; époux ayant contracté mariage à Blida (Algérie), le 29 novembre 1873 (Registre des actes de mariage de la commune de Blida, Année 1873, f° 79, acte n° 70 – Registre des actes de naissance de la ville de Béziers, Année 1883, f° ..., acte n° 786).
― LAMBERT Narcisse Théodore, né le 9 novembre 1895 à Saint-Germain, section de la commune d’Hauterives (Drôme), et y domicilié, décédé le 26 mars 1918 « à Bizerte [des] suites de blessure reçues à bord du Watt ». Quartier-maître canonnier, matricule n° 97.134 – 2 ; classe 1915, n° 209 au recrutement de Valence (Engagé volontaire le 22 novembre 1911 ; arrivé au 1e Dépôt des équipages de la flotte le 11 décembre 1911).
Fils d’Alphonse LAMBERT, né le 26 mars 1862 à Saint-Germain, section de la commune d’Hauterives, cultivateur, et de Marie Sophie Perpétue BOURGEON, née le 30 décembre 1868 à Hauterives, « ménagère » ; époux ayant contracté mariage à Hauterives, le 1er mai 1889 (Registre des actes de mariage de la commune d’Hauterives, Année 1889, f° 5, acte n° 7 – Registre des actes de naissance de la commune d’Hauterives, Année 1895, f° 7, acte n° 29).
Cité à titre posthume à l’ordre de l’armée dans les termes suivants (J.O. 22 juillet 1918, p. 6.338) :


— HUAULT Louis Achille Octave. Quartier-maître électricien, matricule n° 24.492 – 1. [Grièvement blessé].
Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 19 juillet 1918 (J.O. 22 juill. 1918, p. 6.338), inscrit au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :

Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.