Une autre vue du pont du MASSENA (Source Randier)
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Olivier
MASSÉNA — Cuirassé.
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olivier 12
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Re: MASSÉNA — Cuirassé.
Bonjour à tous,
Une autre vue du pont du MASSENA (Source Randier)
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Olivier
Une autre vue du pont du MASSENA (Source Randier)
Cdlt
Olivier
olivier
MASSÉNA — Cuirassé d’escadre (1897~1915).
Bonsoir à tous,
Le cuirassé d'escadre Masséna au début du XXe siècle
(Carte postale oblitérée le 6 novembre 1903)
(Carte postale oblitérée le 6 novembre 1903)
Dernière modification par Rutilius le sam. juil. 12, 2025 2:43 pm, modifié 1 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: MASSÉNA — Cuirassé.
Bonsoir,
Voici l'épave du cuirassé Masséna échoué comme brise-lames en novembre 1915
Cordialement
Alain
Voici l'épave du cuirassé Masséna échoué comme brise-lames en novembre 1915
Cordialement
Alain
Cordialement
Alain
Alain
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olivier 12
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Re: MASSÉNA — Cuirassé.
Bonjour à tous,
Le débarquement des permissionnaires du MASSENA
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Le débarquement des permissionnaires du MASSENA
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olivier
MASSÉNA — Cuirassé d’escadre (1897~1915).
Bonsoir à tous,
□ Les deux pièces de 274 mm dont était doté, en deux tourelles latérales simples, le cuirassé d’escadre Masséna furent attribuées, le 4 septembre 1917, à la 20e Batterie (Capitaine DUROUX) du 7e Groupe du 77e Régiment d’artillerie lourde à grande puissance, batterie dont les hommes venaient d’entre-prendre leur formation au camp de Mailly (Aube).
Formé le 1er août 1917, et alors commandé par le chef d’escadron Émile Henry AYMONE, le 7e Groupe comprenait trois batteries à deux pièces : deux de 285 mm G. — 274 mm, modèle 1893~1896, réalésées après usure —, deux de 274 mm, modèle 1893, et deux de 274 mm, modèle 1887, respectivement affec-tées aux 19e, 20e et 21e Batteries. La 21e utilisait deux pièces de 274 mm récupérées sur deux tou-relles latérales simples du cuirassé d’escadre Charles-Martel. (*)
Le 27 mai 1918, en raison de l’enfoncement du front par les Allemands au Chemin des Dames, la 21e Batterie reçut l’ordre d’évacuer sa position — apparemment établie au « Camp de la Sablonnière » de-puis le 16 mai — et de détruire ses deux pièces. Les canonniers firent alors sauter les culasses, mais seule l’un des canons fut mis hors d’usage. L’autre put néanmoins être transporté par voie ferrée jus-qu'à Sommesous (Marne).
[• Journal des marches et opérations du 7e Groupe du 77e Régiment d’artillerie lourde à grande puissance — 1er août 1917 ~ 6 mars 1919 — (Service historique de la Défense , Cote 26 N 1089/1, p. num. 5 et 17)]
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(*) Précisions apportées par une contribution de Guy François, publiée sous le sujet : « CHARLES-MARTEL — Cuirassé d’escadre (1897~1919). »
Formé le 1er août 1917, et alors commandé par le chef d’escadron Émile Henry AYMONE, le 7e Groupe comprenait trois batteries à deux pièces : deux de 285 mm G. — 274 mm, modèle 1893~1896, réalésées après usure —, deux de 274 mm, modèle 1893, et deux de 274 mm, modèle 1887, respectivement affec-tées aux 19e, 20e et 21e Batteries. La 21e utilisait deux pièces de 274 mm récupérées sur deux tou-relles latérales simples du cuirassé d’escadre Charles-Martel. (*)
Le 27 mai 1918, en raison de l’enfoncement du front par les Allemands au Chemin des Dames, la 21e Batterie reçut l’ordre d’évacuer sa position — apparemment établie au « Camp de la Sablonnière » de-puis le 16 mai — et de détruire ses deux pièces. Les canonniers firent alors sauter les culasses, mais seule l’un des canons fut mis hors d’usage. L’autre put néanmoins être transporté par voie ferrée jus-qu'à Sommesous (Marne).
[• Journal des marches et opérations du 7e Groupe du 77e Régiment d’artillerie lourde à grande puissance — 1er août 1917 ~ 6 mars 1919 — (Service historique de la Défense , Cote 26 N 1089/1, p. num. 5 et 17)]
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(*) Précisions apportées par une contribution de Guy François, publiée sous le sujet : « CHARLES-MARTEL — Cuirassé d’escadre (1897~1919). »
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.