A ajouter à la liste des Finistériens :
Bathany Jean Pierre 12/12/1878 Telgruc
Cloarec Alain Marie 22/11/1882 Saint Sauveur
Favé Vincent 24/05/1895 Lambézellec
Gourvennec Jean 24/03/1893 Lambézellec
Le Bastard Paul Marie Thomas 30/09/1881 Pont-l'Abbé
Le Gac Pierre Marie 17/04/1887 Plougonven
Le Gall Jean Corentin Marie 12/09/1891 Pouldergat
Le Goff Jean 10/10/1891 Le Guilvinec
Le Gall Pierre Marie 14/03/1895 Rumengol
Le Guen Théophile 13/06/1883 Crozon
Le Lay Yves Marie 18/01/1895 Lanmeur
Le Lay Yves Marie 22/11/1862 Locquirec
Treut Yves Marie 8/05/1860 Plouguin
Il arrive que l'acte de décès et MdH donnent des dates de naissance différentes. Dans ce cas, j'ai privilégié l'acte de décès (Le Gall Jean Corentin).
Combien de bâtiments ont été torpillés par les Autrichiens ?
Bonne soirée à vous
Denise Bourven
LÉON-GAMBETTA — Croiseur cuirassé.
Re: LÉON-GAMBETTA — Croiseur cuirassé.
Quelqu'un pourrait-il me dire si d'autres bateaux de cette taille ont été torpillés avant le Léon-Gambetta ? (près de sept cents morts, c'est la taille d'une petite commune française)
Combien de bateaux ont été torpillés par les Autrichiens ?
Dans un autre ordre d'idée, comment se faisait à bord l'abattage des bêtes embarquées sur pied ? Par qui, un boucher, ou le cuisinier ?
De façon générale, de quoi se nourrissaient les marins, avant l'avènement des chambres froides, en 1915 ?
Et sinon, je réitère une question :à quelle distance de la côte se trouvait le bateau, en mètres/kilomètres, si possible.
Existe-t-il l'équivalent d'un trombinoscope pour les marins du Gambetta ?
Je ne trouve rien pour :
Pierre Vincentelli, premier maître fourrier
Isidore Louis François Lebeslour, maître canonnier
Vincent Marie Le Derff, maître électricien
Charles Marie Le Gall, quartier-maître canonnier
Nonce Marie Nicolini, matelot de 2ème classe canonnier
l'aide-canonnier Girardi
Georges Guyader, matelot de 2ème classe fusilier breveté
Jean Marie Salomon Le Goff, quartier-maître chauffeur
Pierre Marie Jestin, matelot de 3ème classe
Eugène François Malo Gandu, second-maître mécanicien.
Ils ont tous été enterrés à Castrignano del Capo, et ne figurent donc pas à l'état-civil de Brest, mais ils n'ont pas non plus de fiche MDH.
Si quelqu'un a une réponse, merci beaucoup
Denise Bourven
Re: LÉON-GAMBETTA — Croiseur cuirassé.
Bonjour Denise, bonjour à tous
Le Léon Gambetta a coulé à environ 27.5 kms (15 milles nautiques) au sud du cap Santa Maria di Leuca.
Les Austro-hongrois (et pas "autrichiens") ont coulé un certain nombre de navires, nombre bien inférieur à celui qui est attribué aux U-Boote allemands. Vous pouvez retrouver la liste des navires coulés par les Austro-hongrois dans un fascicule dont je suis l'auteur consacré aux Commandants des U-Boote de la KuK Kriegsmarine. Ce fascicule est accessible en ligne à cette adresse :
http://fr.calameo.com/read/000802552a3d4b97f0145
Un certain nombre de navires coulés ont généré également un nombre de victimes important. Je pense notamment au croiseur auxilliaire Provence II ex La Provence, au Gallia, au cuirassé Suffren, au cuirassé Bouvet et bien d'autres encore.
Voila ce que je peux répondre à quelques unes de vos questions.
Cordialement
Yves
Le Léon Gambetta a coulé à environ 27.5 kms (15 milles nautiques) au sud du cap Santa Maria di Leuca.
Les Austro-hongrois (et pas "autrichiens") ont coulé un certain nombre de navires, nombre bien inférieur à celui qui est attribué aux U-Boote allemands. Vous pouvez retrouver la liste des navires coulés par les Austro-hongrois dans un fascicule dont je suis l'auteur consacré aux Commandants des U-Boote de la KuK Kriegsmarine. Ce fascicule est accessible en ligne à cette adresse :
http://fr.calameo.com/read/000802552a3d4b97f0145
Un certain nombre de navires coulés ont généré également un nombre de victimes important. Je pense notamment au croiseur auxilliaire Provence II ex La Provence, au Gallia, au cuirassé Suffren, au cuirassé Bouvet et bien d'autres encore.
Voila ce que je peux répondre à quelques unes de vos questions.
Cordialement
Yves
www.histomar.net
La guerre sous-marine 14-18, Arnauld de la Perière
et autres thèmes d'histoire maritime.
La guerre sous-marine 14-18, Arnauld de la Perière
et autres thèmes d'histoire maritime.
Re: LÉON-GAMBETTA — Croiseur cuirassé.
Scoop :
je viens de l'apprendre : l'association des marins d'Italie prévoit deux commémorations pour le centenaire du torpillage du Léon-Gambetta, le 27 avril 2015, l'une à Leuca, sur les lieux mêmes du drame, l'autre à Castrignano, commune voisine, où ont été enterrés les marins dont les corps ont été retrouvés, à l'intérieur d'une chapelle érigée pour eux.
Le représentant permanent de l'état français dans les Pouilles devrait être présent, mais les marins italiens souhaitent voir le plus de Français possible.
Je trouve formidable que, un siècle après, cette belle histoire de solidarités entre gens de mer de France et d'Italie perdure.
Bonne journée
Denise Bourven
je viens de l'apprendre : l'association des marins d'Italie prévoit deux commémorations pour le centenaire du torpillage du Léon-Gambetta, le 27 avril 2015, l'une à Leuca, sur les lieux mêmes du drame, l'autre à Castrignano, commune voisine, où ont été enterrés les marins dont les corps ont été retrouvés, à l'intérieur d'une chapelle érigée pour eux.
Le représentant permanent de l'état français dans les Pouilles devrait être présent, mais les marins italiens souhaitent voir le plus de Français possible.
Je trouve formidable que, un siècle après, cette belle histoire de solidarités entre gens de mer de France et d'Italie perdure.
Bonne journée
Denise Bourven
Re: LÉON-GAMBETTA — Croiseur cuirassé.
Bonjour,
A l'attention d'Iroise47,
Eu égard à votre flot de questions concernant les activités navales dans l'Adriatique, il serait judicieux que vous consultiez l'ouvrage suivant :
A. Thomazi, capitaine de vaisseau de réserve, La Marine française dans la Grande Guerre (1914-1918) ** La guerre navale dans l'Adriatique, préface du vice-amiral Lacaze, dédicacé : à la mémoire du "Léon Gambette", Payot, Paris, 1925, 248 pages, dix annexes (dont une liste des bâtiments alliés coulés et une liste des bâtiments ennemis coulés), 3 planches.
Concernant , la vie à bord, l'organisation, les armes, les activités, une documentation génerale et adaptée se trouve dans le livre suivant :
Jean Randier, La Royale, * L'éperon et la cuirasse, l'histoire illustrée de la Marine nationale française des débuts de la vapeur à la fin de la première guerre mondiale, préface de l'amiral de Joybert, Editions de la Cité, Brest, 1972, 256 pages, très nombreuses illustrations.
Quant aux questions relatives aux pressentiments de l'amiral Sénès, (phénomène fréquent), à l'occurrence des informations anglo-saxonnes (liés au type de fonctionnement des moteurs de recherche), il n'y a pas de réponses circonstanciées à faire.
S'agissant du départ de l'amiral Boué de Lapeyrère, du nombre de morts du Léon Gambetta, des éventuelles faiblesses de la Marine française, il y a lieu d'éviter les syllogismes du style : "L'homme descend du singe, le singe descend de l'arbre, donc l'homme est un végétal". Ce n'est pas le genre de situation qui se résume en trois lignes et il y a toujours une large place à l'incertitude et aux explications différentes. On notera qu'après son départ, l'amiral aura une attitude pleine de dignité, en n'émettant pas de commentaires sur la situation. A lire : Adolphe Laurens, Le commandement naval en Méditerranée, Payot, Paris, 1931, 355 pages.
Cordialement
A l'attention d'Iroise47,
Eu égard à votre flot de questions concernant les activités navales dans l'Adriatique, il serait judicieux que vous consultiez l'ouvrage suivant :
A. Thomazi, capitaine de vaisseau de réserve, La Marine française dans la Grande Guerre (1914-1918) ** La guerre navale dans l'Adriatique, préface du vice-amiral Lacaze, dédicacé : à la mémoire du "Léon Gambette", Payot, Paris, 1925, 248 pages, dix annexes (dont une liste des bâtiments alliés coulés et une liste des bâtiments ennemis coulés), 3 planches.
Concernant , la vie à bord, l'organisation, les armes, les activités, une documentation génerale et adaptée se trouve dans le livre suivant :
Jean Randier, La Royale, * L'éperon et la cuirasse, l'histoire illustrée de la Marine nationale française des débuts de la vapeur à la fin de la première guerre mondiale, préface de l'amiral de Joybert, Editions de la Cité, Brest, 1972, 256 pages, très nombreuses illustrations.
Quant aux questions relatives aux pressentiments de l'amiral Sénès, (phénomène fréquent), à l'occurrence des informations anglo-saxonnes (liés au type de fonctionnement des moteurs de recherche), il n'y a pas de réponses circonstanciées à faire.
S'agissant du départ de l'amiral Boué de Lapeyrère, du nombre de morts du Léon Gambetta, des éventuelles faiblesses de la Marine française, il y a lieu d'éviter les syllogismes du style : "L'homme descend du singe, le singe descend de l'arbre, donc l'homme est un végétal". Ce n'est pas le genre de situation qui se résume en trois lignes et il y a toujours une large place à l'incertitude et aux explications différentes. On notera qu'après son départ, l'amiral aura une attitude pleine de dignité, en n'émettant pas de commentaires sur la situation. A lire : Adolphe Laurens, Le commandement naval en Méditerranée, Payot, Paris, 1931, 355 pages.
Cordialement
Memgam
Re: LÉON-GAMBETTA — Croiseur cuirassé.
Bonjour,
Embarquement de boeufs.
Source : Jean-Charles Meyer, Au cartahu, les cartes postales anciennes racontent la vie quotidienne des marins, Editions Serre, 1984, page 24.
La ration des marins :
pain 250 g ; vin 50 cl ; viande 380 g ; conserve de viande 270 g ; café vert 15 g ; sucre 15 g ; pommes de terre 350 g ; légumes secs et riz 100 g ; choux 100 g ; carottes 50 g ; navets, poireaux 50 g ;
oignons 50 g ; huile et graisse 12 g ; sel 16 g ; poivre 0,1 g.
Source : Jean Randier, La Royale, * L'éperon et la cuirasse, l'histoire illustére de la Marine française des débuts de la vapeur à la fin de la première guerre mondiale. Editions de la Cité, 1972, photo page 177.
Cordialement.


Embarquement de boeufs.
Source : Jean-Charles Meyer, Au cartahu, les cartes postales anciennes racontent la vie quotidienne des marins, Editions Serre, 1984, page 24.
La ration des marins :
pain 250 g ; vin 50 cl ; viande 380 g ; conserve de viande 270 g ; café vert 15 g ; sucre 15 g ; pommes de terre 350 g ; légumes secs et riz 100 g ; choux 100 g ; carottes 50 g ; navets, poireaux 50 g ;
oignons 50 g ; huile et graisse 12 g ; sel 16 g ; poivre 0,1 g.
Source : Jean Randier, La Royale, * L'éperon et la cuirasse, l'histoire illustére de la Marine française des débuts de la vapeur à la fin de la première guerre mondiale. Editions de la Cité, 1972, photo page 177.
Cordialement.


Memgam
Re: LÉON-GAMBETTA — Croiseur cuirassé.
Bonjour,
Le Léon Gambetta est le deuxième grand navire de la Marine française coulé pendant la grande guerre (après le Bouvet)
Le Léon Gambetta est le premier grand navire de la Marine française coulé par une torpille.
Le Léon Gambetta est le troisième grand navire de la Marine française par l'ampleur des pertes (après le cuirassé Suffren et le cuirassé Bouvet).
La Marine française a perdu 9 grands navires (quatre cuirassés et cinq croiseurs) totalisant 2603 disparus soit 23 % des pertes.
La Marine française a perdu 153 navires.
Les pertes les plus importantes ont eu lieu parmi la Marine marchande : les paquebots transports de troupe, Gallia, Provence II, Amiral Hamelin et Calvados ont perdus 2907 soldats, sans compter les pertes dans les équipages.
Cordialement.
Le Léon Gambetta est le deuxième grand navire de la Marine française coulé pendant la grande guerre (après le Bouvet)
Le Léon Gambetta est le premier grand navire de la Marine française coulé par une torpille.
Le Léon Gambetta est le troisième grand navire de la Marine française par l'ampleur des pertes (après le cuirassé Suffren et le cuirassé Bouvet).
La Marine française a perdu 9 grands navires (quatre cuirassés et cinq croiseurs) totalisant 2603 disparus soit 23 % des pertes.
La Marine française a perdu 153 navires.
Les pertes les plus importantes ont eu lieu parmi la Marine marchande : les paquebots transports de troupe, Gallia, Provence II, Amiral Hamelin et Calvados ont perdus 2907 soldats, sans compter les pertes dans les équipages.
Cordialement.
Memgam
LÉON-GAMBETTA — Croiseur cuirassé de type Victor-Hugo (1903~1915).
Bonjour Denise,
Bonjour à tous,
Bonjour à tous,
« Je ne trouve rien pour : – Pierre Vincentelli, premier maître fourrier ; ... »
— GAUDU Eugène François Malo, né le 24 novembre 1885 à Pleslin — aujourd’hui Pleslin — (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’Armor) et y domicilié. Second maître mécanicien, inscrit au quartier de Dinan, n° 8.503. [« Corps retrouvé »]. (*)
• Époux de Francine Joséphine Julie MAIGNANT.
— GHIRARDI Jacques, né le 3 novembre 1892 à Bonifacio (Corse) et y domicilié. Matelot de 3e classe sans spécialité, inscrit au quartier d'Ajaccio, n° 5.377. (*)
— GUYADER François Marie, né le 18 avril 1895 à Plougasnou (Finistère) et y domicilié. Matelot de 2e classe fusilier breveté, matricule n° 96.114 – 2. (*)
— GESTIN Pierre Marie Jules, né le 3 octobre 1892 à Collinée (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’Armor) et y domicilié. Matelot de 3e classe sans spécialité, matricule n° 35.824 – 1. [« Corps retrou-vé et inhumé à Castrignano (Italie) »]. (Jug. Trib. civ. Seine, 31 août 1916, transcrit à Collinée, le 3 octobre 1923). (*)
— LEBESLOUR Isidore Louis François, né le 3 août 1869 à Baguer-Morvan (Ille-et-Vilaine) et domicilié à Toulon (Var). Maître canonnier, Inscrit au quartier de Toulon.
— LE DERF Vincent Marie, né le 26 octobre 1877 à Séné (Morbihan) et domicilié à Lorient (– d° –). Maître torpilleur, inscrit au quartier de Lorient, n° 1.000. (*)
— LE GALL Claude Marie, né le 20 janvier 1893 à Loperhet (Finistère) et y domicilié. Quartier-maître canonnier, matricule n° 97.354 – 2. [« Recueilli et inhumé à Castrignano près Santa-Maria di Leuca. » ~ « Par jugement en date du 31 août 1916, le Tribunal civil de la Seine a ordonné la rectification judi-ciaire de l’acte de décès. »] (*)
— LE GOFF Jean Marie, né le ... à ... (...) et domicilié à ... (...). Quartier-maître chauffeur, inscrit au quartier du Conquet, n° 11.179. (*) [Ne figure pas dans la base « Mémoire des hommes »].
— NICOLINI Nonce Marie, né le ... 1891 à San-Martino-di-Lota (Corse) et domicilié à ... (...). Matelot de 2e classe canonnier, inscrit au quartier de Marseile, n° 0.807. (*) [Ne figure pas dans la base « Mé-moire des hommes »].
— VINCENTELLI Pierre, né le 15 juillet 1871 à Barrettali (Corse) et y domicilié.Premier maître fourrier, inscrit au quartier de Bastia, n° 2.956. [« Corps retrouvé »].
________________________________________________________________________________________
(*) Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 18 novembre 1921 (art. 2 ; J.O. 26 nov. 1921, p. 12.995), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire.
• Époux de Francine Joséphine Julie MAIGNANT.
— GHIRARDI Jacques, né le 3 novembre 1892 à Bonifacio (Corse) et y domicilié. Matelot de 3e classe sans spécialité, inscrit au quartier d'Ajaccio, n° 5.377. (*)
— GUYADER François Marie, né le 18 avril 1895 à Plougasnou (Finistère) et y domicilié. Matelot de 2e classe fusilier breveté, matricule n° 96.114 – 2. (*)
— GESTIN Pierre Marie Jules, né le 3 octobre 1892 à Collinée (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’Armor) et y domicilié. Matelot de 3e classe sans spécialité, matricule n° 35.824 – 1. [« Corps retrou-vé et inhumé à Castrignano (Italie) »]. (Jug. Trib. civ. Seine, 31 août 1916, transcrit à Collinée, le 3 octobre 1923). (*)
— LEBESLOUR Isidore Louis François, né le 3 août 1869 à Baguer-Morvan (Ille-et-Vilaine) et domicilié à Toulon (Var). Maître canonnier, Inscrit au quartier de Toulon.
— LE DERF Vincent Marie, né le 26 octobre 1877 à Séné (Morbihan) et domicilié à Lorient (– d° –). Maître torpilleur, inscrit au quartier de Lorient, n° 1.000. (*)
— LE GALL Claude Marie, né le 20 janvier 1893 à Loperhet (Finistère) et y domicilié. Quartier-maître canonnier, matricule n° 97.354 – 2. [« Recueilli et inhumé à Castrignano près Santa-Maria di Leuca. » ~ « Par jugement en date du 31 août 1916, le Tribunal civil de la Seine a ordonné la rectification judi-ciaire de l’acte de décès. »] (*)
— LE GOFF Jean Marie, né le ... à ... (...) et domicilié à ... (...). Quartier-maître chauffeur, inscrit au quartier du Conquet, n° 11.179. (*) [Ne figure pas dans la base « Mémoire des hommes »].
— NICOLINI Nonce Marie, né le ... 1891 à San-Martino-di-Lota (Corse) et domicilié à ... (...). Matelot de 2e classe canonnier, inscrit au quartier de Marseile, n° 0.807. (*) [Ne figure pas dans la base « Mé-moire des hommes »].
— VINCENTELLI Pierre, né le 15 juillet 1871 à Barrettali (Corse) et y domicilié.Premier maître fourrier, inscrit au quartier de Bastia, n° 2.956. [« Corps retrouvé »].
________________________________________________________________________________________
(*) Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 18 novembre 1921 (art. 2 ; J.O. 26 nov. 1921, p. 12.995), inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire.
Dernière modification par Rutilius le dim. avr. 27, 2025 3:15 pm, modifié 2 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: LÉON-GAMBETTA — Croiseur cuirassé.
Merci à vous pour les différentes réponses qui m'ont été apportées.
Afin de savoir qui s'occupait actuellement de la chapelle de Castrignano, où ont été transférées les reliques des marins dont les corps ont été retrouvés, j'ai écrit à la commune, qui ne m'a pas répondu, et à l'association des marins de Castrignano.
De ce côté, j'ai eu une réponse du président de l'association, annonçant qu'ils commémoreraient les marins du Léon-Gambetta à la date du torpillage, mais que, quoique habitant sur la commune, il ignorait absolument qui assurait actuellement l'entretien de la chapelle, qui l'est pourtant régulièrement.
Quelqu'un saurait-il ce qu'il en est ?
Merci
Denise Bourven
Afin de savoir qui s'occupait actuellement de la chapelle de Castrignano, où ont été transférées les reliques des marins dont les corps ont été retrouvés, j'ai écrit à la commune, qui ne m'a pas répondu, et à l'association des marins de Castrignano.
De ce côté, j'ai eu une réponse du président de l'association, annonçant qu'ils commémoreraient les marins du Léon-Gambetta à la date du torpillage, mais que, quoique habitant sur la commune, il ignorait absolument qui assurait actuellement l'entretien de la chapelle, qui l'est pourtant régulièrement.
Quelqu'un saurait-il ce qu'il en est ?
Merci
Denise Bourven
Re: LÉON-GAMBETTA — Croiseur cuirassé.
Bonjour à vous
Juste une demande de précisions.
Je viens de lire dans "L'éperon et la cuirasse" que les frigorifiques apparaissent sur les navires à partir de juin 1910.
On peut donc considérer que non seulement les navires construis antérieurement, comme le Léon-Gambetta, en sont dépourvus, mais encore qu'il n'en a jamais été rajouté (par modification) sur des navires déjà en service.
Paul Chack dit qu'Olivari a enfourché le boeuf et s'en est servi en quelque sorte comme marchepied pour grimper à bord de la chaloupe.
J'ai lu ailleurs, sans doute sur le forum, qu'il avait dirigé l'animal jusqu'au rivage, et que celui-ci avait eu la vie sauve pendant un an en récompense de ce service.
S'il n'y a pas de certitude absolue, la seconde solution me paraît plus romanesque, et je l'adopterais bien volontiers.
Qu'en pensez-vous ?
Juste une demande de précisions.
Je viens de lire dans "L'éperon et la cuirasse" que les frigorifiques apparaissent sur les navires à partir de juin 1910.
On peut donc considérer que non seulement les navires construis antérieurement, comme le Léon-Gambetta, en sont dépourvus, mais encore qu'il n'en a jamais été rajouté (par modification) sur des navires déjà en service.
Paul Chack dit qu'Olivari a enfourché le boeuf et s'en est servi en quelque sorte comme marchepied pour grimper à bord de la chaloupe.
J'ai lu ailleurs, sans doute sur le forum, qu'il avait dirigé l'animal jusqu'au rivage, et que celui-ci avait eu la vie sauve pendant un an en récompense de ce service.
S'il n'y a pas de certitude absolue, la seconde solution me paraît plus romanesque, et je l'adopterais bien volontiers.
Qu'en pensez-vous ?