Bonjour à tous,
J'ai un canonnier du 222e R.A.C. mort à "l'Ambulance Américaine Field hospital 102" le 26/07/1918.
Quelqu'un aurait-il une idée de l'endroit exact ?
Cordialement,
Georges.
Field Hospital 102
Re: Field Hospital 102
Tous furent des héros, même ceux qui, après avoir affronté avec un courage inouï, les plus terribles épreuves, refusèrent un jour d'avancer parce qu'ils n'en pouvaient plus.
- Eric Mansuy
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Re: Field Hospital 102
Bonjour Georges,
Le Field Hospital 102 appartenait à la 26th Division. Postérieurement au 2 juin 1918, il se trouvait à proximité de Minorville. Il ne semble en être parti que le 26 septembre, pour Ambly.
Je ne sais si cela concorde avec les éléments en votre possession.
Bien cordialement,
Eric Mansuy
Le Field Hospital 102 appartenait à la 26th Division. Postérieurement au 2 juin 1918, il se trouvait à proximité de Minorville. Il ne semble en être parti que le 26 septembre, pour Ambly.
Je ne sais si cela concorde avec les éléments en votre possession.
Bien cordialement,
Eric Mansuy
"Un pauvre diable a toujours eu pitié de son semblable, et rien ne ressemble plus à un soldat allemand dans sa tranchée que le soldat français dans la sienne. Ce sont deux pauvres bougres, voilà tout." Capitaine Paul Rimbault.
Re: Field Hospital 102
Bonsoir Eric,Bonjour Georges,
Le Field Hospital 102 appartenait à la 26th Division. Postérieurement au 2 juin 1918, il se trouvait à proximité de Minorville. Il ne semble en être parti que le 26 septembre, pour Ambly.
Je ne sais si cela concorde avec les éléments en votre possession.
Bien cordialement,
Eric Mansuy
Merci pour l'information. Rien ne permet malheureusement de la recouper s'agissant d'un blessé provenant d'un R.A. et n'ayant pas de sépulture identifiée. Mais si d'aucuns voulaient poursuivre, il s'agit du cannonnier Heckenmeyer Joseph du 222e R.A.C. né le 20/01/1897 à Héricourt (70).
Bien Cordialement,
Georges.
Tous furent des héros, même ceux qui, après avoir affronté avec un courage inouï, les plus terribles épreuves, refusèrent un jour d'avancer parce qu'ils n'en pouvaient plus.