Hopitaux en Grece

[Jean RIOTTE]

Bonjour Marc et Evelyne,
Bonjour à toutes et à tous,
Merci pour cet Hôpital grec.
A ce propos: lorsque vous "rencontrez" une formation sanitaire, pouvez-vous également la situer dans le temps (Fonctionne en mai 1915, par exemple) ou/et dans l'espace (ex: Ambulance 6/2 septembre 1917 à Brocourt-Meuse).
OUI, je sais... je suis casse-pied... mais si nous voulons travailler sérieusement...
Cordialement.
Jean RIOTTE.

[rohmer]

Bonsoir Jean
Bonsoir à Tous,


Voici le détail demandé:
COGNY Séraphin Gustave, 14/10/1891 La Chapelle St Laurent, 79430, + 06/10/1916 à l'hôpital d'évacuation de Eküsson, Grèce, "Mort pour la France", acte transcrit à La Chapelle St Laurent, 79430, le 27/03/1917

Bonne soirée
Bien cordialement

Marc et Evelyne

[Jean RIOTTE]

Bonsoir Evelyne et Marc,
Bonsoir à toutes et à tous,
Sans aller jusque là, le mois et l'année ainsi que la localité, le département ou le pays suffisent !
Encore merci de votre participation.
Cordialement.
Jean RIOTTE.

[rohmer]

Bonsoir à toutes et tous,
Bonsoir Jean,

Hôpital de NARISCHKING octobre 1916 Salonique.
Hôp de Larissa .......juillet 1917.

Amicalement.
Evelyne et Marc.

[benv]

Bonjour,

Le lien vers les cartes du secteur:

http://lazarus.elte.hu/hun/digkonyv/topo/3felmeres.htm

Celle de Salonique qui découle du lien précédent:

http://lazarus.elte.hu/hun/digkonyv/topo/200e/41-41.jpg

La ville de Hortackeuil y est nommée Hortialis.

[Ferns]

Bonsoir tout le monde
Mon AGP est décédé à deux endroits différents. Sur la fiche Mémoire des Hommes, c'est à Novi...Lade et sur le registre matricule c'est à Bantza ou Banitza en Serbie.

Ferns

[apwright]

Excusez que je ressuscite ce fil, mais je vois que Marc s'interesse pour la localité du HT N° 1.

L'Hôpital Temporaire N° 1 à Zeitenlick était situé au bâtiment (et aux jardins au sud) du ancien Séminaire bulgare catholique (connu Monastère des Lazaristes - grec Moni Lazariston).

Le bâtiment existe encore (Google Earth 40.658050 22.931170), mais aujourd'hui il est centre culturel pour le théâtre et les concerts en plein air.

A proximité est le Couvent/Orphelinat des Soeurs de la Charité (Moni Kalograion, 40.658558 22.932643, maintenant en ruines), dans les jardins duquel (vers le nord) se trouvait l'Hôpital Temporaire N° 3.

Voilà le couvent. On voit vers le nord-est.
Les baraquements blancs à gauche sont (je crois) du HT 3. Le bâtiment très long à l'arrière-plan à droite (à l'horizon) était la caserne d'artillerie grecque.

Sorry for my bad French!

Adrian
à Salonique

[jyaime]

Voila le plan de l'HT3 de ZEitenlick dessiné par ma grand mère Yvonne Pringuey qui y épousa le médecin major de Première classe Jean Baur qui y fut affecté à partir de février 1917 et le dirigea un temps

Jyaime

[http://images.mesdiscussions.net/pages1 ... .jpg1..jpg[/img]

[jyaime]

Voila le plan de l'HT3 de Zitenlick dessiné par ma grand mère Yvonne Pringuey qui y épousa le médecin major de Première classe Jean Baur qui y fut affecté à partir de février 1917 et le dirigea un temps

Jyaime

[LeeBK]

Merci jyaime pour ce très beau plan de l’hôpital temporaire n° 3. Ce document aurait-il été publié ? En effet l’image en ligne est peu lisible à cause de sa faible résolution. Quelles sont à peu près les dimensions du plan ?

En lien avec cet HT n° 3, pour ceux qui s’intéressent au traitement du paludisme à cette période sur le front d’Orient, le docteur Pierre Abrami, médecin chef du laboratoire de Zeitenlik, médecin à l’hôpital temporaire n° 3, a publié dans La Presse médical, n° 17, jeudi 22 mars 1917, pages 161-164 un article intitulé “Le paludisme primaire en Macédoine et son traitement”. Ce médecin explique clairement et brièvement le traitement mis au point dans ses services pour enrayer le mal. Seul le paludisme de première infection s’avèrait curable.

Début du texte
La Presse médicale, n° 17, jeudi 22 mars 1917, pages 161-164, cote Bium de Paris, 100.000, volume 1917.
« Le paludisme primaire en Macédoine et son traitement par P[ierre] Abrami, médecin chef du laboratoire de Zeitenlik,
médecin de l’hôpital T[emporaire], n° 3
Le paludisme qui a sévi sur les troupes de l’armée d’Orient s’est caractérisé, pendant la période estivale, par une indéniable gravité. Elle s’est manifestée simultanément dans les domaines de l’étiologie, de la clinique et de la thérapeutique: 1° par l’extension massive de l'épidémie, malgré l’application générale et précoce de la quininisation préventive; 2° par la fréquence d’accidents cliniques redoutables; 3° par l’inefficacité des traitements classiques.
Cette gravité tient manifestement à quatre causes principales: 1° la nature de l’agent pathogène; 2° la densité anophélienne; 3° la valeur élevée de l’index paludique; 4° la déchéance de l’organisme.
1° Le paludisme qui a sévi sur l’armée d’Orient est, avant tout, un paludisme à Pl. falciparum. Les recherches effectuées au laboratoire de Zeitenlik, de juin 1916 à janvier 1917, et qui ont porté sur plus de 3.600 cas, indiquent 83 p. 100 de falciparum, contre 17 pour 100 de vivax. Or, des trois hématozoaires le falciparum est de beaucoup le plus résistant à la quinine. »

Cordialement. LBK