Pour le transfert des cendres du maréchal Pétain à Douaumont

[Barrey]

Comment peut-on célébrer et commémorer la Grande guerre 1914-1918 sans honorer la mémoire du Maréchal Pétain, vainqueur de Verdun, généralissime des armées françaises en 1918, grand stratège militaire, toujours soucieux d’épargner la vie de ses hommes, y compris lors des mutineries de 1917, d'épargner la vie de ses poilus dont il fut si aimé ? Il est grand temps de réparer les outrages infligés à sa mémoire par des hommes oublieux de la vérité historique.

Charles de Gaulle, alors président de la république, disait lui-même, en 1966 : « la gloire que le maréchal Pétain avait acquise à Verdun, puis gardée en conduisant ensuite l’armée française à la victoire, ne saurait être contestée, ni méconnue par la patrie ». En ces années de commémoration de la guerre 1914-1918, afin que l’action glorieuse et décisive du Maréchal Pétain soit reconnue, il est grand temps de lui rendre les honneurs qui lui sont dus et de transférer solennellement ses cendres à Douaumont, parmi les soldats qu’il a tant aimés.

C'est pourquoi j'ai signé la pétition lancée pour le transfert des cendres du maréchal Philippe Pétain à Douaumont, parmi les soldats qu'il a aimé et servi et vous invite à en faire de même.

Guy Barrey
SIGNATAIRE DE LA PETITION POUR LE TRANSFERT DES CENDRES DU MARECHAL PETAIN A DOUAUMONT
Lien vers adresse de pétition supprimé par modération: Ce type de renvoi pour appel à pétition n'est pas conforme aux règles en vigueur sur le forum

[b sonneck]

Bonjour,

Certes. Mais comment imaginer qu'il puisse prendre place parmi ceux de ses anciens compagnons d'armes dont il a ensuite, d'un trait de plume, en signant le décret portant statut des juifs, voué les familles à l'extermination ? Quid encore de ceux de ses anciens compagnons d'armes qui, après avoir contribué à sa gloire, ont été raflés, déportés et exterminés ? Je n'ai pas d'attache personnelle avec la confession israélite, mais l'offense faite par le maréchal à l'honneur de la France, quelle que soit la considération que je puisse avoir par ailleurs, et que je conserve, pour le chef militaire qu'il a été, m'interdit à jamais de signer cette pétition.
Néanmoins cordialement,
Bernard Sonneck

[Charraud Jerome]

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