bonjour,
jolie croix de guerre avec palmes ! celle de droite est la médaille militaire...
thierry
emile nolly
Re: emile nolly
bonjour thierry
pourkoi ces ..........je voulais savoir de quand elle date et aussi avec quel évènements historiques elle est en rapport
merci
pourkoi ces ..........je voulais savoir de quand elle date et aussi avec quel évènements historiques elle est en rapport
merci
Re: emile nolly
bonjour à tous
bonjour claire
pour obtenir des renseignements sur la date et le motif d'attribution de ces 2 médailles, vous pouvez vous rendre aux archives départementales du lieu de naissance de votre AGP et consulter sa fiche matricule ( série R, année de sa naissance + 20 ans).
en principe, si la fiche est complete, vous pourrez avoir les renseignements
cordialement
bonjour claire
pour obtenir des renseignements sur la date et le motif d'attribution de ces 2 médailles, vous pouvez vous rendre aux archives départementales du lieu de naissance de votre AGP et consulter sa fiche matricule ( série R, année de sa naissance + 20 ans).
en principe, si la fiche est complete, vous pourrez avoir les renseignements
cordialement
157 et 159° RI
Re: emile nolly
bonjour dédé
c'est médailles n'appartiennent pas a mon a.grand père
je les découverte
dc je ne sais pas trop comment faire
on m'as emis l'hypothèse qu'elles dateraient de l'abdiquation de napoléon
c'est médailles n'appartiennent pas a mon a.grand père
je les découverte
dc je ne sais pas trop comment faire
on m'as emis l'hypothèse qu'elles dateraient de l'abdiquation de napoléon
Re: emile nolly
merci quand meme pour votre aide
est-ce-que vous savez si émile nolly a etait décorer?
est-ce-que vous savez si émile nolly a etait décorer?
Re: emile nolly
Bonsoir Claire,bonjour dédé
on m'as emis l'hypothèse qu'elles dateraient de l'abdiquation de napoléon
Un petit topo :
LA CROIX DE GUERRE
Au début de la guerre de 1914-1918, le besoin s'est fait sentir de créer une récompense pour les combattants courageux qui obtenaient une citation. La croix de guerre fut créée par la loi du 8 avril 1915, confortée par un décret d'application du 23 avril 1915.
Elle commémore depuis le début des hostilités, les citations individuelles pour faits de guerre. Elle récompense les militaires, mais aussi les civils et les personnels militarisés.
Les récipiendaires de la Légion d'Honneur et de la Médaille Militaire recevaient automatiquement la Croix de Guerre.
Pour les actes subséquents de bravoure, le récipiendaire recevait :
• une palme de bronze en forme de laurier pour une citation par le commandant d'une Armée,
• une étoile étoile de vermeil pour une citation par le commandant d'un Corps d'Armée,
• une étoile d'argent pour une citation par le commandant d'une Division
• une étoile de bronze pour une citation par le commandant d'une Brigade ou d'une Régiment.
Chaque mention est représentée par son emblème, donc un récipiendaire peut porter la Croix avec une étoile d'argent et une palme de bronze. Une palme d'argent était octroyée pour 5 palmes de bronze.
LA MÉDAILLE MILITAIRE :
L'une des décorations les plus prestigieuses au monde, mais aussi des plus originales puisqu'elle récompense à la fois les soldats, gradés et sous-officiers et
les généraux ayant commandé en chef devant l'ennemi.
HISTORIQUE :
Par un coup d'état, dans la nuit du 1er au 2 décembre 1851, Louis-Napoléon, Président de la IIe République, ouvre la voie à une restauration de l'Empire : l'Assemblée Nationale et le Conseil d'État sont dissous, le suffrage universel rétabli et un plébiscite annoncés.
Les 21 et 22 décembre, le pays apporte son soutien au Prince-Président. Le 14 janvier 1852, il promulgue une nouvelle constitution, lui donnant l'ensemble des pouvoirs pour une durée de dix ans. Huit jours après par décret du 22 janvier, il institue la Médaille Militaire. C'est dire l'importance de cette décoration ! D'autant plus que, s'il replace l'effigie de Napoléon 1er sur l'insigne de la Légion d'Honneur (décret du 16 mars), c'est sa propre effigie qu'il n'hésite pas à mettre, avec son prénom "Louis-Napoléon" sur l'avers de la Médaille qu'il a créée et décrite dans un décret du 29 février. Elle est de plus surmontée de l'aigle impériale, tenant deux éclairs de foudre dans ses serres.
Le message est clair : l'annonce du retour de l'Empire des Bonaparte est évident.
Le modèle de l'insigne est sans doute l'oeuvre du graveur général des Monnaies "Barre". Auteur également des médailles de Crimée, d'Italie et du Mexique.
Ce décret du 22 janvier outre la création de la Médaille Militaire, réglait aussi l'emploi par l'État des biens confisqués à la famille de Louis-Philippe. Le Prince-Président y glissa deux articles (le 11 et le 12) créant la Médaille.Le texte du 29 février lui était entièrement consacré.
Décoration de souverain et non de Président, la Médaille Militaire reçoit de plus un ruban jaune bordé de vert qui rappelle celui de l'Ordre de la Couronne de Fer que Napoléon 1er avait établi en 1805 pour son royaume d'Italie. Il n'y a aucun rapport entre ces deux décorations si différentes. Mais il est à remarquer, que l'Empereur portait l'insigne de son Ordre italien à côté de sa Légion d'Honneur ; son neveu fera de même pour sa Médaille Militaire.
Pour l'histoire : une note retrouvée dans les Archives de la Guerre (accompagnée de l'original du décret du 19 février 1852) explique le choix du ruban. Le ruban de la Couronne de Fer était orange. Le Prince a retenu le jaune pour la Médaille Militaire, car avec le temps, l'orange vire au jaune comme on peut le constater au Musée de la Légion d'Honneur.
Toutefois, cette décoration répond à un réel besoin. En France, il n'y avait jamais eu de décoration réservée à la troupe et aux sous-officiers. Sous l'Ancien Régime, les actes de courage et bravoure étaient récompensés par l'avancement et des avantages financiers sous formes de pensions diverses. Les médaillons de vétérans récompensant l'ancienneté.
Sous le Consulat, il y eut les Armes d'Honneurs puis la Légion d'Honneur, mais qui étaient décernées aussi aux officiers et pour l'Ordre aussi aux civils. Nombreuses furent les actions héroïques sans récompense sous l'Empire. Phénomène qui s'accrut avec la conquête de l'Algérie sous le règne de Louis-Philippe.
Avant de créer la Médaille, le Prince-Président distribua des témoignages officiels de satisfaction signés de sa main et comportant un diplôme richement décoré destiné à être encadré. En janvier 1852, il arrêta les quatre traits caractéristiques de "cette marque individuelle" qu'il allait créer :
• elle prendrait l'aspect d'une médaille ;
• elle serait la Médaille Militaire pour couronner la haute vertu militaire ;
• elle serait attribuée aux soldats, matelots, sous-officiers et assimilés ;
• elle comporterait d'une part une rente et serait d'autre part la récompense suprême des généraux.
Il fut soutenu dans son projet par son demi-frère, le duc de Morny, et le général de Saint-Arnaud, ministre de la Guerre. Le 21 mars 1852 eut lieu dans la cour des Tuileries, la première remise de Médailles Militaires à des sous-officiers et soldats cités à l'ordre ou blessés.
Le 10 mai 1852, la seconde remise eut lieu sur le Champ de Mars, devant la foule parisienne. Aux 1700 soldats et sous-officiers décorés s'ajoutèrent deux généraux, anciens de la Grande Armée, les comtes Reille et Vaillant, qui venaient d'être élevés à la dignité de Maréchal de France.
Sous le Second Empire, 43 Médailles Militaires furent remises à des généraux et amiraux. Chiffre exceptionnellement élevé. La III République conserva ce système qui valorisait le corps entier des Médaillés Militaires. Le prestige de cette décoration fut encore renforcé par sa remise aux Maréchaux de la Première Guerre Mondiale.
Le général Foch la reçut le 21 décembre 1916. Les généraux Joffre et Gallieni, le furent également. Le symbole de cette décoration était très fort : Le général Lyautey fut décoré au Maroc par un sous-officier, l'adjudant Caviglioli lui-même médaillé. On estime à un million le nombre de Médailles Militaires attribuées depuis sa création en 1852 à des soldats, marins, gradés et sous-officiers ou officiers de maistrance. L'administration de la Médaille Militaire a été confiée dès l'origine (article 7 du décret du 29 février 1852) à la Grande Chancellerie de la Légion d'Honneur.
Cette décoration est gérée par le Grand Chancelier. Elle est actuellement régie par le Code de la Légion d'Honneur et de la Médaille Militaire, promulguée par le général de Gaulle en 1962.
BÉNÉFICIAIRES & CONDITIONS D'OBTENTION :
La Médaille Militaire récompense les militaires et assimilés non officiers, conformément à l'article R.136 du Code de la Légion d'Honneur et de la Médaille Militaire instituée par le décret du 28 novembre 1962. Elle peut aussi être concédée (décret pris en Conseil des ministres) aux Maréchaux de France et aux officiers généraux, grand'croix de la Légion d'Honneur, qui en temps de guerre ont exercé un commandement en chef devant l'ennemi ou ont rendu des services exceptionnels à la Défense Nationale (ce dernier cas date d'un décret présidentiel du 5 mai 1950). Elle peut être attribuée :
• à ceux qui comptent huit années de services militaires ;
• à ceux qui ont été cités à l'ordre de l'armée quelle que soit leur ancienneté de service ;
• à ceux qui ont reçu une ou plusieurs blessures en combattant devant l'ennemi ou en service commandé
• à ceux qui se sont signalés par un acte de courage ou de dévouement méritant récompense.
Par ailleurs, le ministre de la Défense est autorisé à décerner la Médaille Militaire, soit directement, soit par voie de délégation, dans un délai d'un mois, aux militaires et assimilés, non officiers, tués ou blessés dans l'accomplissement de leur devoir.
Les propositions des militaires d'active sont transmises par la voie hiérarchique. En règle générale, les personnels non officier ne peuvent concourir pour la Légion d'Honneur qu'après avoir reçu la Médaille Militaire. Les personnels qui n'appartiennent pas à l'armée active doivent faire acte de candidature auprès de l'autorité qui détient leurs pièces matricules à l'exception des mutilés de guerre titulaires d'une pension d'invalidité au moins égale à 65 % qui doivent adresser directement une demande au Cabinet du ministre de la Défense, Bureau des Décorations. Le Conseil de l'Ordre de la Légion d'Honneur examine, à la Grande Chancellerie, les candidatures à la Médaille Militaire. La Médaille Militaire est accompagnée d'un traitement (devenu symbolique comme celui de la Légion d'Honneur) dans le cas des personnes décorées pour faits de guerre et dans celui des militaires du service actif.
Les étrangers qui servent ou ont servi dans l'armée française concourent pour la Médaille Militaire avec ou sans traitement : les premiers sur proposition du ministre de la Défense, les seconds sur proposition du Grand Chancelier de la Légion d'Honneur.
LA DISTINCTION :
La médaille est une couronne de laurier d'argent qui entoure un médaillon d'or où figure l'effigie de la République, entourée d'un cercle d'émail bleu où sont inscrits les mots : "République Française". Au revers, la médaille porte au centre du médaillon d'or, entouré d'un cercle bleu, la devise : "Valeur et Discipline". Les feuilles et boutons de laurier sont liés de deux rubans entrecroisés en haut et en bas. La médaille est suspendue à une bélière d'argent en forme de trophée d'armes (motifs : une cuirasse posée sur une ancre de marine, deux tubes de canons entrecroisés, une hache, un sabre...).
L'insigne est suspendu à un ruban jaune bordé de vert des deux côtés. La Médaille Militaire se porte après la Légion d'Honneur (ou éventuellement l'Ordre de la Libération) et avant l'Ordre National du Mérite.
A la chute du Second Empire, l'aigle qui surmontait la décoration fit place à un trophée d'armes et l'effigie de Napoléon remplacée par celle de la République (décret du 8 novembre 1870). La date de 1870 fut inscrite sur l'exergue (et remplacée par une devise par décret du 8 novembre 1951).
LA FOURRAGÈRE de la MÉDAILLE MILITAIRE :
Il s'agit d'un cordon tressé à la couleur (jaune et verte) de la Médaille Militaire. Le port de cette fourragère n'est pas le privilège des régiments et unités décorées de la Médaille Militaire. Il est réservé aux régiments et unités formant corps qui ont été cités 4 ou 5 fois à l'ordre de l'Armée. Le port de deux fourragères de la Légion d'Honneur et de la Médaille Militaire est réservée aux régiments et unité qui ont été cités 12 à 14 fois à l'ordre de l'Armée..
CÉRÉMONIAL de RÉCEPTION :
La cérémonie se déroule habituellement lors d'une prise d'armes. Lorsque ce n'est pas le cas, la remise de la Médaille Militaire, qu'elle soit effectuée dans un cadre public ou privé, doit avoir la solennité requise. Lors d'une prise d'armes, le commandant des troupes fait sortir du rang s'il y lieu le drapeau sans sa garde et le fait placer devant les troupes.
Les médaillés militaires ou les autorités désignées pour remettre les insignes se groupent à cinq pas derrière le drapeau. Les récipiendaires se rangent à dix pas devant le drapeau et lui faisant face. S'il y a des membres et des récipiendaires de l'Ordre de la Légion d'Honneur, les médaillés militaires et les récipiendaires de la Médaille Militaire se placent à leur gauche. La remise de la Médaille Militaire se fait après celle de la Légion d'Honneur, si elle se fait au cours d'une cérémonie commune.
Le commandant des troupes fait mettre l'arme sur l'épaule et ouvrir le ban. La personne procédant à la remise de la décoration se place en face du récipiendaire et l'ayant appelé par son grade et son nom, il lui adresse les paroles suivantes : "Au nom du Président de la République, nous vous conférons la Médaille Militaire". Elle lui fixe l'insigne à gauche sur la poitrine. Le commandant des troupes fait fermer le ban. Le drapeau rejoint sa garde.Puis les nouveaux médaillés militaires assistent au défilé des troupes.
ORGANISATION :
Le Grand Chancelier de la Légion d'Honneur gère la Médaille Militaire. De même, l'administration de la Légion d'Honneur s'étend à la Médaille Militaire. Les services administratifs communs sont installés au Palais de la Grande Chancellerie, 1, rue de Solferino, 75007 PARIS. Le service des propositions et celui de gestion sont communs à la Légion d'Honneur et à la Médaille Militaire, sous la direction du Secrétaire général adjoint de la Grande Chancellerie. Les médaillés militaires sont soumis aux même règles de discipline que les membres de l'Ordre de la Légion d'Honneur. La Société d'Entraides des Médaillés Militaires, joue un grand rôle social, son siège est situé 36, rue de la Bienfaisance, 75008 PARIS. Société mutualiste, elle a été créée en 1904. Régie par la loi du 1er avril 1892, approuvée le 10 mai 1904, elle fut reconnue d'utilité publique le 3 novembre 1931. Elle édite une revue intitulée "Le Médaillé Militaire", qui défend le prestige de la décoration, les intérêts et les droits de ses membres.
Les villes, emblèmes et collectivités peuvent également recevoir la Médaille Militaire, mais il faut signaler que cette distinction est très rare.
Notons le fanion de la 3e compagnie du 1er RCP, décoré au Liban le 8 novembre 1983. Cette unité ayant perdu 58 soldats lors d'un attentat à Beyrouth.
De rares personnalités étrangères ont reçu la Médaille Militaire. L'exemple de Churchill décoré par Paul Ramadier, Président du conseil et médaillé militaire.
Le Palais de Salm ayant brûlé sous la Commune et beaucoup d'archives détruites, les recherches concernant les débuts de cette décoration sont très difficiles. Toutefois, il semble que la première femme médaillée militaire ait été Perrine Cros, cantinière aux chasseurs à pieds de la Garde et blessée à Solferino, décorée en 1859. Déjà originale par le fait qu'elle récompense à la fois la base de la hiérarchie (le personnel non officier) et son sommet (les officiers généraux), la Médaille Militaire se caractérise aussi par le fait que tout en étant la médaille de la bravoure, elle remplace l'ancien médaillon de la Vétérance de l'Ancien Régime. Mais l'ancienneté n'est pas un droit et le nombre minimum de huit années de services n'est qu'une indication pour les propositions à partir desquelles les militaires peuvent concourir.
Elle était surnommée à juste titre, sous le Second Empire :
"le Bijou de l'Armée".
Voilà,
Très cordialement,
Franck
Re: emile nolly
Traduction :merci quand meme pour votre aide
est-ce-que vous savez si émile nolly a etait décorer?
Bonsoir à tous,
Merci quand même pour votre aide. Savez vous si Emile Nolly a été décoré ?
Cordialement,
Chaihh1
(je vous taquine un peu, Claire, mais çà part d'un bon sentiment


Bon, si vous souhaitez savoir si votre AGP a été décoré à titre militaire pour faits de guerre :
1. Ce sera sous son vrai nom d'état civil, et non sous son nom de plume, je pense.
2. Il vous faut vous procurer son dossier militaire. Etant officier, celui ci se trouve au Service Historique de l'Armée de Terre à Vincennes. Vous pouvez les trouver les coordonnées sur le Web avec un moteur de recherche.
Bien cordialement,
Franck
Re: emile nolly
bonjour
a lire sur http://gallica.bnf.fr/
dans "la revue de paris" de novembre ,decembre 1914 ,un article d'une vingtaine de pages ecrit par marcel Prevost qui a pour titre "Emile NOLLY tué a la guerre"
amicalement
sophie
a lire sur http://gallica.bnf.fr/
dans "la revue de paris" de novembre ,decembre 1914 ,un article d'une vingtaine de pages ecrit par marcel Prevost qui a pour titre "Emile NOLLY tué a la guerre"
amicalement
sophie

Recherches sur le 19eme RI, le 219e RI et le 50eme RA.
Mes deux sites: http://19emeri.canalblog.com/ et http://219eri.e-monsite.com/
Mes deux sites: http://19emeri.canalblog.com/ et http://219eri.e-monsite.com/
- garnier jean pierre
- Messages : 683
- Inscription : lun. sept. 05, 2005 2:00 am
Re: emile nolly
Bonsoir

Si votre AGP a servi au 23e colonial il y a de fortes chances pour qu'il ait été blessé aux combats de Rossignol en Belgique.
Les 21 et 23e colonial formaient la 5e brigade de la 1ere division infanterie coloniale (Général Goullet).
La 5e brigade a livré combat le 22 Août 1914 (journée tragique pour l'armée française) à la bataille des frontières.
Cette brigade s'est battue dans la forêt d'orval contre DEUX divisions allemandes (21 et 25e) de reserve du 18e Korps.
Les marsouins (inf coloniale) ont été pratiquement décimés car attendus par les allemands parfaitement retranchés.
Un véritable traquenard.
Un jour, si vous passez dans la région, vous y verrez de nombreux monuments
témoignant de ces journées tragiques.
Votre AGP, le capitaine marsouin, ne sera pas très loin de vous.
Bien cordialement.
JP

Si votre AGP a servi au 23e colonial il y a de fortes chances pour qu'il ait été blessé aux combats de Rossignol en Belgique.
Les 21 et 23e colonial formaient la 5e brigade de la 1ere division infanterie coloniale (Général Goullet).
La 5e brigade a livré combat le 22 Août 1914 (journée tragique pour l'armée française) à la bataille des frontières.
Cette brigade s'est battue dans la forêt d'orval contre DEUX divisions allemandes (21 et 25e) de reserve du 18e Korps.
Les marsouins (inf coloniale) ont été pratiquement décimés car attendus par les allemands parfaitement retranchés.
Un véritable traquenard.
Un jour, si vous passez dans la région, vous y verrez de nombreux monuments
témoignant de ces journées tragiques.
Votre AGP, le capitaine marsouin, ne sera pas très loin de vous.
Bien cordialement.
JP
Re: emile nolly
Bonsoir à tous,
Bonsoir Sophie,
Une petite liste de ses ouvrages :
Auteur : NOLLY EMILE
Livre : GENS DE GUERRE AU MAROC
Edité par Calmann-levy - Paru en 1915
Auteur : NOLLY EMILE
Livre : LA BARQUE ANNAMITE
Edité par Calmann-levy - Paru en 1921
Auteur : NOLLY EMILE
Livre : LA BARQUE ANNAMITE - ROMAN DE MOEURS TONKINOISES
Edité par Calmann-levy - Paru en 1927
Auteur : NOLLY EMILE
Livre : LE CHEMIN DE LA VICTOIRE
Edité par Calmann-levy - Paru en 1913
Auteur : NOLLY EMILE
Livre : LE CONQUERANT
Edité par J peyronnet et cie - Paru en 1946
Auteur : NOLLY EMILE (CAPITAINE DETANGER)
Livre : LE CONQUERANT. JOURNAL D'UN INDESIRAVBLE AU MAROC. CALMANN LEVY ED. 1916
- Paru en 1916
Auteur : NOLLY
Livre : HIEN LE MABOUL
- Paru en s.d.
Cordialement,
Franck
Bonsoir Sophie,
Une petite liste de ses ouvrages :
Auteur : NOLLY EMILE
Livre : GENS DE GUERRE AU MAROC
Edité par Calmann-levy - Paru en 1915
Auteur : NOLLY EMILE
Livre : LA BARQUE ANNAMITE
Edité par Calmann-levy - Paru en 1921
Auteur : NOLLY EMILE
Livre : LA BARQUE ANNAMITE - ROMAN DE MOEURS TONKINOISES
Edité par Calmann-levy - Paru en 1927
Auteur : NOLLY EMILE
Livre : LE CHEMIN DE LA VICTOIRE
Edité par Calmann-levy - Paru en 1913
Auteur : NOLLY EMILE
Livre : LE CONQUERANT
Edité par J peyronnet et cie - Paru en 1946
Auteur : NOLLY EMILE (CAPITAINE DETANGER)
Livre : LE CONQUERANT. JOURNAL D'UN INDESIRAVBLE AU MAROC. CALMANN LEVY ED. 1916
- Paru en 1916
Auteur : NOLLY
Livre : HIEN LE MABOUL
- Paru en s.d.
Cordialement,
Franck