Vestiges allemands près de Verdun.

[RADET Frederic]

Bonsoir,
Bonsoir,

Des marches, vestiges d'un grand baraquement au Hanover Lager.


Une traverse de chemin de fer plantée en terre ayant servi de support a une pompe.








Cordialement,

Frédéric

[Maurice38]

Bonjour Frédéric
Un grand merci pour tous ces vestiges inconnus
J'imagine que vous ne comptez pas les kms parcourus en forêt
Je suis surpris par la conservation de certains vestiges, certainement éloignés des sentiers battus
Cordialement
Maurice

[RADET Frederic]

Bonsoir Maurice,

J'imagine que vous ne comptez pas les kms parcourus en forêt

C'est sûr, et cela fait 20 ans que ça dure...! Il y a même de nombreux sites dont je ne me lasserais jamais...

Celui-ci en fait partie, il s'agit d'une gare perdue en pleine nature.

L'arrière de la gare et l'emplacement de la voie ferrée.






Une vue de l'intérieur.






Le marquage datant cette construction de septembre 1916.




Cordialement,

Frédéric

[RADET Frederic]

Bonsoir,

Sous les feuilles, le béton, dans un bois de la Woëvre les allemands ont bétonnés des chemins entiers, celui-ci fait plus de 350 mètres quasiment en ligne droite.



On est loin des voies romaines mais quand même…ils sont fous ces Germains !!!

Cdl,
Frédéric

[zabmarcus]

bonjour fred.
quel dommage que cela soit dé jas fini.il faut continuer le reportage photo.
merci pour celles ci.c ce sont vraiment des trésors de battisses préservées en pleines nature.pourvu que ça dure.j attens les prochaines.
salutations
marc

[daniel19120]

Bonjour Fred
Super les photos de tes ballades d endroits ou la nature reprend ses droits.J ai bien aimé les photos ou des détails d une époque révolue refont surface exemple les tranchées ou il y a encore les poteaux en bois d époque. La gare aussi c est sympa et surtout aucun graffitis.
Il y a des endroits qui me rappellent la foret de spincourt.
Salutations
Daniel

[RADET Frederic]

Bonsoir,

Sous les feuilles, le béton, dans un bois de la Woëvre les allemands ont bétonnés des chemins entiers, celui-ci fait plus de 350 mètres quasiment en ligne droite.

N’ayant pas fini de « quadriller » ce coin (cela fait trois après-midi que je m’y colle) il faut rectifier la longueur du chemin bétonné, il n’est pas de 350m comme dit plus haut, mais approche plutôt les 800m.

Le béton éclaté par endroit donne une idée de l'épaisseur de la dalle qui oscille entre 12 et 18 cm.

Ce chemin est parallèle à une voie ferrée de 0,60, près de 150m les séparent. Certaines portions servent aux tracteurs pour le débardage, d'autres sont plus difficile a détecter.



Le ballast est toujours bien présent.

J ai bien aimé les photos ou des détails d une époque révolue refont surface exemple les tranchées ou il y a encore les poteaux en bois d époque.

Vendredi dernier j'ai retrouvé une autre tranchée comportant encore quelques poteaux bien fragiles...

Une planche.


Ici une tranchée débouchant sur un abri bétonné.



Dire que les allemands ont beaucoup bétonné cette zone est un doux euphémisme, cela tient du délire, il y peu de secteurs où l’utilisation du béton est aussi dense. Je mettrai des photos dans les jours qui viennent.

Cordialement,

Frédéric

[air339]

Bonsoir Frédéric,


Merci de nous faire partager le fruit de vos ballades ! Etonnante, cette gare abandonnée ! Bucoliques, ces tranchées inondées ! Et cette longue piste bétonnée, a quoi a t-elle bien pu servir ??

Bien cordialement,

Regis

[RADET Frederic]

Bonsoir Frédéric,


Merci de nous faire partager le fruit de vos ballades ! Etonnante, cette gare abandonnée ! Bucoliques, ces tranchées inondées ! Et cette longue piste bétonnée, a quoi a t-elle bien pu servir ??

Bien cordialement,

Regis

Bonjour Régis,

La Woëvre est une région assez humide, les bois et les champs sont la plupart du temps gorgés d’eau et nombre d’abris sont inondés quasiment toute l’année. Cependant peu de camps sont dotés d’allées bétonnées, on en voit mais cela reste tout de même peu courant.
Ce chemin devait donc être un confort supplémentaire pour les communications allemandes, d’ailleurs on est toujours à pieds secs lorsque l’on empreinte ce dernier. Encore faut-il le trouver, c’est ça le plus difficile…

Cordialement,

Frédéric

[air339]

Bonjour,


Merci Frédéric de partager de travail de recensement. Et en souhaitant que les lieux restent tels quels et ne fassent pas l'objet d'un futur tourisme avec panneautage et audioguides !

Bien cordialement,

Régis