Bonsoir à tou(te)s,
Je me souviens, fin des années 50, lors de mes classes au 1er BCP dans la région de Reims, des tas d'obus parfaitement rangés le long des chemins de terre que nous empruntions lors de nos séances d'instruction militaire. On aurait dit des tas de bois comme en on voit encore aujourd'hui dans les Landes dans les parcelles autorisées à la coupe... Impressionnant.
Les conversations cessaient... nous passions silencieux et pensifs...
Les appareils photos étaient rares à l'époque.
Cordialement,
Jean RIOTTE
On voit de plus en plus de clôtures de genre qui sont strictement interdite, de par le danger que repésente ces grands piquets de fer.
Dans la commune voisine de la mienne, un individu avait même clôturer le terrain autours de sa maison nouvellement construite avec ces piquets.
Il a vite reçu un courrier du maire pour les retirer, ce qu'il n'a pas fait d'ailleurs, il les a juste reculées de 50 cm pour disposer devant un simple grillage.
Ce que je peux vous dire, c'est que les piquets qu'il a utilisé ne proviennent pas d'un ferrailleur ou d'un stock quelconque, il les a tout bonnement "empruntées" sur un ancien champ de bataille.
Ces piquets sont très faciles à enlever, du simple fait qu'ils sont vissés en terre.
Cordialement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.