Dans cette rubrique Sites et Vestiges, nous pensons utile de vous communiquer un document qui date de 1931 (13 ans seulement après la fin de la Grande Guerre). Il appartenait à la dernière petite sœur de Pierre HOFF (fratrie de 9 enfants), cet écouteur tué à la cote 304, que nous vous avons présenté par ailleurs
Cette très intéressante Notice sur le Fort de Vaux nous a été confiée par le dernier descendant de la famille en question. Nous ignorons s’il est encore possible d’en trouver d’autres exemplaires, car nous n’avons pas cherché.
"Tes yeux brillaient moins aujourd'hui /Dis-moi, dis-moi pourquoi chère âme /Dis-moi quel chagrin, quel ennui /Mettait un voile sur leur flamme." - Sergent Ducloux Désiré, dit Gaston - 146° RI
"Tes yeux brillaient moins aujourd'hui /Dis-moi, dis-moi pourquoi chère âme /Dis-moi quel chagrin, quel ennui /Mettait un voile sur leur flamme." - Sergent Ducloux Désiré, dit Gaston - 146° RI
P.S. : Si vous souhaitez un cliché en plus haute résolution, veuillez nous contacter en nous donnant votre adresse e-mail.
"Tes yeux brillaient moins aujourd'hui /Dis-moi, dis-moi pourquoi chère âme /Dis-moi quel chagrin, quel ennui /Mettait un voile sur leur flamme." - Sergent Ducloux Désiré, dit Gaston - 146° RI
La notice sur la Citadelle est certainement postérieure aux années 60
Dans la même collection ( Verdun dans l'Histoire ) est parue une Notice sur la Tranchée des Baîonnettes
Bien amicalement
Marpie
La notice sur la Citadelle est certainement postérieure aux années 60
Dans la même collection ( Verdun dans l'Histoire ) est parue une Notice sur la Tranchée des Baîonnettes
Bien amicalement
Marpie
bonsoir
ben justement j'allait posée cette question car j'ai pas de date dans la notice
Bonsoir
Ces notices datent de l'époque à laquelle M. Frémont était président de l'office du tourisme de Verdun.
Lors de la fermeture de l'imprimerie du même nom, le reste de la production a été racheté une bouchée de pain par des marchands de cartes postales.
Pour ne prendre que l'exemple de la copie du guide Michelin, nous avions fait un calcul: 20 centimes de franc l'unité.... revendue de nos jours pas vraiment au même prix
Merci pour ce partage. Cette notice est en effet plutôt courante.
Je me suis toujours interrogé sur plusieurs points concernant ces combats dans le fort de Vaux, essentiellement dans les gaines reliant les coffres au fort. On mentionne l’avance des Allemands dans ces gaines, de l’ordre de 60 mètres en 6 jours, le recul ne se faisant que très lentement, pied à pied. Comment imagine t-on que l’avance pu se faire de façon progressive ? Les couloirs des coffres sont constitués d’escaliers et de tronçons horizontaux. Il est fort probable que les barrages aient été installés en haut des escaliers, sur la dernière partie et la plus proche du fort, et qu’ils n’aient jamais bougé, malgré les assauts répétés des troupes allemandes. Une simple mitrailleuse prenant en enfilade ce couloir, du haut des escaliers et positionnée derrière un premier barrage, devait réduire à zéro toutes velléité offensive de la part de l’ennemi. Par ailleurs, la gaine de combat du coffre simple ne comporte aucune trace de combat sur quasiment la totalité de sa longueur, alors qu’elle présente de nombreux stigmates des bombardements qu’elle a subie…
Cela reste pour moi mystérieux.
Autre point énigmatique : des assauts répétés par les gaz ? A mon sens, l’utilisation de gaz de combat dans cet espace confiné aurait autant mis en danger les assaillants que les défenseurs. La fumée provoquée par l’utilisation des flammenwerfer devait bien suffire à rendre l’atmosphère irrespirable dans cet enfer.