Les suites écologiques de la guerre de 1914-1918 et les conséquence écologique de cette guerre à nos jours
Suite à un article de presse sur le port Zeebrugge, je pensais pas aux conséquences écologiques de cela
les obus à ca jour font encore des morts mais ce qui suit le savont nous.
Sur les sites les plus bouleversés où les explosifs et les toxiques de combat sont encore trop nombreux pour que l’on puisse rendre les sols à l’agriculture ou à l’urbanisation, on plantera des forêts de guerre, dont la forêt de Verdun et la forêt d'Argonne, qui ont poussé sur d’anciens champs criblés de trous d’obus et de tranchées. Dans ces forêts, certains villages ne sont pas reconstruits. Ces séquelles terrestres sont connues des spécialistes, en particulier des démineurs, mais il semble que la pollution libérée par les dizaines de milliards de billes de plomb des shrapnel et les balles, ou le mercure des amorces soient lentement capables de s’accumuler dans les écosystèmes et certains aliments. C’est un problème qui n’a jamais été pris en compte est traité par les historiens ni les spécialistes en santé publique.
Aucune étude officielle ne semble s’être intéressée au devenir des métaux lourds et des toxiques de combat dans les sols et les écosystèmes de la zone rouge.
Mais que dire des séquelles marines, bien que préoccupantes semblent avoir été oubliées durant 70 à 80 ans. Ainsi les pays baltes voient-ils la situation écologique de la mer Baltique s’effondrer des années 1990 à 2006, tout en redécouvrant des dizaines de milliers de tonnes de munitions immergées de 1914 à 1918 et après (incluant des armes chimiques dont certaines commençant à fuir). Les pêcheurs remontent parfois de l'ypérite dans leurs filets dans la Baltique
En Belgique, à Zeebrugge, on retrouve incidemment un dépôt immergé de 35 000 tonnes d’obus noyés là peu après 1918 puis oubliés. Parmi ces obus, 12 000 tonnes sont chargés d’ypérite et de chloropicrine toujours actives, à quelques centaines de mètres de la plage et de l’embouchure du port méthanier. En 2005 que quelques articles de presse évoquent la publication discrète d’un rapport à la Commission OSPAR ( La Convention pour la protection du milieu marin de l'Atlantique du Nord-Est ou Convention OSPAR (OSPAR pour « Oslo-Paris ») définit les modalités de la coopération internationale pour la protection du milieu marin de l'Atlantique du nord-est. Elle est entrée en vigueur le 25 mars 1998, et remplace les Conventions d'Oslo et de Paris.
OSPAR intègre un groupe « biodiversité » qui a notamment travaillé sur le problème des séquelles maritimes de guerre, et en particulier les problèmes posés par les nombreux sites de munitions immergées. Il a aussi fixé pour les parties prenantes un objectif pour 2010 qui est l'établissement d'un « réseau cohérent d'aires marines protégées » ) insistant les dépôts immergés de millions de munitions dangereuses et polluantes, datant de la grande guerre et des périodes suivantes. C’est face au littoral français que le nombre de dépôts immergés est le plus important. Alors que ces munitions commencent à fuir et à perdre leurs contenus toxiques, la question de leur devenir se pose. Une centaine de zones mortes ont été répertoriées en mer par l’ONU, la plupart coïncident avec des zones d’immersion en mer de munitions, ce qui pose la question de l’évaluation des impacts environnementaux de ces déchets toxiques et/ou dangereux immergés. Les taux de mercure augmentent de manière préoccupante dans les écosystèmes et notamment dans le poisson. On peut craindre qu’une partie de ce mercure provienne des milliards d’amorces au fulminate de mercure des têtes d’obus et des douilles d’obus ou de balles ou d’autre munitions (1 g de mercure par amorce en moyenne) non utilisée ou non explosée et jetées en mer après cette guerre ou la suivante.
Qui aurait des cartes de ces dépôts de rejet en mer du nord ,et sur les rivages de france ! Et le pourquoi ? et pour qu'elle raison de cela , qui aurait des informations de dépolution des champs de bataille ,habitant de champs de batailles et de de mort de cette guerre ou on parle déjà pas de eux ! alors sur ce sujet encore moins .
qui aurait des information sur cela ,et des exemples sur ces points
merci de vos réponses marc baert
Les suites écologiques de la guerre de 1914-1918 à ce jour
- genealogie-baert
- Messages : 341
- Inscription : mer. janv. 06, 2010 1:00 am
- Localisation : SEQUEDIN
Re: Les suites écologiques de la guerre de 1914-1918 à ce jour
Bonjour Marc,
Merci d'évoquer ce problème, qui n'est pas très connu en effet.
Je suis allé consulter le site de l'OSPAR, je n'y ai trouvé qu'un document, en anglais, c'est l'avant-dernier sur cette page :
http://www.ospar.org/v_publications/bro ... 000_000000
On y voit une carte qui n'est pas très détaillée.
Il y a aussi une base de données répertoriant les munitions trouvées en mer (en 2004), avec à chaque fois les coordonnées géographiques. Il est précisé "Entanglement in nets" lorsque l'objet a été pris dans des filets de pêche, "found on shore" lorsqu'il a été trouvé sur le rivage, "minehunting" désignant je suppose une opération de recherche de mines effectuée par les autorités. On trouve parfois aussi la mention "dredging activities", qui désigne le dragage. Sans oublier "diving", la plongée.
Cordialement,
Yves
Merci d'évoquer ce problème, qui n'est pas très connu en effet.
Je suis allé consulter le site de l'OSPAR, je n'y ai trouvé qu'un document, en anglais, c'est l'avant-dernier sur cette page :
http://www.ospar.org/v_publications/bro ... 000_000000
On y voit une carte qui n'est pas très détaillée.
Il y a aussi une base de données répertoriant les munitions trouvées en mer (en 2004), avec à chaque fois les coordonnées géographiques. Il est précisé "Entanglement in nets" lorsque l'objet a été pris dans des filets de pêche, "found on shore" lorsqu'il a été trouvé sur le rivage, "minehunting" désignant je suppose une opération de recherche de mines effectuée par les autorités. On trouve parfois aussi la mention "dredging activities", qui désigne le dragage. Sans oublier "diving", la plongée.
Cordialement,
Yves
Re: Les suites écologiques de la guerre de 1914-1918 à ce jour
Bonjour à tous,
Un article intéressant sur le sujet, il y est question notamment de la "place à gaz" située près de Verdun, et déjà évoquée ICI. Les démineurs ont encore de quoi s'occuper pour un moment...
http://www.lemonde.fr/a-la-une/article/ ... _3208.html
Cordialement
Yves
Un article intéressant sur le sujet, il y est question notamment de la "place à gaz" située près de Verdun, et déjà évoquée ICI. Les démineurs ont encore de quoi s'occuper pour un moment...
http://www.lemonde.fr/a-la-une/article/ ... _3208.html
Cordialement
Yves
- genealogie-baert
- Messages : 341
- Inscription : mer. janv. 06, 2010 1:00 am
- Localisation : SEQUEDIN
Re: Les suites écologiques de la guerre de 1914-1918 à ce jour
Bonjour à tous
il est un peu vrai que après la guerre, les belligérants ont caché les munitions non utilisées, notamment chimiques, dans des lieux classés top secret ( surtout en mer )
A ce jour les polutions par la guerre sont bien la et tue encore aprés 100 ans.
« Quand des gens veulent se faire la guerre, ils se soucient peu des générations futures ,la terre et les mers en sont leurs poubelles.
Le souvenir de ménoire est déjà presque plus ,mais les suites de guerre bien la .
cordialement
MARC
il est un peu vrai que après la guerre, les belligérants ont caché les munitions non utilisées, notamment chimiques, dans des lieux classés top secret ( surtout en mer )
A ce jour les polutions par la guerre sont bien la et tue encore aprés 100 ans.
« Quand des gens veulent se faire la guerre, ils se soucient peu des générations futures ,la terre et les mers en sont leurs poubelles.
Le souvenir de ménoire est déjà presque plus ,mais les suites de guerre bien la .
cordialement
MARC
baert marc
Re: Les suites écologiques de la guerre de 1914-1918 à ce jour
Bonsoir à tous, en ce qui concerne la France, je sais, pour l'avoir fait, que tous les ans, les unités d'intervention de la sécurité civile interviennent sur les principaux champs de bataille. Pour ma part, j'ai eu l'occasion de faire du deforestage et déminage , sur le chemin des dames durant les hivers 1995-1996! On tombe les arbres, repoussés ou replantés, on récupère les divers projectiles et munitions, on les détruit à l'explosif (c4) sur des airs de destruction prévues à cet effet.
Certes tous ces objets sont encore actifs et dangereux, mais traités par des professionnels (civils et militaires). Bien évidemment, ce sont des chantiers de très longue durée, quelques hectares par ans!
En ce qui concerne la pollution aux métaux lourds, nos camions "reniffleurs" des cellules catastrophes modernes n'ont jamais montré des taux anormaux en ce qui concerne les sols , l'eau et les végétaux.
Cordialement,
Laurent.
Certes tous ces objets sont encore actifs et dangereux, mais traités par des professionnels (civils et militaires). Bien évidemment, ce sont des chantiers de très longue durée, quelques hectares par ans!
En ce qui concerne la pollution aux métaux lourds, nos camions "reniffleurs" des cellules catastrophes modernes n'ont jamais montré des taux anormaux en ce qui concerne les sols , l'eau et les végétaux.
Cordialement,
Laurent.
- Patrice Pruniaux1
- Messages : 931
- Inscription : sam. déc. 09, 2006 1:00 am
Re: Les suites écologiques de la guerre de 1914-1918 à ce jour
Bonsoir,En ce qui concerne la pollution aux métaux lourds, nos camions "reniffleurs" des cellules catastrophes modernes n'ont jamais montré des taux anormaux en ce qui concerne les sols , l'eau et les végétaux.
Il fut question, il y a un certain temps et même un temps certain, d'avions renifleurs de gisements pétrolifères ... Nous connaissons l'histoire.
En 40 ans de métier, je n'ai jamais entendu parler de " camions " renifleurs.
Déjà parce que nous avons des engins, des véhicules ou des cellules qui ne reniflent rien du tout. Ça c'est précisé pour ceux qui ne connaissent pas !
Ils produisent plutôt des émanations polluantes...
Par contre, ils ou elles sont armé(e)s de matériels divers de détection qui permettent de reconnaitre et baliser une zone polluée par X produit(s).
[:patrice pruniaux1] Contrairement à ce que vous dîtes, les services d'incendies et de secours interviennent et constatent très fréquemment des pollutions diverses.
Concernant les E.T.M, ce sont même des interventions en augmentations constantes malheureusement. Même l'eau de notre robinet n'est pas à l'abri. Le " Profil métallique " n'a pas été créé pour rien.
Cordialement Patrice Pruniaux, ex breveté N.B.C ( N.R.B.C comme on dit maintenant.)
Re: Les suites écologiques de la guerre de 1914-1918 à ce jour
Bonjour à tous,
Il faut croire que ces problèmes de pollution n'ont pas servi de leçon.
Comme quelques uns d'entre vous le savent, le camp de Suippes est un des sites de destruction d'engins explosif en tous genres et de tous les conflits.
Il est également un champ de tir international, notamment pour les armées de l'air.
Il faut savoir que sur ce champ de tir les avions s'entrainent avec des bombes (bleues) qui sont lestées avec de la grenaille de plomb. Cette grenaille est censée se compacter à l'impact. Je peux vous garantir que ce n'est le cas que pour une petite partie du volume total de cette grenaille. Je parle en connaissance de cause car j'utilisais cette grenaille non compactée pour faire des sachets de lest pour le parachutisme sportif. (Ceux qui pratiquent ce sport savent de quoi il s'agit).
Je ne sais pas si actuellement ce procédé est toujours utilisé, mais il l'était encore à la fin des années 90.
J'ai personnellement averti mes supérieurs sur cette sur-pollution d'un site classé zone rouge à cette période (fin des années 90). Ils sont bien sûr tombés des nues car seuls les personnels chargés de ramasser les restes de ces bombes savaient ou connaissaient ce problème.
On m'a très vite fait comprendre que ce problème ne me regardait pas.
Je ne parle même pas des obus à l'uranium appauvri dont sont équipés certaines armées qui viennent tirer sur ce même champ de tir.
On ne me fera pas croire que (au moins pour les bombes d'exercice) seuls les fabricants sont au courant. Ces munitions ont bien été approuvées par un service quelconque.
La pollution et les maladies liées au plomb (saturnisme) étaient pourtant d'actualité bien avant cette période.
Alors on peut se poser la question de savoir si on est capable de retenir les leçons ou encore si vraiment tout le monde est sensibilisé à ces pollutions qui un jour ou l'autre devront bien être traitées.
Ce que j'avance ici n'engage que moi bien sûr, mais vous comprendrez que n'est pas tiré de mon imagination car mon pseudo me rend facilement identifiable.
Cordialement
jcp
Il faut croire que ces problèmes de pollution n'ont pas servi de leçon.
Comme quelques uns d'entre vous le savent, le camp de Suippes est un des sites de destruction d'engins explosif en tous genres et de tous les conflits.
Il est également un champ de tir international, notamment pour les armées de l'air.
Il faut savoir que sur ce champ de tir les avions s'entrainent avec des bombes (bleues) qui sont lestées avec de la grenaille de plomb. Cette grenaille est censée se compacter à l'impact. Je peux vous garantir que ce n'est le cas que pour une petite partie du volume total de cette grenaille. Je parle en connaissance de cause car j'utilisais cette grenaille non compactée pour faire des sachets de lest pour le parachutisme sportif. (Ceux qui pratiquent ce sport savent de quoi il s'agit).
Je ne sais pas si actuellement ce procédé est toujours utilisé, mais il l'était encore à la fin des années 90.
J'ai personnellement averti mes supérieurs sur cette sur-pollution d'un site classé zone rouge à cette période (fin des années 90). Ils sont bien sûr tombés des nues car seuls les personnels chargés de ramasser les restes de ces bombes savaient ou connaissaient ce problème.
On m'a très vite fait comprendre que ce problème ne me regardait pas.
Je ne parle même pas des obus à l'uranium appauvri dont sont équipés certaines armées qui viennent tirer sur ce même champ de tir.
On ne me fera pas croire que (au moins pour les bombes d'exercice) seuls les fabricants sont au courant. Ces munitions ont bien été approuvées par un service quelconque.
La pollution et les maladies liées au plomb (saturnisme) étaient pourtant d'actualité bien avant cette période.
Alors on peut se poser la question de savoir si on est capable de retenir les leçons ou encore si vraiment tout le monde est sensibilisé à ces pollutions qui un jour ou l'autre devront bien être traitées.
Ce que j'avance ici n'engage que moi bien sûr, mais vous comprendrez que n'est pas tiré de mon imagination car mon pseudo me rend facilement identifiable.
Cordialement
jcp
JCP
Passionné par ce conflit, mais j'me soigne !!
Passionné par ce conflit, mais j'me soigne !!
-
- Messages : 156
- Inscription : mer. oct. 20, 2004 2:00 am
Re: Les suites écologiques de la guerre de 1914-1918 à ce jour
Bonjour à tous,
Nous touchons là, du bout du doigt, un problème environnemental très complexe.
Je vais essayer de vous brosser en quelques lignes la situation… concernant les armes chimiques, étant donné que je connais un peu le sujet.
En premier lieu, il faut savoir que nous parlons ici d’un sujet très sensible, aujourd’hui classé Secret Défense, in Vitam aeternam !! En effet, la loi archive de 2008 interdit clairement la divulgation de : « Documents comportant des informations permettant la fabrication, l’utilisation ou la localisation d’armes de destruction massive ».
Pourquoi ? Il y aurait des stocks d’armes de destruction massives (chimiques, en l’occurrence), sur notre territoire qui seraient cachés ??
Il n’existe effectivement pas d’études concernant l’impact environnemental des pollutions aux munitions anciennes, et cela est très regrettable. On semble seulement en prendre conscience et il semble difficile d’évaluer la situation à ce jour.
Les stocks chimiques immergés sont une véritable préoccupation en terme de retombées écologiques. Mais là, « circulez !! Y’a rien à voir ! » est la devise actuelle.
Pour le reste, c’est Secret défense…
Il est interdit de se préoccuper des stocks de « dépollution sauvage » des années 1920, enterrés sur le territoire dans des endroits ultra-confidentiels.
Il est interdit d’évoquer les recherches et les efforts industriels concernant l’arme chimique en France, de 1920 à 1940, qui conduiront à la production du stock le plus important d’armes chimiques de tous les belligérants et de la quantité de munitions chimiques chargées hallucinante stockée sur le territoire en 1940…
http://www.guerredesgaz.fr/these/chap13/chap13.htm
Il est impossible de se demander ce que sont devenus ces stocks et leur devenir..
Bref, on ne peut rien dire…
Comment, je l’ai dit ?, Non, j’ai dis que l’on ne pouvait pas le dire !
N’espérez donc pas trouver de cartes ou d’autres sources permettant de cibler ce problème…
Nous touchons là, du bout du doigt, un problème environnemental très complexe.
Je vais essayer de vous brosser en quelques lignes la situation… concernant les armes chimiques, étant donné que je connais un peu le sujet.
En premier lieu, il faut savoir que nous parlons ici d’un sujet très sensible, aujourd’hui classé Secret Défense, in Vitam aeternam !! En effet, la loi archive de 2008 interdit clairement la divulgation de : « Documents comportant des informations permettant la fabrication, l’utilisation ou la localisation d’armes de destruction massive ».
Pourquoi ? Il y aurait des stocks d’armes de destruction massives (chimiques, en l’occurrence), sur notre territoire qui seraient cachés ??
Il n’existe effectivement pas d’études concernant l’impact environnemental des pollutions aux munitions anciennes, et cela est très regrettable. On semble seulement en prendre conscience et il semble difficile d’évaluer la situation à ce jour.
Les stocks chimiques immergés sont une véritable préoccupation en terme de retombées écologiques. Mais là, « circulez !! Y’a rien à voir ! » est la devise actuelle.
Pour le reste, c’est Secret défense…
Il est interdit de se préoccuper des stocks de « dépollution sauvage » des années 1920, enterrés sur le territoire dans des endroits ultra-confidentiels.
Il est interdit d’évoquer les recherches et les efforts industriels concernant l’arme chimique en France, de 1920 à 1940, qui conduiront à la production du stock le plus important d’armes chimiques de tous les belligérants et de la quantité de munitions chimiques chargées hallucinante stockée sur le territoire en 1940…
http://www.guerredesgaz.fr/these/chap13/chap13.htm
Il est impossible de se demander ce que sont devenus ces stocks et leur devenir..
Bref, on ne peut rien dire…
Comment, je l’ai dit ?, Non, j’ai dis que l’on ne pouvait pas le dire !
N’espérez donc pas trouver de cartes ou d’autres sources permettant de cibler ce problème…
Re: Les suites écologiques de la guerre de 1914-1918 à ce jour
bonjour un autre endroit a cité mais la on fait des essais nuclaieres
sur un site de la grande guerre
http://www.jp-petit.org/Presse/Moronvilliers.htm
cordialement
fred
sur un site de la grande guerre
http://www.jp-petit.org/Presse/Moronvilliers.htm
cordialement
fred
fred
Re: Les suites écologiques de la guerre de 1914-1918 à ce jour
Bonjour,bonjour un autre endroit a cité mais la on fait des essais nuclaieres
sur un site de la grande guerre
http://www.jp-petit.org/Presse/Moronvilliers.htm
cordialement
fred
J'ai effectivement vécu un de ces essais lors d'un bivouac de nuit avec des appelés juste à côté du CEA. Bivouac pour lequel nous avions les autorisations de l'autorité qui gérait le camp. (Donc je suppose en connaissance de cause et d'effets)
Plusieurs séries de sirène puis énorme tremblement du sol. Très impressionnant.
Suite à cette expérience personnelle j'ai posé quelques questions et il m'a été expliqué qu'il ne s'agissait que d’essais de système de mise à feu d'arme nucléaire. Donc sans danger.
Cordialement.
jcp
JCP
Passionné par ce conflit, mais j'me soigne !!
Passionné par ce conflit, mais j'me soigne !!