S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
Bonsoir à tous, bonsoir Christian, Bonsoir Patrice,
Pour Christian :
je me suis inspiré pour les textes de :
BERNARDIN SERGENT JOSEPH-AUGUSTE (JUILLET-AOÛT 1915). Dans la Fournaise du Linge. Avec le 5e B.C.P. Mémorial du Linge. Page 38.
Nous sommes le mercredi 28 juillet tôt le matin et Il mentionne bien un soldat du 92ème R.I au créneau.
Pour Patrice,
Non, je n'ai vu personne, j'y suis resté de 9h00 à 10h30.
Amicalement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
Bonsoir Jiibe,
tu as eu du mal à lire certains commentaires, Oui c'est normal, lorsque tu écris en vieux gothique, le problème dès que le fond ne convient pas, en l'occurence une photo, cela devient difficile, à moins de mettre la photo en transparence.
J'avais essayé le même procédé que la dernière photo, avec inscrustation sur la pierre, là aussi, c'est du boulot, donner l'impression d'une plaque gravée avec un texte d'aujourd'hui, c'est chaud !
Mais le résultat n'est pas concluant en texte long.
Et puis, nos diables bleus et rouges en ont bavés là haut, donc un peu à nous d'en baver, pour lire leur souffrance!
Amitiés
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
Bonsoir,
C'est ennuyeux cette transcription fautive dans le bouquin, celle mentionnant le 92e R.I. qui n'était pas là.
Quel pouvait être alors ce régiment ? Un des deux de la 129e division ?
Voilà qui serait intéressant à découvrir, rétablir la vérité et c'est un travail de fouine.
Bien amicalement
Jean-Claude
Excuse-moi Florian, nous n’avons pas le même livre.
Chez moi la page 38, c’est le mardi 27.
J’ai retrouvé le soldat du 92e page 42.
Pour le 92e, erreur de transcription ? Je ne pense pas que le sergent Bernardin notait ses impressions à la minute et la mémoire après... !
Cordialement
Gilles [:gilles roland]
-Ca sent le macchab, dit Le Moal. -J’te crois, y en a plein par ici. Jean Berthaud « 1915 sur les Hauts-de Meuse en Champagne » VESTIGES.1914.1918 MAJ le 10 novembre 2015
Bonsoir Gilles,
voilà mes pages :
Amicalement
Florian
S'ensevelir sous les ruines du fort, plutôt que de se rendre.
La munition n'a ni amis, ni ennemis, elle ne connait que des victimes.
Si j’avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi.
Je ne pense pas qu’un doublon soit utile sur le forum. Je t’ai adressé la page sur ta messagerie.
Le plus intéressant, c’est pourquoi le 92e ?
Amicalement
Gilles [:gilles roland]
-Ca sent le macchab, dit Le Moal. -J’te crois, y en a plein par ici. Jean Berthaud « 1915 sur les Hauts-de Meuse en Champagne » VESTIGES.1914.1918 MAJ le 10 novembre 2015