bonjour,apres avoir étè en vadrouille au archives du Val de Grace ,bien accueilli ,mais un peu decevant sur mes recherches,car à part quelques renseignements sur les convois sanitaires des Vosges en 1914 ,ceux-ci m'indiquant deux directions possibles de trajet :EPINAL ou NANCY....cela reste trés vaste sur les possibilités de lieux de soins aprés la bataille de la Chipotte / haute neuveville en août 1914,quelqu'un sur ce forum aurait-il une piste ou un aieul qui aurait participé à cette bataille et suivi le même chemin ?? aucune trace d'ambulance reconnue aux archives,ni regiments,ni compagnie...si les combats ne concernent pas Verdun , la champagne ou la somme (et encore...)vous n'y trouverez pas votre bonheur! dommage..ce qui est fou ,c'est que sur tous les cartons de docs concernant le 21eme corps au niveau soins et evacuations ,il n'y ai que une revue "la vie du rail"pour les 50 ans de 1914 pour donner quelques renseignements qui furent redigés par un ancien combattant.j'ai déjà ecrit à plusieurs établissements (lorsqu'ils existent encore)sans succés , alors si une personne à une piste elle est la bienvenue
à bientôt Bruno.
Bonsoir,
Comme je vous l'avais écrit lors de vos premières interrogations sur ce forum - et ce, entre autres, à partir d'archives sanitaires du 21e Corps, qui en effet ne nous éclairent pas sur le sujet - les évacuations du secteur de la Chipotte se sont faites vers le Sud, à savoir Epinal puis les établissements sanitaires de Haute-Saône, du Doubs, mais parfois jusque dans le centre ou le Midi de la France. En l'occurence, j'ai retrouvé des évacués de la Chipotte partis vers Vesoul, mais également Lyon ou Bayonne ! Je doute en revanche qu'ils aient été évacués vers Nancy.
Bien cordialement,
Eric Mansuy
P.S. Les carrés militaires et nécropoles sont très instructives à ce propos, et elles vous permettraient sans doute d'y voir plus clair en recoupant les dates de décès et les unités présentes. A titre indicatif, je citerai des coloniaux inhumés à Epinal et décédés en septembre ou octobre 1914, dont peut assurément penser qu'ils avaient été blessés à la Chipotte ou dans les environs proches. Il ne vous reste plus qu'à explorer les relevés de Mémorial Genweb !
"Un pauvre diable a toujours eu pitié de son semblable, et rien ne ressemble plus à un soldat allemand dans sa tranchée que le soldat français dans la sienne. Ce sont deux pauvres bougres, voilà tout." Capitaine Paul Rimbault.