Bonjour Frédéric,
Merci pour cette vue du ravin des trois cornes, quelques gars du 232eme RI sont tombés dans ce secteur en janvier 1917 et devait y reposer.
Amicalement,
Jef
Cimetières provisoires
Re: Cimetières provisoires
"Désormais je sais enfin que tous ces morts, ces Français et ces Allemands, étaient des frères, que je suis leur frère" Ernst Toller
Le blog du 232e RI http://232emeri.canalblog.com/
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- Frederic RADET
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Re: Cimetières provisoires
Bonjour à tous, bonjour Jeff,
Voici le plan:


Bien cordialement,
Frédéric
Voici le plan:

Bien cordialement,
Frédéric
On ne passe pas !
Re: Cimetières provisoires
Bonjour à Tous,
Mon Grand' Oncle Charles Charo du 405° RI a été inhumé à Mont Saint Eloi (62) fin Septembre 1915. Quelqu'un a t-il un plan de ce cimetiére et (ou) peut on le localiser sur le territoire communal.
Merci
Mon Grand' Oncle Charles Charo du 405° RI a été inhumé à Mont Saint Eloi (62) fin Septembre 1915. Quelqu'un a t-il un plan de ce cimetiére et (ou) peut on le localiser sur le territoire communal.
Merci
Re: Cimetières provisoires
bonjour Frédéric,
le plan en plus de la photo je n aurais meme pas osé le demander et me voila servi !!
Un grand merci pour toutes ces infos
Amicalement,
Jef

Un grand merci pour toutes ces infos

Amicalement,
Jef
"Désormais je sais enfin que tous ces morts, ces Français et ces Allemands, étaient des frères, que je suis leur frère" Ernst Toller
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- Frederic RADET
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Re: Cimetières provisoires
Bonjour,
Dans le cadre de mes recherches sur les cimetières provisoires je « butte » sur quelques lieux d’implantation :
Le cimetière « Bastille », prés du P.S Quartier Anvers, à 100m Nord du Carrefour Tranchée de Calonne et route de Mouilly aux Eparges.
Cimetière de la Cloche (peut-être à la Côte du Poivre)…
Cimetière de Bassène (Avocourt ?).
Cimetière du Boyau Cannelière (Avocourt).
Cimetière des Trois-Zouaves (Avocourt ?).
Si certains parmi vous peuvent me donner quelques indications, même minimes, elles seront les bienvenus.
Bien cordialement,
Frédéric
Dans le cadre de mes recherches sur les cimetières provisoires je « butte » sur quelques lieux d’implantation :
Le cimetière « Bastille », prés du P.S Quartier Anvers, à 100m Nord du Carrefour Tranchée de Calonne et route de Mouilly aux Eparges.
Cimetière de la Cloche (peut-être à la Côte du Poivre)…
Cimetière de Bassène (Avocourt ?).
Cimetière du Boyau Cannelière (Avocourt).
Cimetière des Trois-Zouaves (Avocourt ?).
Si certains parmi vous peuvent me donner quelques indications, même minimes, elles seront les bienvenus.
Bien cordialement,
Frédéric
On ne passe pas !
- Frederic RADET
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Re: Cimetières provisoires
Bonsoir à tous, bonsoir Frédéric,
La plupart étaient des 322e et 297e RI.

Bonne soirée,
Frédéric
Il n'y avait pas de soldats du 232e dans ce cimetière.Merci pour cette vue du ravin des trois cornes, quelques gars du 232eme RI sont tombés dans ce secteur en janvier 1917 et devait y reposer.
La plupart étaient des 322e et 297e RI.

Bonne soirée,
Frédéric
On ne passe pas !
Re: Cimetières provisoires
Bonjour Fred,
Merci pour l'info, c 'est assez surprenant mais avec les sepultures il faut s attendre a tout !!
Amicalement,
Jef
Merci pour l'info, c 'est assez surprenant mais avec les sepultures il faut s attendre a tout !!
Amicalement,
Jef
"Désormais je sais enfin que tous ces morts, ces Français et ces Allemands, étaient des frères, que je suis leur frère" Ernst Toller
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- Charraud Jerome
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Re: Cimetières provisoires
Bonsoir
Frédéric, connais tu la liste des cimetières provisoires du secteur Esnes.
En effet, je retrouve des sépultures de soldats tombés à 304 dans les nécropoles d'Esnes et Ville sur Couzance. Je suppose qu'il s'agit de regroupements d'anciens cimetières provisoires. Leur répartition me permettrait d'avoir un aperçu des chemins d'évacuation, car je suppose celui-ci passant d'Esnes, à Ville en passant par Brocourt et Domsbale.
Le "camp de base" de la 17e DI était situé au Bois Saint Pierre, à côté de Blercourt.
Cordialement
Jérôme Charraud
Frédéric, connais tu la liste des cimetières provisoires du secteur Esnes.
En effet, je retrouve des sépultures de soldats tombés à 304 dans les nécropoles d'Esnes et Ville sur Couzance. Je suppose qu'il s'agit de regroupements d'anciens cimetières provisoires. Leur répartition me permettrait d'avoir un aperçu des chemins d'évacuation, car je suppose celui-ci passant d'Esnes, à Ville en passant par Brocourt et Domsbale.
Le "camp de base" de la 17e DI était situé au Bois Saint Pierre, à côté de Blercourt.
Cordialement
Jérôme Charraud
Les 68, 90, 268 et 290e RI dans la GG
Les soldats de l'Indre tombés pendant la GG
"" Avançons, gais lurons, garnements, de notre vieux régiment."

Les soldats de l'Indre tombés pendant la GG
"" Avançons, gais lurons, garnements, de notre vieux régiment."

- Frederic RADET
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Re: Cimetières provisoires
Bonjour à tous, bonjour Jérôme,
Il a existé 7 cimetières militaires à Esnes.
Des soldats des 68e et 90 e RI furent inhumés au cimetière N°2 (jardin du château) en mai 1916.
Les caves du château servirent de P.S, on y pratiqua beaucoup d’opérations jusqu’au 20 mars 16, à partir de cette date et jusqu’au 16 septembre elles furent principalement utiliser comme centre de triage.
Les évacuations (par la voie directe) se firent par la côte 310 pour aboutir à l’Ambulance de Montzeville. Cette côte étant particulièrement bombardée, on utilisa d’autres voies, soit par Marre-Charny,soit par Fromeréville et Sivry la Perche, ceci pour les blessés les moins atteints.
A partir d’avril 16, une autre voie fut ouverte pour le secteur de Esnes.
Les blessés sont amenés au poste central du « Carrefour de Santé » (Bois de Montzeville) où un relais de B.D les transportent par voiture hippomobiles jusqu’au carrefour des Pommiers. Ensuite les voitures automobiles (Service de Santé Américains) les amènent à Brocourt (Ambulance 3/37). De là, après révisions des pansements, ils sont dirigés sur Ville et Froidos.
Le centre de Ville fonctionne à trois Ambulances de 150 lits, personnel permanent (renforcé le cas échéant par disponibles du C.A).
Il effectue le triage des blessés, ne gardant que ceux guérissables en huit jours et dirigeant les petits blessés vers L’H.O.E le plus proche, les moyens et grands blessés vers les Ambulances 3/15 et 15/15 qui effectuent le diagnostic et les soins plus approfondis avant départ rapide vers les unités chirurgicales spécialisées ou l’auto-chir.
Les intransportables sont, soit accompagnés pour leur fin de vie, soit soignés jusqu'à amélioration de leur état (8 à 15 jours) afin d’être transportés vers le Centre adapté à leur cas.
C’est par cette voie que sont passés les blessés des régiments qui t’intéresse.
Par acquis de conscience j’ai parcourus les listes de Blercourt (Ambulance 9/14 aux Clairs-Chênes) et du Ravin du Placy prés des Souhesmes (Ambulance 6/6). Aucun soldat de ses régiments n’y fut inhumé.
Bien cordialement,
Frédéric
Il a existé 7 cimetières militaires à Esnes.
Des soldats des 68e et 90 e RI furent inhumés au cimetière N°2 (jardin du château) en mai 1916.
Les caves du château servirent de P.S, on y pratiqua beaucoup d’opérations jusqu’au 20 mars 16, à partir de cette date et jusqu’au 16 septembre elles furent principalement utiliser comme centre de triage.
Les évacuations (par la voie directe) se firent par la côte 310 pour aboutir à l’Ambulance de Montzeville. Cette côte étant particulièrement bombardée, on utilisa d’autres voies, soit par Marre-Charny,soit par Fromeréville et Sivry la Perche, ceci pour les blessés les moins atteints.
A partir d’avril 16, une autre voie fut ouverte pour le secteur de Esnes.
Les blessés sont amenés au poste central du « Carrefour de Santé » (Bois de Montzeville) où un relais de B.D les transportent par voiture hippomobiles jusqu’au carrefour des Pommiers. Ensuite les voitures automobiles (Service de Santé Américains) les amènent à Brocourt (Ambulance 3/37). De là, après révisions des pansements, ils sont dirigés sur Ville et Froidos.
Le centre de Ville fonctionne à trois Ambulances de 150 lits, personnel permanent (renforcé le cas échéant par disponibles du C.A).
Il effectue le triage des blessés, ne gardant que ceux guérissables en huit jours et dirigeant les petits blessés vers L’H.O.E le plus proche, les moyens et grands blessés vers les Ambulances 3/15 et 15/15 qui effectuent le diagnostic et les soins plus approfondis avant départ rapide vers les unités chirurgicales spécialisées ou l’auto-chir.
Les intransportables sont, soit accompagnés pour leur fin de vie, soit soignés jusqu'à amélioration de leur état (8 à 15 jours) afin d’être transportés vers le Centre adapté à leur cas.
C’est par cette voie que sont passés les blessés des régiments qui t’intéresse.
Par acquis de conscience j’ai parcourus les listes de Blercourt (Ambulance 9/14 aux Clairs-Chênes) et du Ravin du Placy prés des Souhesmes (Ambulance 6/6). Aucun soldat de ses régiments n’y fut inhumé.
Bien cordialement,
Frédéric
On ne passe pas !
- Frederic RADET
- Messages : 903
- Inscription : jeu. mars 30, 2006 2:00 am
Re: Cimetières provisoires
Re,

Le cimetière N°2 du Château de Esnes.

La cour du Château en mai 1916.

Une rue de Esnes fin mai.

Avant-guerre.

Esnes de nos jours, à droite on distingue le clocher, en face la côte 310.
La tache rouge... c'est mon "tracteur"...! 200 OOO Kms au compteur, dont 150 000 sur des chemins de champs ou de bois.
FRED

Le cimetière N°2 du Château de Esnes.

La cour du Château en mai 1916.

Une rue de Esnes fin mai.

Avant-guerre.

Esnes de nos jours, à droite on distingue le clocher, en face la côte 310.
La tache rouge... c'est mon "tracteur"...! 200 OOO Kms au compteur, dont 150 000 sur des chemins de champs ou de bois.

FRED
On ne passe pas !