Marins victimes des évènements d'Athènes

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stenog
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Re: Marins victimes des évènements d'Athènes

Message par stenog »

bonsoir Jean Luc
faisant une recherche sur les évènements d'Athènes , je suis arrivé sur ce post
il se trouve qu'à Zeitenlik il existe une tombe au nom de GERBEAUT A. matelot
je peux vous faire la photo
cordialement
Gérard
Rutilius
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Re: Marins victimes des évènements d'Athènes

Message par Rutilius »

.
Bonsoir,


Photographie pouvant également être utilement publiée sous le sujet « RÉPUBLIQUE — Cuirassé ».

—> pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviati ... _478_1.htm


― GERBEAUT Alfred Léon, né le 3 février 1896 à Bouillancourt-en-Séry (Somme) (Registre des actes d’état civil de la commune de Bouillancourt-en-Séry, Année 1896, f° 2, acte n° 2) et domicilié à Paris (XIXe Arr.), au 14, cité Lemière, mort le 1er décembre 1916, « tué au cours des événements survenus à Athènes », Matelot de 2e classe timonier breveté, embarqué sur le cuirassé d'escadre République. Matricule n° 38.568–1 au 1er Dépôt des équipage de la flotte ; classe 1916, n° 1.377 au 1er bureau du recrutement de la Seine [Acte de décès transcrit à Paris (XIXe Arr.), le 14 févr. 1917 : Registre des actes de décès du XIXe arrondissement de Paris, Année 1917, f° 7, acte n° 548.].

Fils naturel de Jeanne Ismérie VOISIN, née le 27 janvier 1876 à Bouillancourt-en-Séry, cuisinière. Reconnu et légitimé par le mariage de sa mère avec Charles Louis GERBEAUT, né le 29 juin 1875 à Paris (Xe Arr.), sellier ; mariage célébré le 20 janvier 1900 à Paris (Xe Arr.) (Registre des actes de mariage du Xe arrondissement de Paris, Année 1900, f° 44, acte n° 86) t dissous par un jugement rendu le 9 juin 1904 par le Tribunal civil de la Seine (Ibid. – Mention marginale).

Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 4 juin 1919 (J.O. 7 juin 1919, p. 5.933 et 5.937), inscrit à titre posthume au tableau spécial de Médaille militaire dans les termes suivants :

« A servi avec calme et courage sa mitrailleuse soumise à un feu violent. Tué à son poste le 1er décembre 1916. »
Bien amicalement à vous,
Daniel.
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