Claude Thollon-Pommerol http://www.asoublies1418.fr accueille volontiers tout document personnel ou familial que vous souhaitez partager. Site en reconstruction. Soyez patients.
Il s'agit d'une publication de 1917 des autochromes de Jules-Gervais Courtellemont, photographe professionnel, qui fait suite aux fascicules Les Champs de bataille de la Marne déjà publiés en 1915.
Les autochromes ont été réalisées par Jules-Gervais lui-même.
Merci Cornette pour ces précisions. Apparemment, certains de ses ouvrages de photos de guerre sont consultables dans des bibliothèques municipales comme Nancy, Lyon...
Par contre, il semble bien que le "Gervais" fasse partie de son nom de famille.
Une preuve parmi les documents proposés par Gallica (dont un beau portrait photo réalisé par Nadar) : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5849466z/f71
Bonjour,
Cette publication était comme la Marne vendue sous forme de fascicules, et sans doute proposée par la suite en version reliée, à l'insatr de l'Illustraion ou du Miroir.
Ce sont de véritables autochromes imprimés en quadrichromie procédé d'impression qui était très peu développé à cette époque. Certaines photos sont très retouchées et loin de leur réalité chromatique, d'autres sont vraiment très jolies comme celle des autocanons de 75.
Le procédé de l'autochrome nécessitait des temps de pose assez longs, c'est pourqoi les images sont posées et saisies dans des secteurs calmes ou à l'arrière.
J'avais trouvé ces fascicules en brocante il y a des années...
Cordialement.
P. Lamy
"C'est le Vin qui a fait gagner la Guerre"
Jean-Louis Billet, agent de liaison au 70e BACP
Vous vous souvenez peut-être de mon topic consacré à une "énigmatique" brochure de vues d'avions intitulée "Aviation militaire française".
Et bien l'une des deux photos illustrant le Sopwith 1 1/2 Strutter est précisément... le Y en a bon. C'est l'une des rares vues de cette brochure qui montre un avion opérationnel.
Comme quoi cette machine, sans doute à la suite de ce raid, avait acquis une véritable célébrité.
Cdlt
Cyrille
"Sur un banc étaient rangés quinze ou vingt bonshommes qui avaient bien une douzaine de jambes à eux tous." (Duhamel)