12e RCC mais 67e RI

[Alain Dubois-Choulik]

Bonjour
Aidez-moi à comprendre pourquoi le Maréchal des Logis PLANTIN Antoine (MDH) engagé au 13eRCC, passé au 12eRCC à une citation à l'ordre du 67eRI. C'est dans son ESS aux archives des ex-Basses-Alpes (04) (pas vu de lien pérenne) et dans le petit historique du 1er Escadron qui a le mérite de rappeler les citations. J'ai cru comprendre qu'il y avait eu réorganisation du 12e RCC (fin 1916) mais je n'ai rien trouvé qui indique ce genre de mutation qui ne figure pas dans l'ESS. Les deux unités (12eRCC et 67eRI sont à Grivesnes au moment de sa capture). On retrouve son décès dans les registres du CICR, mais pas dans l'état-civil de Valenciennes, les informations restant aux mains de l'occupant.
Merci de vos lumières,
Cordialement,
Alain
PS : Rectifié pour le recrutement ( cafouillage à force d'en voir )

[b sonneck]

Bonjour,

Ils sont plusieurs à avoir été cités à l'ordre du 67e RI pour une même affaire, le 12 août 1917. La solution de l'énigme devrait donc se trouver dans le JMO du 67e.
Cet escadron (le 1/12e Ch.) a dû être placé momentanément sous les ordres du 67e RI, pour une action particulière ; ou a tout simplement coopéré à une action menée par le 67e. Il était normal, dans ce cas, que le colonel du 67e cite à l'ordre de son régiment des cavaliers qui s'étaient distingués en oeuvrant à son profit. C'était des choses qui se faisaient.

Cordialement
Bernard

[Alain Dubois-Choulik]

Ils sont plusieurs à avoir été cités à l'ordre du 67e RI pour une même affaire, le 12 août 1917. La solution de l'énigme devrait donc se trouver dans le JMO du 67e.

Bonsoir
Et après (dans le fascicule) c'est au 54e RI de distribuer des citations. Je n'ai rien vu de tel au JMO du 67 (le 1er Btn du 67 est cité à l'ordre du 54e dont il épaule le 3e Btn. , mais au moins c'est dit : JMO infanterie divisionnaire de la 12eDI). Le premier escadron du 12BCC a (aurait ?) été prêté à la 12DI pour en faire la cavalerie divisionnaire ... .
Voir aussi l'attaque de Grivesnes dans les AFGG
Disons que l'on a les faits, mais ça ne dit pas pourquoi.
Cordialement
Alain